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 Lénaïg la mélodieuse

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MessageSujet: Lénaïg la mélodieuse   Lénaïg la mélodieuse Icon_minitimeSam 1 Mai - 23:04

Nom : Wheeler



Prénom : Lénaïg



Age : 19 ans



Rang : Claymore semi-éveillée



Numéro du Claymore :



Classe : 78



Type : Défensif



Surnom : Lénaïg la mélodieuse



Symbole : Lénaïg la mélodieuse Symbolerachel



Pouvoirs et Techniques:

Anticipation et attaque :
En se concentrant suffisamment, Lenaïg peut produire des ultrasons, tout en parlant, ce qui fait souffrir ses ennemis. En effet, ils ne peuvent plus bouger, lui permettant d’attaquer sans aucun problème. Les ultrasons que Lenaïg émet sont si puissants que les cibles de la claymore ne peuvent se mouvoir selon leur volonté, ni se défendre. Elles restent donc passives devant la claymore qui possède un énorme avantage sur à eux. Depuis que la claymore s’est semi-éveillée, cette compétance s’est améliorée et Lénaïg a plus de facilité à l’utiliser.

Régénération :

Si Lénaïg concentre son yoki, elle parvient à guérir ses blessures très rapidement.

Cette claymore fait preuve d’un courage énorme, car, elle le sait et vous le dira : « Une épée n’exerce aucune force, à moins que la main qui la tient ne possède du courage. »



Description générale :



Physique : « Bonne nuit … mon ange », voilà ce que murmurait chaque soir la mère de Lénaïg à son oreille. En effet, la jeune fille était très belle. A sa naissance, on avait découvert un petit corps, minuscule même, aux yeux bleu océan. Désormais, ils sont argents et on peut lire dans son regard de la tristesse et des regrets. Ses cheveux sont fins et semblables à de l’or. Généralement, la claymore les attache lors des combats, deux tresses avec une petite frange qui orne son front. En dehors de ses luttes, Lénaïg se détache toujours les cheveux. Lorsqu’il pleut, ils s’ondulent et tombent sur ses épaules. Son visage est fin, avec des traits extrêmement réguliers et une peau de porcelaine, lumineuse. Quant à ses lèvres, elles sont fines, douces et roses. Elle n’est pas plus grande que les autres claymores, ce qui l’arrange énormément. A son cou, la jeune femme porte un collier en bois qu’elle ne quitte jamais puisqu’elle il a une valeur inestimable pour elle. Elle n’est pas très musclée, car, personnellement, elle trouve cela plutôt laid et plus attrayant chez les hommes que chez les femmes. Elle porte la même tenue que toutes ses camarades, c'est-à-dire une tenue grise moulante, des gants, des épaulières, une cape ainsi qu’un fourreau placé dans son dos. Lénaïg est fine, mince, svelte. Ses doigts sont fins et gracieux. « Des doigts de fée » comme disait son père. Au combat, elle n’a plus du tout le même regard. Lénaig prend un air sévère et déterminé. Il est très rare de voir un sourire s’afficher sur son charmant visage. Lénaïg est assez mystérieuse, guère joyeuse et n’affiche aucuns sentiments de rancœur, de tristesse, de gaité, de colère, de peur ou d’étonnement. On pourrait presque dire qu’elle est indifférente, inerte.




Mentale : Bavarde ? Lénaïg ? Jamais. En général, elle est plutôt instinctive et n’écoutera que ce qui lui semble le plus judicieux. Ce qui caractérise la claymore, comme dit plus haut, c’est son courage. Toujours prête à se sacrifier pour les autres, elle les aide sans se soucier des conséquences ou des dangers qu’elle prend pour sa propre vie. Lénaïg est toujours calme, elle ne se laisse jamais distraire et reste toujours concentrée et attentive, même dans les cas les plus désespérés. Toujours attentive, méfiante et vigilante, Lénaïg analyse très rapidement comment agir, ce qui l’avantage pour improviser le plus vite possible. La claymore reste toujours prudente et précautionneuse dans les moments périlleux. Cependant, Lénaïg s’emporte très facilement si elle perd son calme. Elle n’est pas toujours sûre d’elle, certes, mais après tout, quelque soit l’erreur, elle reste humaine et une claymore l’est à moitié. De plus, Lénaïg fera toujours de son mieux pour améliorer les choses, même celles qui semblent impossibles à réaliser. Mais aussi, elle n’est presque jamais à l’écoute des autres. Avec la rude période d’adolescence que la claymore a passé, il sera très rare de voir Lénaïg sourire ou bien tout simplement de la voir adresser la parole un bref regard à une personne. Après la mort de sa sœur, la claymore est devenue extrêmement froide, elle ne se préoccupe de rien ni de personne. Sauf, d’une seule chose, la promesse qu’elle a fait en la mémoire de sa sœur. Si Lénaïg tient encore moralement, c’est en particulier pour sa sœur qu’elle s’efforce chaque jour de ne pas oublier malgré les jours qui ne cessent de s’écouler.




Histoire :


L’enfance :



Oui, on peut le dire, Lénaïg naquit dans de très bonnes conditions. Son père était le chef de famille idéal. Il s’occupait bien de sa femme, comme de ses enfants. Sa mère, quant à elle, était toujours à l’écoute de Lénaïg et Lyîa, sa petite sœur. Les parents des deux jeunes filles les couvraient de tendresse et d’amour. Elles étaient inséparables et ne pouvaient vivre l’une sans l’autre. Elles ne se disputaient ou ne se chamaillaient jamais, elles s’entendaient à merveille. Depuis toute petite, elles s’entrainaient à se battre comme de vraies guerrières, elles adoraient vraiment ça. Et Lénaïg, passionnée par l’art de la maîtrise de l’épée, désirait devenir une claymore. Pourquoi me diriez-vous ? Elle désirait comprendre d’où venait cette haine envers elles. Cela la tourmentait de savoir que ses jeunes femmes aidaient les humains, et pourtant, étaient méprisés et redoutés. Pour elle, c’était anormal. Elle décida d’en devenir une non seulement pour faire partie de l’organisation et défendre les humains, mais surtout pour casser l’image que les humains avaient envers les sorcières aux yeux d’argent. Seulement, la jeune fille le savait, pour devenir claymore, elle devait rencontrer un homme noir. But qu’elle se promit d’atteindre, lorsqu’elle serait un peu plus âgée. Lyîa, elle, lui jura de l’aider à trouver cet homme noir et elle lui offrit un collier en bois pour symboliser sa promesse. Vraiment, Lyîa et Lénaïg étaient les 2 filles rêvées de n’importe quels parents. Lénaig s’occupait et veillait sans cesse sur sa petite sœur et l’aimait plus que tout au monde. Elles étaient toujours là l’une pour l’autre, prêtes à s’entraider même dans les situations les plus critiques.


L’adolescence :


Un matin, alors que Lénaïg se levait à peine, la jeune fille courrut dans la chambre de sa petite sœur pour la rejoindre. Hélas, elle n’était pas là. Elle chercha alors sa mère pour lui demander où Lyîa avait pu passer… En vain. La jeune fille prit alors sa veste et sortit à la recherche de sa petite sœur. Elle s’arrêta à tous les coins des rues. Aucune trace de Lyîa. Inquiète, Lénaïg interrogea les amis de sa sœur pour demander s’ils ne l’avaient pas aperçue. Mais personne ne savait où la jeune fille se trouvait. Les jours passaient, et Lyîa restait toujours introuvable. Ses parents supposaient, en pleurant, qu’il était trop tard, qu’elle avait du s’enfuir et se faire tué par un yoma. Mais, Lénaïg, elle, était sure qu’elle était toujours en vie. Où ? Ca, c’était ce qu’elle désirait trouver depuis de longs et interminables jours. Une année passa, puis deux, … Lyîa ne réapparaissait pas. Malgré ses parents qui lui disaient qu’elle ne reviendrait pas, Lénaïg était certaine que la mort de sa sœur était impossible. Après tout, elle avait juré de l’aider. Puis, un matin, alors qu’elle vagabondait, l’esprit amer, dans une petite ruelle, Lénaig vit un homme vêtu de noir de la tête au pied. Elle s’avança, doucement, les yeux écarquillés. Elle demanda, hésitante, s’il s’agissait bien de la personne dont elle pensait. Elle lui expliqua ce qu’elle désirait devenir et pourquoi. Quelque temps plus tard, Lénaïg fit partie de l’organisation. Sa transformation se fit en douleur, comme toutes les autres claymores …
Une fois rentrée d’une bien longue et pénible mission, elle décida de rendre une brève visite à ses parents. En réalité, elle voulait les voir, mais elle désirait surtout savoir si sa sœur était rentrée ou non. Arrivée, elle sourit, mais ne vit aucune ombre de Lyîa. Lénaïg cacha sa tristesse et se mit à bavarder avec ses parents. Au moment de sortir du village, la jeune claymore vit une fille avancer dans sa direction, d’un air déterminé. Maigre, presque squelettique, des vêtements déchirés… Encore une pauvre. Lénaïg songea que l’état de la ville s’était bien détérioré depuis son départ. Lorsqu’elle était partie, la ville était encore faste et de nombreux marchands se bousculaient les places de marché… Perdue dans ses pensées, elle fut surprise par le poids de la jeune fille, tombant dans ses bras. La claymore la rattrapa. Ses yeux se plantèrent dans ceux de la pauvre fille.

« Lénaïg ? C’est bien toi ? » Murmura-elle, le souffle court.

La claymore hocha la tête, et la fille continua en tentant de reprendre son souffle :

« C’est moi … Lyîa … Je suis désolée grande sœur … Je ne pourrai tenir ma promesse … »

Lénaïg écarquilla les yeux de stupeur, bouche bée. Comment se faisait-il que sa sœur, qui avait disparu depuis tant de temps, soit dans cet état ? Les lèvres de la claymore s’étirèrent dans un sourire plein de larmes. Elle lui prit les mains, tremblante, et lui dit tout bas :

« Oh … Lyîa ! Ne t’en fais pas, je suis déjà une claymore … »

Elle ne savait pas quoi dire, tout se mélangeait dans sa tête. Elle reprit en essuyant au mieux ses larmes :

« Ton image dans ma tête, voila ce qui m’a permit de tenir jusque là. »

La jeune fille ne répondait pas, elle commençait peu à peu à fermer ses yeux. Lénaïg sentit son cœur battre à toute vitesse, lorsque Lyîa lui dit d’une petite voix :

« Je suis désolée grande sœur, je n’ai pas été là pour toi … Je ne sais même pas tenir une promesse … Mais sache ceci Lénaïg… (Sa voix était de plus en plus faible.) Je t’aime. »

Lorsqu’elle finit sa phrase, Lyîa ferma doucement ses yeux et sa tête tomba en dodelinant sur l’épaule de sa sœur. Lénaïg commença à paniquer et demanda aux passants de chercher de l’eau. Une colère intense enflamma son esprit et son corps tout entier. Tout en criant et hurlant le nom de sa sœur, la claymore pleurait et ne pouvait s’empêcher de trembler de tristesse et de remords. Plus les secondes s’écoulaient, plus la claymore était folle de rage. Sous les yeux des passants, elle commença à s’éveiller tant elle s’en voulait de ne pas l’avoir vu avant sa transformation. Ses bras ainsi que ses jambes doublèrent de volume, son visage de petit ange commença à s’enlaidir, et enfin, ses yeux dorés laissaient une impression de souffrance, de douleur et de regrets. Tout à coup, son père vint en courant jusqu’à elle et lui murmura, les larmes aux yeux :

« Je sais que tu tenais à elle Lénaïg, et que c’est grâce à son image si tu as tenu autant de temps à espérer de la revoir, mais c’est en se rappelant d’elle que tu continueras à la faire vivre … »

Lénaïg parvint finalement à se contrôler. Et c’est ainsi que la claymore se semi-éveilla. Désormais, c’est en grande partie pour la mémoire de sa sœur qu’elle se bat, car peu de temps après sa mort, Lénaïg fit une promesse « Ne pas laisser la mort de sa sœur injustifiée en s’impliquant un maximum dans l’organisation »




Test RP (pour voir votre niveau) :


Au petit matin, la claymore marchait déjà … Lénaïg poussa de nombreux soupirs d’agacement. On l’avait envoyé tuer un yoma. Mais elle était trop loin de la région où elle devait se rendre pour ressentir leurs présences.
C’était son devoir, et elle se devait d’accomplir sa mission. La claymore rêvassait. Ne me demandez pas à quoi Lénaïg pensait. C’était encore et toujours à la même personne, Lyîa. Elle s’imaginait en train de retrouver sa sœur ainsi que de lui dire à quel point, elle aussi, l’aimait. Seulement, Lénaïg savait qu’il était trop tard. Le temps lui avait prit et emporté la personne à laquelle elle tenait le plus, qu’elle le voulait ou non. Tout à coup la claymore s’immobilisa un instant. Elle était enfin arrivée. Elle commençait à sentir que le yoma s’approchait. Calme, la claymore regarda autour d’elle et chercha déjà à une stratégie à adopter. Lénaïg se mit à palper son collier et baissa la tête lorsqu’une voix retentit :

« Dois-je comprendre que ce collier a de l’importance à tes yeux ? »

Lénaïg se retourna et vit le yoma. Il devait faire le double du corps de la claymore. Ses longues griffes aiguisées et ses dents pointues ne terrifiaient pas la jeune claymore. Elle restait calme, à l’observer. Lénaïg ne répondait pas et semblait plonger son regard dans celui du yoma.

« Puisque tu ne me parais pas très bavarde, je vais passer directement au combat alors. »

La claymore continua de l’examiner de haut en bas. Elle savait qu’il allait s’attaquer à elle d’une seconde à l’autre. Mais la claymore était bien trop rêveuse et plongée dans ses pensées pour réfléchir à la manière dont elle allait se défendre. Tout à coup, le yoma la plaqua au sol, approcha sa bouche de l’oreille de Lénaïg et lui murmura d’un ton sadique :

« Je ne sais pas pourquoi tu ne parles pas, mais sache que cela excite ma curiosité comme jamais auparavant. »

Le yoma commença à approcher ses mains du corps de Lénaïg. Il se mit à enlever sa cape puis à l’aide de ses griffes, il déchira son justaucorps gris et enfin avança son hideux visage vers son ventre.

« Je dois l’avouer, je trouve ça dommage de devoir me débarrasser d’une si jolie créature. Enfin … certes, tu es ravissante, cependant, toi et tes camarades, les sorcières aux yeux d’argent vous tuez et vous n’éprouvez aucun remord, aucun dégoût. Et pourtant, vous vous dites semi-humaines … Mais est-ce vraiment humain d’ôter autant de vies en étant aussi indifférent à ce que vous faites ? »

Lénaïg se releva brusquement en poussant le yoma avec ses jambes puis elle dégaina sa claymore.

*Assez parlé, maintenant, je passe à l’action.*

La claymore fronça les sourcils tout en se concentrant pour que sa voix provoque des ultra-sons. Elle fixa le yoma et s’avança vers lui en disant de vive voix :

« Humain ou non, tuer est notre devoir. »

Elle s’avança jusqu’à lui. Le sol vibrait tellement que le yoma en était complètement paralysé. Même s’il tentait de résister aux vibrations, c’était sans succès. D’un mouvement gracieux et vif, Lénaïg faucha la tête de l’éveillé. Il poussa alors un cri sous les yeux de la claymore qui semblait complètement indifférente à sa souffrance. Puis elle se mit à toucher une seconde fois son collier.

Tuer était son devoir. Cependant, le yoma n’avait pas tout à fait tort, on ne pouvait pas se dire humain ou à moitié humain en ôtant autant de vies sans réagir. Mais elle le devait, car c’était son destin et elle ne pouvait désormais rien y changer. Lénaïg était et resterait claymore tout le long de sa vie.

Lénaïg releva la tête, fière d’elle. Un sourire s’afficha sur son visage. En tuant des yomas, elle était peut être inhumaine, mais elle respectait la promesse qu’elle avait faite à Lyîa car c’est de cette manière qu’elle continuait à la faire vivre.


Dernière édition par Lénaïg le Mer 19 Mai - 22:02, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Lénaïg la mélodieuse   Lénaïg la mélodieuse Icon_minitimeDim 23 Mai - 0:02

Présentation validée.

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