Nom : Von Honheim
Prénom : Manfred
Age : Ne s'en souvient pas mais dit avoir 25 années
Rang : aucun si ce n'est celui de guerrier itinérant
Pouvoirs : aucun
Description Générale :
Physique :
Une taille avoisinant le mètre huitante (quatre-vingt), cheveux d'ébene et yeux d'onyx, peau quelques peu mate et stigmatisé par l'abus de la guerrière frénésie. Visage fin aux traits délicats arborant balaffre et traces boueuses. De fine carrure trompée par le port d'une massive armure portant l'odeur acre et amer d'un homme se préoccupant peu de son hygiène corporel. Une musculature obligée par l'emploi répétitif d'une lames pesant aussi lourd que son propre poid et les marches forcées. Doté d'une exellente ouie mais d'une vue défaillante.
Mentale :
Guerrier ne se préoccupant guère des situations hors celle du combat, faisant de lui un être tout aussi sauvage que anti-conformiste. Misogyne, n'acceptant pas le fait que le champ de bataille puisse appartenir à une quelconque femme. De nature franche voir brutale, ne montrant que peu de délicatesse dans ses propos. Mais ne nous y trompons pas, son intelligence n'a rien à envier aux sages les plus aguerris et son raisonnement en fait un logisticien de premier ordre. Pragmatique de nature, il n'adherera qu'à la fonctionnalité plutot que toute autres formes de logique.
Histoire :
Deux ombres dansèrent dans les ruines de l’ancienne cité sous les méandres de la nouvelle lune. Un ballet d’étincelles naissait dans le tourment des lames s’entrochoquant dans une frénésie guerrière.
L’une des deux ombres était de taille fine, aussi fine que celle d’une jeune femme tandis que l’autre avait la représentation nul autre que celle d’un homme.
La danse épéiste s’interrompa. La premiere ténèbre s’avança :
« Toi… dont le cœur est humain… Mets fin à mes jours pendant que le mien l’est encore… »
Sa voix était douce et celle d’une jeune femme, posant son épée comme un genoux au sol, mettant en évidence son intention de se voir tranché la gorge comme pourrait l’être le fin fil de la vie.
L’éclairage lunaire mit en évidence le visage de la guerrière.
« … Mon nom est Franziska, ancienne claymore. Je me soumets à ton jugement, mais daigne accepter les dernières paroles de la renégate que je suis. »Les Claymores aux yeux d’argents… dont ses derniers s’illuminent de l’astre solaire sur le champ de bataille… guerrière redoutable à la glaciale beauté sémant la mort… telle était leur réputation, une réputation baignée dans le sang des démons.
La pale lueur de lune éblouissa la silhouette du guerrier dévoilant un être capuchoné arborant le visage trempé dans les champs de bataille.
« … Manfred Von Honheim, tel est le nom de celui qui t’abregera de tes souffrances. »
« Le bienvaillant de la cité du Nord (traduction du nom) entends mes paroles, mon cœur s’ouvre, la sagesse s’échappe de mes lèvres : Quiconque lutte contre les démons devrait prendre garde, à ne pas devenir démon lui même. Et quant à celui qui scrute le fond de l’abysse, l’abysse le scrute à son tour. »
… A son enterrement, je découvris le sens de tout les enterrements ; une initiation à ma propre mort. Sa sépulture ne se résumait qu’à son épée comme pierre tombale, ni nom, ni histoire seulement un sceau hiéarchisé… je n’avais pas seulement creusé sa tombe mais l’y ai mener.
Manfred Von Honheim… n’était sans nul autre qu’un guerrier qui pouvait composé la grande spirale d’une coexistence imparfaite entre hommes et démons. Son histoire pouvait tout aussi bien être celle de tout autre être humain.
Fils de paysan mais dont la famille se fit emporté par la maladie quand il n’avait pas encore atteint l’age de raison. Mis à la disposition de l’armée régulière comme bon nombre d’enfants. Grandissant dans la loi martiale comme dans l’étude des armes. Sa maitrise dans le maniement de l’épée à deux mains en fit un féroce guerrier qui ne connut que peu d’égale dans sa discipline.
Tout pouvait le prédestiné à finir comme le commun des mortels dans l’anonymat s’il n’avait pas occis un yoma à lui seul et cela sans aide extérieur. L’exploit disait on ne pouvait être relever que par des êtres tels que les claymors ou encore des guerriers vétérants apparaissants comme des légendes à eux seuls.
La soif de dominer est toujours celle qui s’éteint en dernier dans le cœur d’un homme… Il avait ressentie ce besoin oppressant d’affronter ceux qui pouvait être plus puissant que lui, perdant ainsi les valeurs qui le portaient jusqu’à présent.
Ps : Je n'ai pas une grande expérience des Rp, donc si le moindre détail dérangeant ou à amélioré existait ; je vous demanderais de bien vouloir me faire signe, histoire que je puisse progressé également, tout en vous remerciant.
Pour ce qui est de ma personne :
Mon prénom est Michael, je suis né en 1986, fan de Claymore, de jeu vidéo et d'art martiaux, m'ennuyant quelques peu dans mon boulot d'opticien pendant les instants de grand silence, j'espere que cela suffise à moins que l'on désire également connaitre ma couleur préférée ^^