Philina...

Prénom :
Philina

Âge :
19 ans

Rang :
Claymore Normale

Numéro du Claymore :
n°43

Classe :
103éme

Type :
Offensif

Surnom :
*Aucun*

Symbole :
==> <==

Pouvoirs et Techniques :
Philina est une Claymore qui au combat libère sa fureur ; Elle développe ses capacités au combat, qu’il arrive, qu'elle oublie ou ne sera pas capable de reproduire plus tard.

Description générale :

Physique :
Philina est blonde et pourvue de formes généreuses. Elle n'a pas l'apparence musclée mais elle recèle une force suffisante pour se défendre. Celle-ci ne possède pas l'habitude de s'exprimer ; en fait elle préfère garder ces ses émotions pour elle ; donc rares ceux qui ont déjà entendus sa voix. Contrairement aux autres Claymores, sur son visage pâle qui est éblouit de lumière un masque d'émotion fort semble assombrir celui-ci (Son visage porte très souvent exactement la même expression). Malheureusement pour elle et ceux qui l'entourent, non seulement ce masque assombrit son visage mais entraîne sa vision du monde vers des côtés négatifs, reliés à son passé. Ses mouvements sont plutôt "morts" et d'une vitesse moyenne, créant un effet d'une démarche presque imperceptible. Quant à ses cheveux, ils sont blonds (Naaaaa!!! Sans blague!!) et longs ; ceux-ci, pourtant reflète parfois quelques mèches légèrement brune. Et ce qui de sa taille, je dirais qu'elle est proportionnelle à son âge.

Mentale :
Son esprit comme son visage est très assombrit par une fulgurante colère liée à son passé. Elle semble totalement désintéressée de la vie, n'espérant rien en retour, elle marche vers son futur le visage sombre le pas lourd et las. Sa colère est sa raison de vivre et sa façon de combattre ; pousser par un désir de tuer dans le but de refouler sa colère, celle-ci pousse très souvent son Yoki à bout, tout en sachant ses limites. Cette colère indescriptible la pousse à agir tout en combinant son étrange et surprenant calme qu'elle acquit, au fur et à mesure, en réagissant en simple d'esprit.
Son calme et sa colère sont les deux choses qui la définissent, elle et sa manière de combattre. En Bref, elle s'efforce de subsister tout en prolongeant sa haine qui la consume petit à petit.
Histoire :

Le soleil se lève sur un village dont le nom est parti est parti les feuilles d'il y a sûrement plusieurs centaines d'automnes. Le vent souffle, emportant l'odeur du sang chaud. Comme la nuit au lever du soleil, une jeune fille partait. Elle partait en direction l'ouest.
Tout commença, un jour, avec la venue d'un étranger. Cette même femme occuper à finir ses corvées, devant sa maison, fut la première averti, de la venue de cet étranger. Elle vit un grand homme d'un âge similaire au sien et d'une forte robustesse s'approcher, elle l'accueillie après avoir prévenu ces vieux parents, aux bords des quatre-vingt ans. L’accueillante chaleur des autres villageois vînt après eux ; ce villageois comme vous l'auriez peut être remarqué, était très chaleureux. On voyait bien, à ce temps-là, que ce voyageur avait parcouru terres et mers, rencontré bêtes et gibier, ou encore d'hostiles personnages qui durent le chasser pour on ne sait quelles raisons. Bref, ce voyageur avait de l'expérience. Il décida alors, lors d'un repas avec le village tout entier de partager son expérience. Devant lui tous restaient ébahis la bouche et les oreilles grands ouverts, ils s'exclamaient tous à la moindre intonation. Mais derrière le public, caché entre deux personnes, LA femme entourée de ses amies l'observaient d'un air rêveur. On eût dit qu'elle était amoureuse. Quand, le voyageur parvînt à un certain point de son récit, il se mît à parler des Yomas, des démons, des Monstres; des Claymores, des éveillés, de l'organisation, choses que de toute évidence selon la singulière grimace qu'exprima chaque membre du village, que personne d'entre eux ne connaissaient. Il décrit les Yomas comme il le pût, des êtres atroces, horribles à l'esprit malsain, insensibles aux cris, ni aux pleurs, ni aux supplications. Égoïstes et avide d'innocence qu’ils consumaient dans leurs entrailles en laissant derrière eux désespoir et peur, "les Yomas n'ont aucune pitié!" disaient-ils. Ce soir-là, les villageois s'endormirent, le cœur plein de doutes et de sombres amertumes. Plusieurs jours après, lorsque le voyageur s'en alla, lorsque les mouchoirs eurent séchés, les habitants du village dans l'ombre de l'imprécision des récits du voyageur, n'osèrent plus se regarder. Chacun suspectait l'autre d'être un démon, un Yoma, sans pour autant... en connaître la définition exacte. (Pour abréger .......)
Le village devenait, de jour en jour de plus en plus sombre, en même temps que les récoltes et l'économie devenaient de moins en moins fructueuses ; et un jour, un surprit quelqu'un dévorer la chair d'un autre, on eût toujours crût que ce "quelqu'un" était d'un esprit raisonnable et d'une sagesse inébranlable, et pourtant. Cette scène épargnée aux enfants, qui était restait tout de même pour les aînés du village un moment choquant, avait apposé la signature du diable sur le village. Le diable, cette fois ci s'était exprimer en envoyant un seul des sous-fifres et par la suite, en en créant d'autres; ce qu'il réussit, car les semaines qui suivirent ce seul massacre, fût remplies par d'autres. Le village s'entretuait sous les yeux de la jeune fille dont les yeux encore bleu à cette époque ne cessèrent de faire couler des larmes. Sa robe pleine de sang elle se cachait en espérant que jamais, jamais, même les parents de ses anciennes amies mortes tuées ou abusés par d'autres villageois fous. La dernière chose qu'elle vit datant du massacre, fut ses parant les boyaux à l'air les mâchoires ouvertes le joues coupées ; un sacrifice qui lui permît de vivre... vivre... bien tristement...
Après le massacre, dont personne ne survit, son visage se déformé et fît apparaître un masque de pierre, de tristesse, et de colère ; c'était une colère terrible contre la vie, le destin, le monde, l'Homme, les démons, les Yomas, les voyageurs... Tout...
Elle prît un sac, le rempli du peu de nourriture, abandonné pour de la chair humaine ; et s'en alla, marcha, loin, très loin, ayant pour but de s'éloigner le plus du bain de sang que représentais avant un doux village aux sympathiques habitants souriant et travailleurs, qui partageaient et riaient ensemble. Ce souvenir... ce doux souvenir, qui fut effacé par la colère. Elle marcha sans arrêt pendant deux jours entiers puis s'arrêta dans une ville, à bout de force. Elle s'assît sur le sol, à l'ombre, dégusta sans appétit la nourriture à moitié dévoré par la pourriture. Plusieurs personnes fut choquées en voyant ce sinistre personnage aux habits pleins de sangs qui témoignaient, en hurlant, le massacre d'un village autrefois tranquille. Elle ne voulait pas se venger, "Le mal est fait" se disait-elle dans sa tête. Malgré ça, elle ne pouvait s'empêcher de haïr. Plus tard, sur son chemin, elle rencontra plusieurs fois "des sorcières aux yeux d'argent" comme disait le voyageur, et sans le remarquer, des hommes "en noir" ; dont plus tard, en en voyant discuter avec des Claymores, elle fît le lien. Elle pensait aux Claymores, car elle n'avait rien d'autre à penser. Elle volait pour se nourrir, ce qu'elle faisait extrêmement bien. Ensuite, la tête vide mais bouillonnante, elle décida de s'adresser à ces hommes "en noir" et se renseigna sur les Claymores, ainsi elle décida de vivre pour quelque chose ; traîner dans les rues en volant pour se nourrir n'était pas une situation idéale. Dix-huit ans elle était restait dans ce village, où sa douce adolescence s'y était passé ; un an s'était passé, à vagabonder et à voler ; Et le reste de sa vie allait être consacré à tuer des Yomas, dont un seul d'entre eux suffit à ruiner sa vie entière. Son entraînement commença dès qu'elle fut "admise", et il se passa comme se passa comme l'enterrement d'un mort. Elle passa trois ou quatre ans de sa vie dans des appartements piteux, et le reste à augmenter de rang jusqu'au numéro quarante-trois. Oui... Elle n'avait pas l'habitude de parler, elle se taisait ; car elle savait que les mots étaient des lames redoutables faîtes de conséquences et de causes mortelles.


Test RP :

UP!

Tu as une semaine pour terminer définitivement ta fiche (en tenant compte du mp envoyé par Zakk), si tu ne le peux pas, manifestes-toi dans ce délai, cela suffira (cf : recensement 2013).

Cordialement,

Hélios.