Retour à Rabona :

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Lenneä. c’était séparée de Nel et de son groupe. Car elles avaient croisées sur leurs chemin, une troupe de garde d’Egon qui se diriger vers Rabona, comme elles. Après Pietra, leur groupe c'était agrandit, Nel et Lenneä était avec d'autres personnes prêtes à combattre l'organisation. Ces gardes transportaient une lettre de leur capitaine pour le saint père. Ils avaient aussi une lettre pour Lenneä :

Chere Lenneä,

Nous, nous connaissions depuis maintenant plus de 20 ans déjà. Je souhaite te dire que tu es toujours la lieutenante d’Egon. Les deux Claymores de l’organisation, son partie avec sûrement beaucoup de retard. Nous avons été plus que aimable avec elles. Elles se souviendrons d’une ville de lèches bottes des plus collant du monde.

Ton père serait fière de toi, Lenneä. Je souhaite te dire aussi, que la ville d’Egon, pendant ton absence à retrouvait sa gloire d’antan, avant l’attaque des mercenaires sur notre ville. Ma femme, qui selon la tradition d’Egon, qui au nom des femmes d’Egon, te souhaite bon courage dans la vengeance de ta famille.

Si tu as reçue cette lettre tu doit savoir, que j’envois ses hommes à Rabona, pour prendre contacte avec le nouveau saint père. Qui est un vielle amie de ta défainte mère, le père Yvan, maintenant saint père.

Tout mes voeux de réussit dans votre entreprise,

Lieutenant qui vous a fallait à Rabona la vielle de votre victoire.

Lenneä sourit en lisant la signature du vieux capitaine, seule elle pourra savoir, qui avait signer cette lettre, ou que la femme du capitaine d’Egon, devient automatiquement le maire de la ville, et est la seule à pouvoir parler au nom des femmes d’Egon. Lenneä avait décidait de partir avec ses hommes, pour Rabona, en mission de reconnaissance pour Nel, elle pouvait cacher son Yoki, facilement, Et les suppresseurs de Yoki avait un effet plus long sur elle pour cacher ses yeux argentées, tout en la laissant la possibilité d’appeler Lanara, enfin si jamais, elle avait un gros problème. Car Lanara en se moment ne se manifestait que par des rêves étranges...

Lenneä avec ses hommes approcha de la porte de Rabona. Ces hommes et elle était sur les chevaux de la cavalerie d’Egon, portant une armure de bronze sur les flans et la tête, avec une toile jaune par dessus, jaune comme la couleur d’Egon. Les gardes eux, portait tous des lances, entièrement faite en acier. Leur armure était en bronze, avec une tunique jaune par dessus, le blason d’Egon fièrement brodé au niveau de leur torse. Il portaient aussi un casque, qui leur cachait les yeux. Lenneä avait la même armure, avec en plus une cape, et un plastron ornementé, et adapté à sa poitrine féminine, à la place des maille de cuivre que portaient les simples gardes. Elle avait aussi un casque qui cacher tout son visage, et surtout ses yeux argenté.

Lenneä et sa troupe arrivaient devant la porte de Rabona, au pas. Les gardes de Rabona, reconnurent pour la plus part, leur confrère d’Egon. Un garde alla prévenir le Capitaine de l’arrvier de 10 gardes d’Egon dans la ville sainte...

Invité

Aujourd’hui était une journée forte agréable, le soleil brillé de toute sa splendeur et un léger vent frai venait accompagner la chaleur laisser par le soleil. Toute la ville profita de cette journée, animait par les marchés dans la place centrale de la ville. Tous les habitants de la ville et bien sur les voyageurs, se promenaient dans les rues et les places de la ville. Tous ? Hé non, tous les citoyens de la ville n’étaient pas dehors à profiter de cette journée. Le nouveau capitaine Her Feers se trouvait dans son bureau entrain de lire et relire des documents concernent la ville et ses lois. Mais aussi le livret de note de l’ancien capitaine de la ville. Feers lisait et étudiait attentivement ce livret … .

Après 2 heures d’études administratif, Feers se leva de son bureau. Tout en marchant vers la pièce où était entreposé son armure, il s’étira et réfléchit à tout se qu’il avait pu apprendre pendant ses deux heures d’études. Il arriva devant la porte de la pièce voulut, mit la main sur le poigner de la porte et ouvrit. On pouvait voir l’armure de Feers, rangeait au fond de la pièce. La fenêtre se trouvant juste derrière l’armure, légèrement en hauteur, laissait passer de la lumière éclairent juste l’armure. Feers s’en approcha d’un pas lent et pensif et une fois arrivait devant, il commença à le mettre, étape après étape, couche après couche.

Pendant ce temps, un garde marchait d’un pas rapide dans les rues, il avait l’air presse. L’homme en armure de couleur argent se dirigea vers les quartiers du capitaine. Il toqua une première fois, mais pas de réponse, il toqua deux fois, trois fois, quatre fois …, pas de réponse. Pourtant, un autre garde l’avait dit que le capitaine était chez lui. Alors, n’ayant pas de réponse à ses frappes sur la porte, il décida de rentrer. Le garde mit la main sur le poigner et l’abaissa lentement, la porte s’ouvrit. Il entra alors dans la maison et referma la porte derrière lui et demanda :

-Capitaine, vous êtes là ?

Toujours pas de réponse, il marcha d’un pas lent vers le centre de la pièce, regarda autour de lui et vis une porte entre ouverte. Il se dirigea vers celle-ci en espérant de trouver le capitaine.

Feers avait enfin finit de mettre son armure, il fit quelque mouvement afin de mettre a l’aise dans cette armure pesant plusieurs kilo. Il restait plus qu’a mettre le heaume. Il le prit a deux main, ce dernier était poser sur son porte armure. Il le tourna, et le mit au-dessus de la porte et le glissait et juste après avoir mit son heaume, un garde entra dans la pièce. Il ne se retourna et dit avec une voie métallique et grave à cause de son heaume se qui cachait la vrai voie du capitaine :

-Que se passe t-il soldat ?

Feers avait reconnu que c’était un garde, à cause du bruit de ces pas, un bruit métallique, ce qui veut dire que cette personne portait une armure et les seules personnes portant une armure dans la ville était les gardes et le capitaine de la garde. Le garde répondit :

-Veuillez m’excuser, mais un groupe d’homme d’Egon vient d’arriver dans la ville.

-Des hommes d’Egon … .

Feers avait pas beaucoup d’information sur ce, il savait juste que le dirigeant de la ville et l’ancien capitaine tenaient d’excellent relation avec la ville d’Egon. Feers se retourna vers le garde et lui dit :

-Allons donc accueillir ces personnes. Cela fait plusieurs année que des hommes d’Egon n’était venu. Quelle est la raison de leur visite ?

Feers sortit de sa maison suivit par le garde qui lui ferma la porte. Afin de ne pas faire trop attendre les invités, Feers et le regarde se dirigèrent vers la porte de la ville d’un pas rapide où les hommes d’Egon fut inviter d’entrer et d’attendre. Feers se demandait si Egon était prévenu du décès de l’ancien capitaine. Les personnes se trouvant à la porte de la ville, pouvais voit deux personne en armure se dirigeaient vers leur direction, mais ces deux personnes ne portaient pas les même armures … .

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Lenneä stoppa sa troupe, devant les portes d’Egon. Plusieurs gardes en armure argenté les attendait les gardes de Rabona, la ville sainte. Lenneä ne les avait pas vue depuis longtemps. Elle levat la tête, la cathédrale dépassait toujours tout les bâtiments de la ville.
La voire, dominant cette ville sainte, rappela à Lenneä les trois dernier jours qu’elle avait passé dans cette ville. Quand elle était devenue la plus puissante guerrière humaine....Elle vit deux hommes arrivait dans la direction.

*L’un sûrement l’aide de camps de son oncle, l’autre, plus étrange il portait une armure complète en acier, avec une croix blanche. Un haut gradé, de la garde de Rabona ? Il avait une armure qui ressemblait à celle de son oncle. Son oncle est-il malade, devenait être vieux, maintenant, il lui a sûrement envoyer, son homme de confidence* pensa-elle.

Lenneä descendit de son cheval, puis tendit la main, en enlevant son gantelé.... Ses hommes, descendirent aussi de chevale, tenant leur lance verticalement devant eux , au garde à vous...

Lenneä se présenta :

“Bonjours, Je suis le lieutenant Michelle d'Egon, je vient voire le vénérable père de Rabona.”

Puis voyant l’heur tardive à la quelle, ils était arrivés, le soleil commençais à se coucher, et rajouta :

“Et le capitaine de Rabona, mon oncle... Au saint père, j’ai une lettre à lui remettre de la part du capitaine et de la maire d’Egon... Je pense la lui remettre, demain.”

Lenneä observa Her Feers avec attention, en cherchant son garde... et ses yeux, sous son casque...

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Feers arrive devant la porte avec le garde qui lui avait prévenu de la visite d’hommes d’Egon. Il fit signe au garde que tout était bon et fit un salut militaire. Il regarda attentivement les hommes, leur armure, leur armes … tout correspondait a la description laisser dans le livret de l’ancien capitaine. Après le salut, une personne s’avança vers lui et tendit sa main et se présenta comme le lieutenant Michelle d’Egon. Comme la main était avancée, Feers lui serra les mains en retour, mais avant qu’il puisse se présenter, le lieutenant Michelle lui parla d’une lettre, du saint père et de son oncle. Feers lui répondit avec sa voie métallique et grave :

-Je vous souhaite avant tout le bien venu à Rabona ! J’espère que le voyage c’est bien passé et qu’il ne fut pas trop dure pour vous.

Il fit signe aux gardes de s’occuper des chevaux de leurs invités, si l’ancien capitaine avait eu de bonne relation avec ceux d’Egon, Feers pensait qu’il devait entretenir cette bonne relation. Il continua :

-Je pense aussi qu’il sera mieux de donner votre lettre demain matin au saint père. Mais je vous en pris veuillez me suivre.

Feers invita les hommes d’Egon et leur lieutenant de les suivre. Il les fit traverser une bonne partit de la ville, en chemin, les personnes encore présent dans les rues commencèrent à rentrer chez eux, a cause du couvre feu dû à des meurtres se faisant au sein de la grande cathédrale et que Feers enquêter dessus. Mais avant de rentrer chez eux, les habitants et voyageur regardèrent d’un air interrogatif les inviter. Au bout de cinq minute de marche Feers s’arrêta de marcher et se retourna vers un grand bâtiment, c’était une auberge. Il regarda l’auberge, se retourna vers les gardes et dit :

-Soldat vous pouvez vous retirer, ce sont les hommes de nuit qui vont prendre votre place, reposez-vous bien !

Les soldats firent un salut et se retirèrent chacun vers leur maison. Après cela Feers se retourna vers les hommes d’Egon et leur dit :

-C’est ici que vous serez loger pendant votre séjour à Rabona. Mais nous n’avons pas pu préparer vos chambres, nous nous n’attendions pas une visite de votre part. Dites à l’aubergiste que c’est Feers qui vous envoie. Si vous désirez quelque chose, n’hésitez pas a me demander. Sur ceux, bonne soirée.

Il refit un salut et se dirigea vers une maison qui se trouvait a quelque mettre de l’auberge, c’était les quartiers du capitaine. L’auberge et les quartiers de Feers se trouvaient en face de la grande cathédrale. Feers entra dans ses quartiers … .

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Lenneä trouva bien étrange que son oncle, n’est pas venu la voire, ou même que l’on ne l’ai pas envoyer le voir. Pourtant le soldat en armure, les conduisit vers une auberge, où elle et ces hommes, pourrons dormir. Elle rentra dans l’auberge, plus ou moins vide, seule quelques ivrogne dormaient sur les tables, ses hommes la suivirent en donnant leur chevaux aux garçons d’écurie de l’auberge.

L’aubergiste, un homme assez rachitique, les yeux vif, au milieu d’un visage remplit de villes cicatrises, les cheveux gris, les regarda entré avec méfiance. Il reconnue l’uniforme des garde d’Egon, mais que dix d’entre eux, commander par une femme, rentre à cette heur tardive, dans son auberge, avait tout d’inquiétant. Lenneä s’approcha de l’homme, et lui dit d’une voix, charmante :

“Aubergiste, non allons vous resservez dix lits, nous venons de la part de Feers.”

L’aubergiste regarda Lenneä-Michelle dans les yeux enfin regarda les trous dans son casque prévue pour les yeux de son locataire, et lui répondit :

“Pas problème, j’ai encore 12 lits de libre. Il y a pas de problème, je met votre consommation et votre hébergement au nom de la ville de,Rabona.”

Il se déplaça derrière son comptoir et ouvrir un lire, y marqua dix lits prit par la garde, et entre parenthèses (Voir avec le capitaine Her Feers.) Puis tendit quatre clefs à Lenneä-Michelle, et lui expliquant :

“Voila, trois chambre avec trois lits, et une avec un grand lits pour vous lieutenante, si je me rappel les gardes dans la garde d’Egon.”

Lenneä lui sourit, donna les clefs à ses hommes, qui montèrent se coucher directement, un de ses hommes lui dit :

“Lieutenente, Il parait qu’il a un couvre feu, ici à Rabona, je par faire mon enquête.”

Lenneä lui chuchota :

“D’accord, Brom, mais soyez discret.”

Et il partit vers l’étage avec les autres gardes. Lenneä elle répondit à l’aubergiste :

“Vous avez raison, je suis bien lieutenente à Egon. Vous avez fait l’armée ?”

L’aubergiste lui répondit en souriant :

“Oui, lieutenante, il y a bien plus de dix ans. Bon nuit.”

Et il retourna dans sa cuisine, sûrement pour faire la vaisselle du soir.

Lenneä, elle monta dans sa chambre, et s’endormit dans son lit. Une heurs plupart alors qu’elle fessait un drôle de rêve avec l’abyssale Riful de l’ouest, et d’autre personne, un de ses hommes la réveilla pour lui dire que Brom, n’est toujours pas rentrait de sa mission. Lenneä pris sa Calymore et sortit, de l’auberge par les toits. Plaçant son arme sous sa cape jaune, elle atterrir après une patrouille de garde de Rabona, et poursuivit son chemin vers la cathédrale, où elle sentait, un Yoki.

Quand elle trébucha et tomba dans les bras, d’un homme en armure avec une croix blanche, Her Feers...

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La nuit était tombée, les rues et les places de Rabona qui étaient animées par le marché et les va et vient des habitants et de voyageur de la ville, prirent fin. La ville de Rabona était devenu froide, silencieuse, déserte. La cause de ce changement radical d’ambiance, n’était pas seulement due au tombée de la nuit, mais aussi a cause du couvre feu instaurait par le capitaine Her Feers. Mais la ville n’était pas si déserte que ça. On pouvait voir et entendre, que des groupes de personnes marchaient dans tous les coins de la ville. Des bruits de pas ordonnaient, qui faisaient un bruit métallique. C’était des gardes qui patrouillaient dans la ville. L’homme a la tête du groupe de patrouilleur éclairé le chemin des ses camarades à l’aide d’une torche. Rabona s’était transformé, sa ne ressemblait plus réellement à une ville, mais plutôt à une base militaire … .

Pendant ce temps, Feers était dans ses quartiers. Assit sur une chaise, devant son bureau, il lisait et signait des papiers administratif et revoyait la liste des gardes du soir. Mais tout ses pensées n’étaient pas fixées sur cela, une partie de son esprit se posait des questions sur le pourquoi de la visite de ces hommes d’Egon, sur leur lieutenant et bien sur cette lettre pour le saint père. Après quelque minute de réflexion, il se dit :

-Je serais plus de chose surement demain, lorsque la lettre sera remit au saint père.

Feers s’étira sur sa chaise, on pouvait entendre quelque os craquait. Il se leva et prit son heaume poser sur son bureau, le mit et se dit :

-Allons voir se qui se passe dehors.

Il se dirigea vers la sortie de sa maison et se retourna et regarda autour de lui quelque seconde et sortit dehors. Feers partit faire une « inspection », pour voir si tout se passait bien et qu’il n’y avait pas de problème. Il se déplaça dans les ruelles désertes et obscures de Rabona. Il faut dire qu’il y avait une grande différence entre le jour et la nuit. La journée, la ville sainte est une splendeur, avec une ambiance chaleureuse et agréable. Mais dès la tombée de la nuit, la ville ressortait une toute autre atmosphère. La ville était lugubre, avec une ambiance plutôt froide et désagréable. Feers se déplaça prudemment, mais sans torche, il préfère avoir les mains libres pour pouvoir plus vite se défendre que de tenir une torche. En chemin de son « inspection, il rencontra une patrouille, les salua et leur demanda de faire un rapport :

-Au rapport soldat ! Est-ce que tout se passa bien ?

-Bien capitaine ! Rien de suspecte n’a était repéré. Nous n’avons eu aucun problème.

-Bien.

Les gardes et Feers se resaluèrent et chacun reprirent son chemin, dans le sens opposé de l’un a l’autre. Fers se retrouva de nouveau seul. Il n’y avait aucun bruit, ni criquet, ni oiseau, ni tout autres animal ne faisait de bruit. On pouvait juste entendre au loin des bruit de pas ordonné et quelque appel que les gardes faisaient. Feers arriva vers un croisement de rue, non loin de la cathédrale, et lorsqu’il allait tournée dans la nouvelle rue, une personne sortit de cette rue, elle avait l’air d’avoir trébuchée, alors Feers, par reflexe, rattrapa cette personne. Sur le coup il fut surprit de voir quelqu’un déboulait au milieu de la nuit, de plus cette personne n’était pas un garde de Rabona, il ne portait pas l’armure argentée des gardes de la ville. Après réception de la personne, si on peut le dire, Feers demanda :

-Vous allez bien ?

Il regarda attentivement la personne et reconnu l’armure de l’un des hommes d’Egon, plus exactement l’armure du lieutenant Michelle, qui était différent des autres hommes. Il reprit :

-Lieutenant Michelle ? Mais que faites vous ici au milieu de la nuit ? Vous êtes pourtant en courent du couvre.

Her Feers aida le lieutenant à se remettre debout. Il regarda si le lieutenant n’avait rien et le regarda au niveau des yeux de Michelle cachait pas son casque comme pour lui par son heaume en attendant une réponse à ses questions.

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Lenneä avait glissé sur une dalle polie par le temps, ou alors trébuchait sur une dalle sortant de l’alignement des autre. Quoi qu’il en soit elle tomba, dans les bras d’un homme. Elle reconnue tout de suite l’armure d’acier, de garde Her Feers, surtout à sa grande croix blanche peinte sur sa poitrine. Il l’avait aussi reconnue. Il l’aida à se remettre de bout. Puis lui demanda ce qu’elle faisait là, sachant que la ville était sous un couvre feu. Lenneä le regardant dans les yeux, sous son casque, ne sachant pas que lui aussi l’observait de la même manière. Elle lui répondit :

« Her Feers, je le sais, mais un de mes hommes a disparu, il partait à la cathédrale. Je suis responsable de lui. Je doit le retrouvait. »

Elle regarda Her Feers, quelle que instant, puis repartie au pas de cours vers la cathédrale. Elle ne se retourna qu’une fois pour voir, si le militaire de Rabona, la suivait ou pas…

En arrivant devant la Cathédrale, elle aperçus, des traces de sang. Elle s’arrêta, surprise. Elle suivit les traces lentement, en dégainant sa claymore, dont elle avait caché le symbole avec une bande de tissu. Elle pénétra dans la cathédrale, pour arrivait dans une salle sombre où était entreposé des objets diverse. Des vases en argents, avec de vieux chandelier, trônais sur de simples caisses en bois, plusieurs livres était rangeait en pille au milieu de la pièce. Une armure reposait sur un mur, dans un coin. le tout plongé dans l'obscurité.

Lenneä en se dirigent vers le milieu de la pièce aperçu, son homme, au sol, les entrailles à moitié dévorées, la surprise se lisait sur son visage. L’épée dans sa main, était ébréchait. Sa lance avait était tordue. Son homme avait combattue un Yoma, elle en était sur, et il avait périt. Mais en observant la lance, elle sourit, il l’avait blessait, du sang violet recouvrait la pointe de la lance. Elle ne sentait aucun Yoki dans la pièce, et n’y voyait pas non plus grand chose.

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Feers aurait dû, celons la loi, l’arrêter pour n’avoir pas respecté le couvre feu, mais lorsque Feers a entendu que le lieutenant Michelle cherchait un de ces hommes, il le laissa partir … . Il pensait que se qu’il faisait n’été pas très « réglementaire », mais bon, Feers a toujours prit ses responsabilités pour ses manquements au règlement, bien qu’il n’est jamais fait cela auparavant. La raison d’une telle décision reste inconnue. Il vit partir le lieutenant Michelle vers la grande cathédrale a grande vitesse, comme si elle avait senti quelque chose qui le poussait a ce dirigeait vers la cathédrale. Feers fit un soupir et dit :

-On dirait que cette nuit ne sera pas comme les autres … .

Il commença a se dirigeait lui aussi vers la cathédrale d’un pas rapide, il traversa les obscures rues de Rabona, en regardant quelque fois derrière lui pour voir si une patrouille se trouvait la ou quelqu’un d’autre, qui sait, si une personne n’avait pas respecté le couvre feu, d’autre le pouvait aussi. Après quelque minute de marche, Feers arriva en bas des escaliers menant à la grande porte de la cathédrale. Il pu remarquer qu’il n’y avait pas de garde ici :

-Mais où est l’équipe chargeait de la garde de la cathédrale ?

Il trouva ça étrange, il y avait toujours une patrouille postait ici d’habitude, mais cette nuit non. Feers monta les escaliers prudemment, il marcha d’un pas discret, de sorte qu’on n’entend point le bruit de ses pas, malgré son armure et sa main droite sur son épée attachait à sa ceinture, à gauche. Il atteignit la porte principale de la cathédrale, il vit des traces de sang par terre, allant de l’extérieur à l’intérieur de la cathédrale et aucun garde dans les environs en cas de problème … . Feers respira un grand coup et poussa le côté droit de la porte principale de la cathédrale pour entrer.

Comme pour la ville, la cathédrale dégageait une tout autre ambiance, une ambiance à faire froid dans le dos, sombre, lugubre et j’en passe. Bien qu’il fasse noir et que sa vision était assez réduite dû à l’obscurité, il vit un homme à terre, inerte et le lieutenant, juste à côté, avec une claymore en main. Bien qu’il venait à peine d’arriver, il comprit que l’homme à terre était surement mort, vu son état et que son assassin n’était pas loin vu la position que le lieutenant avait prit. Feers s’approcha discrètement du corps de l’homme et remarqua que ses entrailles ont été une partie dévoré, il dit :

-La même méthode du tueur … .

Le tueur …, hé oui, voila déjà plusieurs jours que des personnes se faisait tuer de cette façon au alentour et dans la cathédrale, durent les nuits. Cette affaire a été donné au capitaine Her Feers, avec la mission de mettre fin a ces meurtres, bien que Feers avait, sans relâche rechercher ce criminel, il n’avait que très peu de piste a son sujet et il ne le vit jamais. Mais cette nuit était peut être une chance de découvrir ce tueur et de le mettre hors d’état de nuire et de rendre justice aux malheureuses victimes. Il se tourna vers Michelle et lui demanda avec toujours sa voie métallique et grave dû a son heaume :

-Est-ce la personne que vous recherchiez ?

Il garda la main sur son épée attachait a sa ceinture. Bien que l’ambiance et la situation était assez négatif, Feers garda son sang froid, sa respiration avait un rythme régulier, normal, non accélérer.

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Lenneä n’avait pas entendue, Feers arrivait. Mais elle c’était retourner à son approche, par hasard, pour le voir arrivait dans la pièce. Elle se dirigea vers la porte du font, elle était fermé. Le Yoma, qui avait sûrement tué son homme était encore dans la salle,… Le sangs frais sur la lance de Brom, l’attester, il n’avait pu fuir de cette pièce, avant son arrivé. Son homme était mort il y a peu… Elle aurait plus le sauvait si elle était arrivait plus tôt… Sachant cela, elle se mit a tout retourner dans la pièce, cherchant le Yoma, qui pouvait se cacher dans n’importe où.
Elle se tourna vers Her Feers, en lui disant :

-Her Feers, l’assassin doit étre encore dans cette pièce.

Elle repartie derrière le fouillis empilé dans la salle, cherchant lentement, la moindre trace de sang violette, par mis diverses objets qui se sont accumulé là depuis que la cathédrale fut construite à Rabona. On trouvait aussi bien, des objets de culte que des offrandes des fidèles à l’église. Plusieurs livres se mélangé avec des collier de perles. Un reliquaire trônait au milieu de plusieurs couverts en bois. Des caisses au contenue inconnue, étaient rangeait avec plusieurs tonneaux. Cette pièce servait d’entrepôts à l’église, qui apparemment ne ranger là, que ce qu’elle ne voyait pas l’utilité pour l’instant, mais qui pourrait toujours servir.

Lenneä mais si une où plusieurs personne pouvait se cacher dans se bazars, sans qu’elle les retrouve, était déterminé à tuez le Yoma qui avait tuer l’un de ses compatriotes. Dans un coin de la salle pas loin d’Her Feers, plusieurs armes était entassé, des lances, des épées, des ars avec des pièces d’armures…
L’armure complète, semblait avoir bouger dans son coin,..
Et elle présenté d’étrange reflet violet…

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Feers vit Michelle se déplacer vers le fond, vers la porte de derrière, elle s’embla être fermé. Puis Michelle se déplaça dans différent endroit de la cathédrale, comme s’il cherchait quelque chose, il fouilla dans différente pièce présent dans la cathédrale. Feers se dirigea vers le centre de la pièce, main sur son épée, jusqu’au moment où Michelle se tourna vers lui et lui dit que l’assassin était surement encore dans la cathédrale. Feers se changea de direction et se dirigea vers où il était renter et ferma la porte et la bloqua de façon que personne ne puis sortir d’ici, Feers se dit :

-Il n’est pas question qu’il sort d’ici.

Il remit sa main sur son épée attachait a sa ceinture et se dirigea à nouveau vers le centre de la pièce principale de la cathédrale. Après être arrivé au centre de la pièce, il regarda autour de lui, afin de voir s’il percevait quelque chose. Mais il ne vit rien, l’obscurité de la grande cathédrale diminué de beaucoup la vision de Feers. Bien qu’il ne vive rien, il remarqua quand même quelque chose. L’armure se trouvant vers le fond de la pièce n’était pas à sa place habituelle, il trouva ça étrange, car durent la journée, cette armure était a ça place, et il n’y avait aucune raison que quelqu’un l’est déplacé. Feers se dirigea vers cette armure, d’un pas lent, toujours main sur son épée et surveillé ses arrière, où cas où si l’assassin venait à apparaitre.

Feers arriva devant l’armure, mais avant de faire quoique se soit, il regarda attentivement cette armure. L’armure n’avait pas seulement changeait de place, mais il avait aussi changeait de couleur par endroit, on pouvait voir une substance violette par endroit et l’armure était en plus cabossée, comme si l’armure aurait reçut des coups. Feers trouva cette affaire de plus en plus étrange, cette armure n’était pas utilisait comme protection, mais plutôt pour être exposer. Feers fit un pas en arrière et donna des coups sur l’armure avec sa main entouré par une cotte de maille. Feers vit que rien ne se passait, alors il décida de vérifiait si cette armure était bien vide. Il éloigna ses mais de son épée et mes mit sur le casque de l’armure. Il respira un grand coup avant de soulevait d’un coup sec le casque. Quelle a était le résultat ? Feers pensait trouver une armure vide, mais non, cette armure était loin d’être vide. Lorsqu’il souleva le casque, Feers vit la tête d’un monstre, il dit :

-Nom de … !!!

Il ne finit pas sa phrase, qu’une seconde après avoir vu le monstre, il lâcha directement le casque, qui, lorsque le casque toucha le sol, fit un bruit métallique, raisonnant dans toute la cathédrale. Les mains de Feers, après avoir lâché le casque, se dirigèrent vers son épée, sa main gauche pour tenir le fourreau et sa ma droite pour dégainer son épée. Mais, au moment que Feers allait dégainer son épée, le monstre lui donna un coup avec son bras au niveau des côtes. La force du monstre était impressionnant, car son coup fit voler Feers a plusieurs mettre, il le fit voler comme de rien, cela était impressionnant car Feers portait une armure assez lourde, mais cela ne l’empêcha pas de quitter le sol.

Feers atterrit violemment contre des tonneaux que certain se cassèrent. Bien que les tonneaux et son armure avait amortit sa chute, Feers ressentait quand même une douleur dans tout son corps a cause de l’atterrissage, mais surtout au niveau de ses côtes. Feers était un peu assommé par le coup et la chute, mais il reprit très rapidement ses esprits et se releva temps bien que mal. Mais lorsqu’il a voulut dégainer son épée, il vit qu’il n’était plus dans son fourreau attachée a sa ceinture côté gauche. Il leva la tête et vit son épée … dans les mains du monstre.

Lorsque Feers s’est prit le coup dans les côtes, son épée a du tomber et le monstre l’a du le récupérer. Bien que Feers n’ait plus son épée, il était loin d’être désarmé, il prit son arbalète qui était rangeait, fixait a son dos. Il le prit dans ses mains et sortit un carreau, mais lorsqu’il a voulut chargeait son arbalète en tendent la corde, une douleur traversa tout son corps, surtout au niveau de ses côtes. Il tomba sur ses genoux, mais il garda son arme en main. Feers serra les dents et les mains et tendit la corde malgré la douleur et mit le carreau. Il se remit debout difficilement, il avait du mal à respirer, sa respiration était lourde et douloureuse. Mais malgré tout ça, il visa le yoma dans l’armure, plus précisément le coup et tira le carreau. Après avoir tiré, il ressentit à nouveau une douleur dans tout son corps et tomba en arrière, sur les tonneaux … .

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Lenneä était entrain de fouiller l’entrepôt de la cathédrale quand elle entendit Her Feers criait. Elle courut vers lui pour le voire s’envolait dans les aire et atterrir sur des barils. En tournât la tête, elle aperçus un Yoma en armure… Sur le coup elle fut un peu surprise elle ne sentait pas de Yoki, s’échapper de lui, s au niveau de la tête. Quelle était cette étrange armure… Elle vit le Yoma prendre l’épée de Her Fers. Elle se mit en garde, si c’était un Yoma normale elle l’aurait attaqué directement, mais il était plus que bizarre, la prudence s’imposait.

Le Yoma allait s’élancer vers elle, quand un carreaux d’arbalète, lui creva l’œil droit. Lenneä surprit allait attaqué pour profitait de la diversion que lui offrait Her Feers avec son arbalète avant de s’écroulait inconscient. Mais le Yoma, l’évita, et remit son casque en place. Puis fonça vers Lenneä qui para son coup d’épée avec sa claymore. Le Yoma savait bien manier l’épée. Lenneä tenta d’atteindre son cou, pour coupé la tête à se monstre. Mais le Yoma para son attaque et contre attaqua, la fessant reculait.

Elle atterri dans les tonneau près d’Her Feers, se releva aussitôt. Pris sa claymore dans la main gauche, et fonça vers lui, changea de main son épée à la dernière secondes, elle fit volait son caque, révélant son visage horrible, avec le carreaux d’arbalète d’Her Feers dans son œil droit, ce qui avait permit à Lenneä de l’attaquer avec sa main droite, tout en le faisant para une fausse attaque de la gauche.

Enfin, son casque Lenneä, put sentir son Yoki. C’était un bien, un Yoma, très puissant certes, mais moins qu’elle actuellement. Elle l’attaqua de toute la rage qu’elle ressentait après la perte de Brom. C’était l’un des meilleurs éclaireurs d’Egon. Il manquera à sa sœur…

Le Yoma, se contenta de parait tout les coups de Lenneä, incapable de récupérait son casque et de l’attaquer, il était acculait par Lenneä, et se protégé sa tête. Mais Lenneä attaqué aussi son corps, l’armure résistait qu’elle que temps, même plus longtemps qu’une armure classique contre une claymore. Mais elle faiblissait et Lenneä commença à faire coulait le sang du Yoma…

Mais le Yoma protégé sa tête et ses bras avec force, Lenneä en aura pour toute la nuits pour le faire cédait, sauf si elle réussissait à percevoir les flux de Yoki dans le monstre malgré son étrange armure... Mais elle n'avait que la tête comme point de repéré, elle ne pouvait se concentrait sur les flux de Yoki, tout en combattant...

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Feers entendit du bruit juste a côté de lui, suivit des coups d’épée. Il se réveilla et regarda autour de lui, il était de nouveau parmi les tonneaux brisaient. Il s’assit contre un tonneau encore entier et regarda dans la direction des coups d’épée et vit le lieutenant Michelle se battre avec le monstre dans l’armure. Sven prit appui sur les tonneaux pour se relever. Il baissa la tête et chercha son arbalète, il était juste devant lui, il le prit et, tout en resserrant ses dent retendit la corde et posa à nouveau un carreau. Il pointa l’arbalète dans la direction du combat. Il vit que son premier carreau avait atteint la cible, le carreau avait crevé l’œil droit du monstre, mais tenter une seconde tire dans cet angle était trop risqué, Michelle était juste devant le monstre et les chances d’atteindre la cible sans toucher son « allier » était bien basse, surtout que les deux qui sa battait était en mouvement constante.

Feers réfléchit quelque seconde et décida de se déplacer vers le côté, de façon à trouver un bon angle de tire. Il courra vers le flanc droit des combattent, afin de les contourner et de se retrouver derrière l’ennemi. Il visa la nuque du monstre. Il attendit quelque seconde avant de tirer pour s’assurer que le monstre n’aller pas bouger au dernier moment. Feers tira son deuxième carreau. Le carreau se dirigea et se planta exactement dans la nuque de l’ennemi. Le monstre le va la tête en l’air à cause de la douleur, donna un violent coup d’épée au lieutenant et se tourna vers Feers. Le yoma pointa sa main gauche dans la direction de Feers. Feers se prépara à une attaque frontale de son ennemi, mais cela fut une erreur. Le bras et les doigts du monstre s’allongèrent à grande vitesse dans la direction de Feers et deux sur ces cinq doigts transperça au niveau du torse.

Feers tomba sur ses genoux et toussa, on pouvait voir du sang sortir de son casque, le monstre dit en regardent Feers :

-Misérable humain !

La douleur était omniprésente chez Feers, blaisé, transpercé et un soupçon de peur s’empara de lui. Mais lorsqu’il entendu se qu’avait dit le monstre, il dégaina sa dague et planta la main du monstre et lui dit :

-Misérable humain … que va tu faires avec une main en moins.

Il fit un sourire moqueur derrière son casque et dit d’une voie forte :

- Vas-y Michelle !!!

Feers, malgré ses blessures, retenait la main gauche du monstre qui le transperce. Il mit son espoir sur l’attaque de Michelle, car pour Feers, après tout ça, il ne pouvait plus rien faire d’autre … .

Invité

Lenneä qui combattait le monstre avec acharnement. Quand un carreau d’arbalète se ficha dans la gorge du Yoma. Alors qu’elle avait pris de la distance, pour tenter de percer sa défense. Elle vit avec horreur le Yoma attaqué Her Feers. Elle s’élança pour l’attaquer, trop tard. Le Yoma avait déjà touchait Her Feers, en étirant ses doigts.

*Il pouvait faire cela ? Pourquoi ne l’a t-il pas fait jusqu'à maintenant ?* pensa inquiète Lenneä.

Elle changea de trajectoire, coupa d’un coup sec de sa claymore, les doigts du monstre qui s’était planté dans Her Feers. Puis en tournant sur elle-même, planta son épée dans le cou du Yoma, fessant volait sa tête…

Le corps avec l’armure, s’écroula…

Mais la tête, continua à sourire…

Lenneä vit l’armure se relevait, et fonçais vers elle…

Le sang de Yoma, volait dans tout les sens, alors que le corps bougeait encore. Lenneä fut percutait plaça sa claymore devant elle… Elle reçut le Yoma en pleine face, l’épée percuta a son casque. Il vola, révélant sa chevelure blonde, est aussi ses yeux argentés, son visage ressemblant à celui de son père et son oncle le capitaine de Rabona, le nez d’aigle typique de sa famille, et la bouche pulpeuse de sa mère.

L’obscurité régnant dans la cathédrale masquée un peu leurs reflets argentés, pouvant passé par pour des yeux gris d’humaines. Elle se tourna vers le Yoma, le corps et la tête, était bien morts…

Puis elle s’approcha d’Her Feers, en rangeant sa claymore, lui prit son casque dans les mains, et lui enleva, sortit une gourde de son sac, et lui mit au lèvre, pour lui faire boire… Elle plaça ses mains sur l’armure d’Her Feers pour l’aider à se levait, tout en faisant une chose que peu de monde aurait pensait pouvoir faire, guérir un humain avec des pouvoirs de claymore…

Puis elle parti remettre son casque…

En sortant enfin de la cathédrale, elle demandant à Her Feers :

«Her Feers, vous devait allait vous reposez. Je pense que vous n’avez que quelle que contusions. »

Elle n’avait juste guérie, les partis que le Yoma avait blessé s’aidant des résidus de Yoki, qui contaminé la plaie. Puis elle lui demanda en lui remettent son casque :

« Je vais venir avec vous, pour vous surveiller, je n’ai pas envie n’ont plus de revenir à l’auberge et d’expliquer la mort de Brom à mes hommes, avant d’avoir dormi un peu. »

Lanara fit une aussi brève que surprenante remarque dans l’esprit de Lenneä, à moins que cela, soit son propre esprit :

« Quelle pitoyable raison… »

Invité

Lorsque le lieutenant coupa les doigts du yoma qui avait transpercé le corps de Feers, ce dernier tomba en arrière, sur son dos en lâchant sa dague. Il ne vit pas la fin du combat, il était allongé par terre, en regardent vers le haut de la cathédrale cachait par l’obscurité. Il entendit encore des bruits de pas, des coups d’épée, suivit par un bruit métallique, comme si une armure était tombée. Feers essaya de se levait pour voir qui était tombé, mais il lui était impossible de bouger suite aux blessures subit. Après le dernier bruit, un silence apparut, Feers se demandait se qui se passait et si tout aller bien pour le lieutenant Michelle d’Egon. Il entendit plus un bruit, jusqu’au moment où des bruit de pas se fit entendre en se dirigeant vers Feers. La vision de Feers était très réduite, pas seulement de l’obscurité, mais aussi de ses blessures qui lui fit perdre une certaine quantité de sang, il voyait trouble, sa respiration était difficile, mais il entendait encore bien.

Les bruits de pas s’arrêta jusqu'à côté de lui, même pas une seconde après, il sentit que cette personne était entrain de lui retirer son heaume. Une certaine inquiétude prit Feers, était-ce Michelle ou le monstre. Quand son heaume fut retiré, le visage de Feers se dévoila à la personne qui lui avait enlevé son heaume. Un visage, celle d’un jeune homme, plutôt claire, surement dû à son port d’armure régulier qui fait que sa peau ne soit pas toujours au contact du soleil. Des cheveux noir argenté, plutôt cour, qui s’arrête avant la nuque, ses yeux son de la même couleur que ses cheveux, mais plus claire. Son nez était droit et ses lèvres étaient plutôt fines.

Lorsque son heaume lui fit enlever, Feers vit une personne, c’était une demoiselle. Il put voir juste la chevelure blonde de celle qui lui portait soutient. Était-ce Michelle ? Feers ne savait pas que le lieutenant Michelle était en réalité une lieutenante. Mais ses pensées étaient plutôt dirigées vers ses blessures. La douleur l’empêchait de se relever. Il sentit quelque chose venir à ses lèvres, comme une gourde. Il toussa avant de prendre une gorgée. Feers arriva de se relever doucement, avec l’aide de cette personne. Ce qu’il trouva étrange c’était que lorsque la personne l’aida à se relever, il sentait comme si ses douleurs étaient moins importantes qu’avant. Une fois debout, sa vision était de moins en moins trouble. Il sentit la demoiselle le lâcha, mais Feers arriva à se tenir debout seul, malgré la douleur qui était moins forte qu’avant.

Feers se retourna vers la direction de la personne et il la vit de dos, entrain de remettre son casque. C’était bien le …, plutôt la lieutenante Michelle d’Egon. Il regarda autour de lui et vit à terre la tête et le corps du monstre, gisant dans le sang, il se dit :

-Tout est finit maintenant … .

Il récupéra son épée, sa dague et son arbalète et se dirigea vers la porte principale de la cathédrale. Il sortit après Michelle et referma la porte derrière lui. Il se trouvait en haut des escaliers de la cathédrale avec Michelle a ses côté, qui lui conseilla d’aller se reposer, Feers lui répondit :

-Vous avez certainement raison.

Feers se pencha légèrement en avant, mais se rattrapa avant de dévaler les escaliers. Feers sentit le vent frais sur son visage, se qu’il voulait dire qu’il n’avait pas son heaume, il se demanda :

-Où est-ce qu’il est ce casque ?

Il regarda autour de lui et vit la lieutenante se mettre devant, lui remettant son heaume en lui disant qu’elle allait venir avec lui pour le surveiller et pour éviter de retourner à l’auberge et d’expliquer la mort de leur camarade, sans avoir passer une nuit de sommeil. Feers la comprenait et lui dit :

-Il n’y aucun problème, vous pouvais passer la nuit dans mes quartiers. Je ne vois aucun problème.

Feers invita Michelle de le suivre et descendit les escaliers doucement, car bien qu’il avait moins mal, la douleur était encore là et pour éviter de dévaler les escaliers en roulent dans son armure. Feers et la lieutenante marchèrent tout deux dans les rues sombres de Rabona. Ils ne rencontrèrent aucune patrouille, cela soulagea Feers de voir que tout était finit une fois atteins ses quartiers et de n’a pas avoir rencontré une patrouille, il faut dire qu’il n’avait pas la tête à faire un rapport pour expliquait se qu’il s’est passé. Feers ouvrit la porte de sa maison. C’était la résidence réservé au capitaine de la ville.

Feers invita Michelle à rentrer. Lorsque Michelle était rentée, Feers entra lui aussi et ferma la porte derrière lui. Il dirigea la lieutenante vers le salon et lui dit :

-Mettez vous à l’aise.

Il montra une pièce de sa main et dit :

-Voici la salle de bain si vous voulez vous faire une toilette et vous changez.

Il montra une seconde pièce et reprit :

-Et là votre chambre, c’est une chambre d’hôte, jamais j’aurais su qu’il allait être utilisé un jour. C’est désormais la votre.

Il montra une dernière pièce et finit :

-Vous pouvez entreposer votre armure dans cette pièce.

Après avoir fait tout cela, il s’inclina pour se retirer et se dirigea vers une pièce, la pièce où il entrepose son armure. La lieutenante Michelle pouvait voir autour d’elle, le salon, il y avait sous ces pied un grand tapis, une cheminée à la droite. A ça gauche, il y avait deux fauteuils, derrière la porte du salon qui venait vers les autres salles de la maison et face d’elle, le bureau de Feers. Une grande table en chaîne. Il y avait un tas de papier administratif, bien rangeait au bord de la table, un pot d’encre et une plume vers le milieu de la table. On pouvait aussi voir, tailler sur la table, une croix, comme celle de l’armure de Feers. Tout était bien rangé. Mais il y avait une feuille au milieu de la table. C’était une lettre, plus précisément une lettre d’adieu de l’ancien capitaine. Expliquant que la maladie l’avait touché et qu’il lui restait plus très longtemps à vivre et que quelqu’un devait prendre sa place de capitaine, et cette demande se dresser à Her Feers, son fils adoptif. Ceci était en gros ce qu’il se trouvait sur la lettre. Mais il y avait quelque chose dans cette pièce qui pouvait facilement attirait l’attention des autres. Une grande peinture, encadrait et attachait sur le mur se trouvant derrière le bureau. Il y avait sur cette peinture, l’ancien capitaine de la ville avec un jeune homme à ses côtés. Le jeune homme ressemblait étrangement à Feers, mais en plus jeune. Il faut dire que cette peinture daté quelque année en arrière.

Invité

Lenneä sourit sous son heaume, quand Her Feers accepta de la loger chez lui. Elle le suivit, tachent de deviner où habitait cet homme, qui l’avait aidé à combattre ce Yoma. Elle reconnue assez rapidement le quartier où habitait son oncle. Elle se dit que si il était un haut gradé dans la garde de Rabona, c’était normal qu’il habite prés de son oncle. Arrivait devant la maison de Her Feers, elle eu l’impression d’avoir déjà venue, dans cette maison…

En entrant, ce fut encore pire, elle ressemblait étrangement à celle de son oncle, ou bien, les maisons dans ce quartier se ressemblait tous. La disposition des pièces, la chambre, le bureau, l’armurerie, le salon… Elle avait sut dit avant Her Feers, qu’elle était le rôle de toutes ces salles. En le voyant disparaître dans l’armurerie, elle se mit à regardait autour d’elle. Elle aperçus un tableau, elle y voyait son oncle, le reconnue facilement à son nez, ses yeux bleu, et ses cheveux bouclé grisonnant. Il tenait sa fidèle hallebarde dans la main droite. De l’autre main était sur l’épaule d’un jeune homme avec les cheveux noirs, des yeux bruns, et un nez doit. Ce n’était pas un de ces cousins…

Puis en y regardant d’un peu plus près, Lenneä se rendit conte que c’était Her Feers, était elle dans la maison de son oncle finalement. Elle se dirigea vers le bureau, pour voir si une croix qu’elle y avait taillée, quand elle était très jeune avec son père et son oncle, qui avait envie de personnaliser son bureau. Elle la vit clairement, malgré la pile de feuille rangeait sur le bureau…

Une feuille attira son attention. Elle avait reconnue l’écriture de son oncle. En commençant la lecture, un horrible pressentiment l’envahir… Son oncle était mort… Qu’il avait adopté Her Feers. Qui était donc, le nouveau capitaine de Rabona, et son cousin !

Sous le coup de la nouvelle, elle s’écroula sur la chaise du bureau en lâchant, la lettre des mains. Son armure en percutant la chaise fit un bruit métallique résonant dans toute la maison. Des larmes se mit à perlait de ses yeux, sous son heaume. Son oncle mort, était-elle la dernière de sa famille à être toujours en vie ? Après la mort d’un de ses hommes, apprendre que son oncle était mort, l’avait effondrait. Elle ne retenait pas ses larmes.
Des larmes de solitudes et mais aussi de haine, coulaient de ses yeux argentés. L’organisation l’avait privait de sa famille, elle avait gagné en pouvoir, mais ne risquait-il pas de la consumer. Pouvoir qui augmenté de jours en jours, alors que Lanara, l’avait toujours retenue dernièrement. Elle n’était pas sur d’aime ses transformations. Mais elle ne sentait pas l’éveille l’atteindre, quand elle combattait. Ces yeux, avait-ils changeait de couleurs quand elle avait combattue se drôle de Yoma en armure…
Elle ne serait le dire…

Elle vit Her Feers, revenir dans la salle, il s’était changé… Alors qu’elle était toujours en armure, avec son casque, les yeux pleins de larmes. Elle lui montra la lettre, et décida de lui dire qui elle était :

« Her Feers, votre père adoptif était l’ancien capitaine de Rabona. Vous devait savoir que je suis venu, ici, pour le revoir, avec le saint père. Il était mon oncle. Je sais que vous l’avait remplaçais. Je m’appelle pas vraiment Michelle, mais si il ne vous à pas parler de moi. Je ne vous révélerais pas mon vrai nom. Michelle était le nom de ma grand-mère. Je viens bien d’Egon. Mais il était le dernier membre de ma famille, que je souhaité être toujours en vie. Le reste à était tuez par l’organisation… »

Elle avait parlait d’une voix tremblante des deux émotions, la tristesse et la haine. Mais étrangement une autre tonalité avait teinté sa voix. La douce et sensuelle intonation de la voix Lanara. Plus qu’elle que pensé troublante, sur Her Feers qui se tenait devant elle, sans armure, en le comparent à la peinture de lui…
Des Idées qu’elle n’aurait jamais eu, avant l’affrontement à Pieta…

[Hrp = J’ai reprit les cours après un long stage alors je ne pourrait pas posté, la semaine souvent, enfin plus les soirs.]

Invité

Feers enleva son armure, couche après couche. Il entreposa son armure avec le plus grand soin, bien que son armure ait besoin de faire un tour chez le forgeron de la ville. Après avoir enlevé au complet l’armure, ses blessures lui faisaient beaucoup moins mal qu’avant, surement dû à l’enlèvement de l’armure qui, a cause de sa masse, appuyait sur ses blessures. Après cela, il mit sur lui une tunique à manche courte de couleur noir avec les bordures doré, un pantalon de même couleur et une ceinture en cuir.

Lorsqu’il avait finit de se changer complètement, il entendit un bruit sourd dans le salon, ne sachant pas exactement se que c’était, il sortit de la pièce de regarda en direction du bureau, d’où venait le bruit. Il vit la lieutenante « assit », si on peut le dire, sur la chaise du bureau. Elle lui parla de l’ancien capitaine, du pourquoi de sa visite à Rabona, de ça famille et d’une organisation. Feers l’écouta attentivement et il a pu entendre dans ces mots, une certaine tonalité, mélangeant tristesse et de la colère, mais il y avait quelque chose de bisard de cette tonalité, mais Feers n’arrivait pas à le décrire.

Après qu’elle est finit de parler, Feers ne dit rien, il faut dire que Feers n’était pas du tout habitué à se genre de situation. Ne sachant quoi dire, il marcha vers la lieutenante. Une fois arriver devant elle, Feers se mit à son niveau et la serra dans ses bras, bien qu’elle est encore son armure, Feers la prit et la serra dans ses bras et dit d’une voie calme, douce et chaleureuse afin de la soutenir dans sa peine :

-Je suis sincèrement désolé pour la mort de votre oncle, je ne savais point que le capitaine était un membre de votre famille.

Il fit une pose d’une seconde et reprit avec la même tonalité :

-Votre oncle était un grand homme, se fut un immense honneur d’avoir été son fils bien qu’adoptif. Il repose maintenant en paix en sein de la cathédrale parmi les héros des temps passés. Je suis vraiment désolé … .

Il la garda dans ses bras afin d’apporter un peu de réconfort. Lui aussi avait perdu les seul membres de sa famille, mais il n’était qu’un nourrisson, donc il n’a pas pu ressentir se qu’était entrain de ressentir Michelle. Mais il essaya de se mettre à sa place afin de comprendre ce qu’elle pouvait ressentir. Feers, n’étant pas habitué de ce genre de situation et ne savant pas quoi dire, il essaya de réconforter cette personne dans ses bras … .

[Hrp = Pas de problème Lenneä ^^]

Invité

Lenneä fut surprit par la réaction de Her Feers. La dernière personne qui l’avait tenue dans les bras était Nel… Mais elle ne ressentait pas les mêmes émotions avec cet homme.

* Alors, cet homme est mon cousin… Peut-être pourra-il m’aidé finalement…* pensa-elle alors que Feers la serrait dans ses bras.
Elle sécha ses larmes, se leva en repoussant doucement Her Feers. Puis lui répondu en retrouvant un ton normale:

« Feers, merci… Mais, mon chagrin, vous le partagé aussi, s’il était votre père. Je dois vous dire certaine chose… Mais vu que demain, je vais chez le saint père… Et que le sujet que je dois vous informer, le concerne aussi, il pourrait peut-être mieux vous l’expliqué que mon par ailleurs… Mon cousin… »

Elle le regarda dans les yeux,… Elle se retourna après quelle que instant, et se dirigea à pas lent vers la chambre d’amie. Elle était comme dans son dernier souvenir avec les boiseries, sur les murs, représentant une bataille terrifiante entre des hommes et une armée de monstres, qu’elle reconnue maintient comme des Yomas, et des éveillées. En voyant la ville que les hommes défendaient, avec un grand bâtiment une sorte de cathédrale mais beaucoup plus grande. Elle lui semblait étrangement connue…

Elle déposa son sac prés de son lit, referma sa porte. Et commença à enlevait son armure, en commençant par son casque, puis plastron en bronze, puis ses jambières et ses botes. Elle se déshabilla, posa sa claymore sous son lit. Et prit une robe de nuits dans son sac, qui contenait d’autres habits d’une humaine qu’elle avait conservé depuis longtemps. Ils était tous de très bonne qualités, et pouvait se conservait pour un bon bout de temps. Elle les sortit tous pour voir, si ils étaient toujours en bonne état, seul un corser en lin, avec des perles, s’effilochait au niveau de ses nombreuses broderies. Une magnifique robe, en soie jaune, avec un décolleté plongeant, brodé avec des fils d’or et d’Argent était intacte.

C’était le dernier cadeau de sa mère…

Elle mettrait cette robe pour voire le saint père, même si elle trouvait un peu trop échancrait au niveau des jambes, mais comme sa mère lui disait. Ma fille, si tu vient voire un homme, d’une autre ville, montre la puissance d’Egon, juste par des habits… S’il ne comprend pas, laisse les armes réglait le problème…

Elle n’avait jamais vraiment prit les habitudes des vrais Claymores, qui dormait toute habitait, assise en tailleur contre leur claymore qui leur servait de dosait. Elle aime dormir dans un lit pour une fois…

Invité

Feers sentit que la lieutenante le repoussait, alors il le laissa et se remit debout et droit. Après cela, « Michelle » lui parla et le remercient de se geste amical et en lui expliquant que le saint père pourrait lui expliquer certaine chose. Lorsqu’elle avait finit de parler, elle se dirigea et entra dans la chambre d’hôte qui lui appartenait maintenant. Mais quelque chose l’avait étonné dans se qu’elle avait dit, un mot en particulier, le mot « cousin ». Quand Feers vit la porte de la chambre se fermer, il s’assit son la chaise du bureau et reprit la lettre d’adieu de son père adoptif, le regarda et le rangea dans une enveloppe et la mit dans le tiroir du milieu de son bureau, du côté droit. Feers s’adossa sur la chaise et regarda le plafond du salon et se dit :

-« Cousin », il rit. Bien que je fusse élevé par son oncle, aucun autre lien de famille ne nous approche. Peut-on se dire de la même famille sans aucun lien de sang ?

Feers pouvait montrer une certain affection, mais il garde un esprit solitaire, cet esprit qu’il avait grandit avec lui depuis la disparition de sa famille, ceux assassiné par un yoma et cet esprit devenu plus fort avec la disparition de l'ancien capitaine. Il redescendit son regarde sur la pile de feuille et dit :

-Quelle journée ! Bon, le travaille va pas se faire tout seul.

Feers prit une par une les feuilles en les analysants et en les saignants. C’était des feuilles administratives que le capitaine de Rabona devait en prendre connaissance et signer. Feers travailla une bonne partie de la nuit sur son bureau, en repensant à cette journée jusqu’au moment, où il piqua pour du bon du nez pour s’endormir, comme pas mal de soirée, sur le bureau. On pouvait voir sur le bureau, une pile de feuille a droites (feuille non signait), au milieu où Feers s’est endormit dessus (feuille entrain d’être signait) et une autre gauche (feuille signait). Le calme régnait en maitre dans la maison, plus aucune lumière était allumée, plus aucune ? On pouvait voir de la lumière encore dans le salon, et non dans la cheminée à cause d’un bon feu, mais la bougie du bureau où Feers dormait.

Invité

Lenneä fit un rêve étrange mais qui cette fois était plus claire que d’habitude. Elle était au milieu d’une ville en ruine, sur un trône. Étrangement elle attendait plusieurs Claymores de l’organisation, sereinement. Elle les sentait toues, animaient d’intention hostiles à son égard. Elle tourna la tête vers une forme près d’elle, une sorte de centaure à la robe verte, avec un crane sur la tête...

Nel ? Mais elle était immense, et ne dégagé aucun Yoki, pourtant sa force ne faisait aucun doute...
Elle vit une Aëlin un peu plus loin, la reconnue immédiatement, mais elle aussi avait changée...
Puis elle vit qu’elle s’était envolée...

Elle survola un fleuve, vit son reflet. La première chose qui la marqua, fut ses yeux, lumineux comme ce des saints... Puis ses cheveux noirs, et enfin les deux ailes d’ange dans son dos, noires comme la nuit. Elle avait une arme dans la mains, ce n’était pas sa claymore, mais une épée qui lui était inconnue...
Finalement elle sentit son propre pouvoir, immense...
Elle c’était éveillée, elle aussi...
Etait-elle devenue une abyssale ?
Nel et Aëlin s’étaient-elles aussi éveillée ?

Elle rouvrit les yeux, le front en sueur. Elle vit la boiserie dans la chambre d’amie de son oncle. Elle était de retour dans son lit. Elle se leva encore, troublait par se rêve. Elle avait senti, sa propre puissance si elle s’éveillé, la tentation était forte. Mais elle avait déjà essayait, une fois de trouvait ses limites. Elle s’était épuisée avant même que son visage commence à se transformé, et dernièrement, elle n’avait même pas changée l’aspect de ses yeux, contre ce Yoma, pourtant elle avait bien dépasser les 20%...
Que se passait-il ? Ces pouvoirs qui augmentaient, Lanara absente de son esprit, des souvenirs qui se mélange au sien, de drôle de pensés, et pour finir se drôle de rêve. Lenneä n’était pas sûr d’aime ses changement, surtout depuis ce rêve...

L’esprit tourmenté par ces changements. Lenneä avait sorti de sa chambre avec sa robe de chambre, si elle n’avait pas était dans l’ancienne maison de son oncle, elle aurait sûrement pensé à prendre un suppresseur de Yoki. Mais bon, elle n’avait pas pensé à s’habitait non plus...

Elle se dirigea vers le salon. Elle aperçus un homme endormit sur un bureau la tête dans des piles de feuilles. Elle le reconnue en s’approchant doucement de lui. C’était Her Feers, le fils adoptif de son oncle, et qui la remplaçais, comme capitaine de Rabona. Ses yeux s’embrumèrent en repensant à la mort de son oncle...

Elle arriva dernière Her Feers, toujours en robe de nuits. Qui comme tout ses types de vêtement, n’est pas fait pour cacher grand chose à l’anatomie de celle qui la porte. La robe de nuits était en soie blanche, légèrement vaporeuse, avec une broderie sur le décolleté. Et une plus grande et plus fine sur le tout le bas de la robe, qui s’arrêtait au genou de Lenneä. La robe de nuit lui allez bien. Malgré sa musculature importante qui était féminine que par la souplesse de ses muscles.

Elle sourit en le voyant dormir sur une pile de feuilles administratif, sa mère lui avait enseigné l’arts de la délégation.

“Ne faire que c qui est vraiment important pour passait tes deux secrétaires, et tout tes adjoins.” Lui avait résumé sa mère...

Elle décida de le réveillé doucement. Elle s’approcha de son oreille droite, en lui passant la main dans ses cheveux. Elle lui murmura doucement :

“Feers, réveillez vous, le seigneur nous à accordée une nouvelle journée.”

Puis le regarda avec ses yeux argentés, le visage de Feers s’éveillé...

Invité

Feers avait passé la nuit sur son bureau, il faut dire qu’il commence en avoir l’habitude, mais il n’était pas habituer à se faire réveiller par quelqu’un le matin, étant dit qu’il vit dans cette maison. Il entendit une voie dans son sommeil qui lui disait de se réveiller, mais sur le coup, il ne réagit pas. Jusqu’au moment où il sentit comme des caresses dans ses cheveux. Alors, doucement, il sortit de son sommeil doucement mais surement.

On pouvait voir ses mains détendues se serrer, puis être relâché à nouveau. La tête toujours sur ses bras, il bâilla. Puis il contracta tout son corps pour s’étirer. Feers, allongeait sur le bureau, se releva pour se remettre correctement sur la chaise. Une fois adosser contre la chaise, il se frotta les yeux et regarda autour de lui d’un simple petit geste de la tête de gauche à droite.

Feers senti et vit une personne a sa droite, sur le coup il fut étonné, d’habitude qu’il est seul et se réveiller ave une personne a ses côté le surprit, mais après une seconde de réflexion, il se rappela de se qui sait passer hier : la visite d’hommes d’Egon, une lieutenante, un yoma dans la cathédrale etc. Ayant la vision encore un peu trouble, il dit :

-Bien le bonjour mademoiselle, comment allez-vo … .

Feers ne finit pas sa phrase, car sa vision s’était vite éclaircit et il vit la lieutenante en robe de chambre. En voyant ça, son cœur lui fit coup fort, il n’était vraiment pas habituer à cela, par reflexe il tourna la tête vers la gauche et mit sa main droite sur le côté droit de son visage, se qu’il lui empêcha de voir les yeux argenté et finit sa phrase d’une voix calme, mais avec un soupçon de gène :

-Comment allez-vous ?

Le coup fort de son cœur lui fit couler une goute de sueur froide le long de son visage, mais sa respiration était calme et aucune rougeur avait apparu sur son visage, juste cette goutte de sueur avait apparut sur lui.

Invité

Lenneä vit Feers s’étirer, se frotter les yeux. Puis il la saluât, il détourna les yeux soudainement en les cachant avec une main.
Lenneä sourit...
Elle s’aperçut qu’elle n’était pas habillée…
Etrange, elle qui était assez pudique habituellement, l’aurait remarqué, plus que tout cela ne la gênée nullement…
Il lui demanda comment elle allez, elle saisit sa chance de se rattrapé en lui disant :

« Feers, je prends votre salle d’eau. Si je me rappel bien, il y as tout se qui faut dans cette pièce pour chauffait l’eau, non ? »

Elle partit dans sa chambre, y prit sa robe qu’elle voulait mettre pour voire le saint père, et une serviette. Elle connaissait la maison du capitaine de Rabona, par cœur pour y avoir séjournait plusieurs mois dans son enfance. Elle repassât devant Feers mais en utilisant sa serviette comme toge, pour cacher sa nudité cette fois, et ses yeux était cachait pas une main qui démaillait ses longs cheveux blonds…

Elle arriva dans une pièces, ou une marmite remplit d’eau l’attendait sur près être chauffait, avec sur le coté une sorte de bassin encastré dans le sol, recouvert de tesson de céramique, formant belle mosaïque, représentant plusieurs fruits exotiques. Lenneä alluma un feu sous la marmite, attendit qu’il prenne de la hauteur, pour y rajoutait du bois. Pendant que l’eau chauffait, elle déplia sa robe, et ses sous-vêtements, sortit un petit coffré en métal de son sac. L’ouvrit en sortit un colliers en or, avec des diamant et des zircons jaunes, puis de petites boucles d’oreilles avec un morceau d’ambre polit dessus. Le jaune d’Egon était partout, cette robe dévoilait la richesse de la ville…

L’eau commençât à fumé, Lenneä remplit un seau, d’eau la versa dans le basin, plusieurs fois, puis une fois le niveau haut atteint, elle trempa un pied pour testé la température.

« A la bonne température. » Dit-elle en enlevant sa robe de nuit.

Elle plongea entièrement dans l’eau. Quand sa peau commença à se détendre, elle prit une fiole de saponaire. Elle en versa un peu du liquide végétale dans sa main, et commença à le faire moussait, puis l’appliqua sur son corps, en surveillant l’eau qui chauffait…

Invité

Lorsque la lieutenante lui demanda si il y avait bien tout dans la salle d’eau, il lui répondit toujours la regarde détournait et cachait par sa mais :

-Exact, il y a tout se qu’il faut.

Il vit la lieutenante se retirer vers ça chambre, alors il enleva la main du côté de son visage et se mit droit sur sa chaise, se frotta le haut de sa tête et se dit :

-Ben dit donc, quel réveille.

Il commença à remettre son bureau en ordre, vu qu’il avait dormit dessus, pendant le rangement de son bureau, il vit son invité ressortir de sa chambre en démaillant ces cheveux, ce qui cacha ses yeux avec une serviette comme toge. Lorsqu’elle entra dans la salle d’eau, il finit de remettre en ordre son bureau et se dirigea vers la cuisine afin de préparer le petit déjeuné. Feers mangeait rarement le matin, il prenait plutôt un thé bien chaud. Il mit le feu dans le fourneau de la cuisine et pendant que le fourneau chauffait, Feers prit une théière en fonte, mit quelque feuille de thé, de l’eau et le mit sur le fourneau qui commençait à devenir chaud.

Après cela, il se déplaça dans les différentes pièces de la maison et ouvrit les rideaux et les volets, afin d’éclaircir la maison. Il remarqua que la journée était splendide, alors il en profita pour ouvrir quelque fenêtre afin d’aérer la maison, celle de la cuisine, du salon et des chambres, celle de Feers et de la lieutenante. Il sortit de sa chambre après avoir ouvert la fenêtre et se dirigea à nouveau vers la cuisine et en leva, avec l’aide d’un torchon, la théière du dessus du fourneau et la posa sur la table de la cuisine. Il chercha deux petites assiettes, deux tasses et deux cuillères. Il posa d’abords sur la table les deux petites assiettes sur la table, l’une en face de l’autre suivit par dessus les tasses et mit les cuillères à côté de chaque tasse, ne sachant pas si la lieutenante aller prendre quelque chose, il préféra sortir pour deux, juste au cas où, afin de montrer l’hospitalité des habitants de Rabona.

Feers vérifia la température de la théière et il vit qu’il était encore très chaud, alors il quitta la cuisine, ouvrit la porte d’entré, prit un ballet et passa un coup dans la maison en faisant sortir la saleté par la porte. He oui, il faut bien entretenir cette maison. Après avoir passé le coup de ballet, il ferma la porte d’entré et se dirigea vers sa chambre et ouvrit une armoire et il sortit de cette armoire, un habit, plutôt un uniforme. L’uniforme était constitué d’une chemise blanche avec une doublure au col et en bout de manche pour donner une certaine fermeté au tissu, accompagnait par une fraise, petite et fine sous le col de la chemise, noire et un pantalon noir aussi. Par-dessus tout cela, il y avait une veste assez épais de couleur grise avec deux rangeait de deux bouton de couleur noir. Il y avait aussi un long col qui descendait un peu plus bas que le haut des côtes, se qui faisait apparaitre, lorsqu’il la portait, le col blanc de sa chemise et une partie du haut de sa fraise noire. Des épaulettes noire, broder de fil doré étaient présentes sur la veste montrant son grade de capitaine. Et pour finir, une paire de chaussure fermée en cuir noir.

Feers sortit de sa chambre avec son uniforme et se dirigea et entra dans la sale de bain qui se trouvait juste à côté de la salle d’eau et ferma la porte derrière lui. Il accrocha son uniforme, qui était sur un cintre, sur un crochet disposé sur le mur. Il se déshabilla et posa mit ses habit dans un panier et commença à faire sa toilette. Il se nettoya de la tête au pied et fit attention a ne pas faire de jette brusque, il faut dire qu’il sentait encore son aventure dans la cathédrale sur son corps. Après s’être bien laver avec un savon, il se mit un produit, comme une huile parfumé qui avait des vertus médicale, contre les douleurs musculaires, facilitation de la circulation sanguine et autre du même style. Il se rinça, mais ce produit laisser derrière lui, une agréable odeur de plante, de fleur, étant dit que se produit était composer à 100 % de plante.

Feers se sécha et mit son uniforme en commencent par mettre la chemise blanche, il vérifia que tout les boutons de la chemise, qui avait la même couleur que cette dernière, était bien fermé. Il enfilât le pantalon, suivit par des chaussettes et les chaussures en cuir, puis sa fraise, tout cela était de couleur noir. Après avoir mit tout cela, il mit la veste, il ferma les boutons, mit une ceinture plus large que la moyenne, de la même couleur que sa veste mais un peu plus claire et se regarda dans un long miroir, pour voir si tout était correctement mit. Il faut dire qu’il était capitaine, il fallait qu’il soit correcte aussi bien dans sa façon de vivre que dans son apparence. Son uniforme reflétait son côté militaire, le côté droit et discipliné de la ville de Rabona, en tout cas, c'est se que pensait certaine personne.

Après tout cela, il sortit de la sale de bain et se dirigea vers la cuisine de nouveau, s’assit et vérifia comment était le thé. Le thé avait une température parfaite pour pouvoir le savourer. Il en mit donc dans sa tasse remua avec la cuillère et commença à boire son thé, dans la cuisine, assit sur une chaise, dans son uniforme en attendant la lieutenante.

Invité

Lenneä sortit de l’eau propre des cheveux aux pieds. Elle ne savais pas aussi bien lavait depuis des jours. Il faut dire que l’organisation ne donne qu’un confort relatif à ses Claymores. Lenneä prit sa serviette se séchât le corps puis ses cheveux, enfin plus ou moins…

Elle prit ses habits, les enfila assez rapidement. Elle eu quelque difficulté avec son corset, mais avec l’habitude et un peu de Yoki, elle s’en sortit, sans problème. Sa robe de soie jaune, lui allez encore, les bordures sur son décolleté, était en parfaite états, les fils d’ors et d’argent avait restés aux l’usure de ses voyages, et avait maintenue la soie intacte. Malgré tout Lenneä aurait préférait si cette robe possédait des manches, pour cacher ses bras musclé, peu glamour. Ensuite l’échancrure au niveau des jambes, était comment dire, un peu gênante. Enfin sa mère lui avait dit il y a longtemps qu’elle lui allait comme un gant.

Lenneä pris son collier de diamants et de zircons jaunes, puis sa paire de boucle d’oreilles en ambres, qui allez bien avec sa robe en reprenant la couleur jaune avec différente teintes. Lenneä réfléchit un peu et en fouillant quelle instant dans sa boite à bijou, en sortit deux bagues. Elle les plaça sur es doigts. Elle visa, l’une puis l’autre, faisant sortir une aiguille de chacune, sûrement empoisonnée.

Elle prit une paire de soulier argenté, les glissa à ses pieds. Elle ragea un peu ses affaires, et sortit de la salle d’eau. En avalant un suppresseur de Yoki. Si elle restait calme, elle pourrait le faire duré 16 heurs, au lieux de la demi-journée habituelle. Ses yeux reprirent leur couleur d’origine, gris. La transformation en Claymore, étrangement chez elle ne lui à apporté presque rien, elle était déjà blonde, ses yeux n’était pas argenté, mais déjà gris, elle s’avait déjà se battre. Seule la capacité à lire le Yoki et son pouvoir de régénération est du à sa transformation en sorcière aux yeux d’argent…
Ha est aussi la fusion avec Lanara, qui à réussit car elle était déjà entrait de devenir une Claymore.

Lenneä posa ses affaires sur son lit, et pris deux poignards qu’elle cacha sous sa robe, sur une ceinture secrète au niveau de sa taille. Elle sourit, mit de l’ordre dans ses cheveux un peigne, et une broche argentée. Elle ressortit de la chambre d’amie et se dirigea vers Feers. Elle l’aperçut dans la cuisine. Il était habillait dans l’uniforme traditionnel des capitaines de Rabona. Il lui allez plutôt bien. Son oncle le portais rarement, il gardait toujours son armure argentée et sa grande hallebarde …

Lenneä s’assit prés de Her Feers croisa les jambes, et lui demanda si il avait un peu de galette de pain pour elle et de la confiture…

Invité

Feers, assit droit sur sa chaise entrain de boire son thé, entendit des pas venant dans sa direction et se dit :

-C’est surement la lieutenante.

Il tourna la tête dans la direction de la porte de la cuisine et il vit la lieutenante avec une magnifique robe. Il ne dit rien, il fut silencieux. Il la regarda avec un regard étonné et admiratif en même temps. Son cœur lui donna un second coup suffisamment fort pour réveiller ses douleurs de la cathédrale. Il se tapota au niveau du cœur. La lieutenante s’installa prés de lui, croisa ces jambes et lui demanda si il avait des galettes de pain et de la confiture pour elle, Feers lui répondit :

-Bien sur.

Il se leva de sa chaise et il se dirigea vers le fons de la cuisine, il y avait une porte, il ouvrit, cette porte menait dans une pièce plutôt froide, il n’y avait aucune fenêtre, c’était une pièce ou les pierres des murs était bien isolées. Il y avait des étagères sur les murs, avec différent alimentation qui demandait a être conservé plutôt dans un endroit froid. Il prit un pot en verre, fermé avec un bouchon en liège et il sortit de la pièce, ferma la porte derrière lui et déposa le pot sur la table. Ensuite, il se dirigea vers le fourneau et ouvrit, avec un torchon a cause de la chaleur, un des compartiments du fourneau, mit la main dans le compartiment et sortit, toujours avec l’aide d’un torchon, deux galette de pain. Il les prit et les déposa sur la table et dit et montrant le pot de confiture :

-Voici la confiture, c’est de la fraise.

Il ouvrit la peau et une agréable odeur de fraise des bois sortit du pot et le déposa à côté de la tasse de la lieutenante. Puis il montra les galettes de pains, elles étaient comme dorée a la surface et fumant et dit :

-Et voila les galettes de pain pour madame.

Il finit sa phrase avec un petit sourire, ce n’était pas un sourire moqueur, mais plutôt un sourire d’avoir quelqu’un chez lui. Il chercha un couteau pour couper la galette de pain, le déposa sur la table. Il se remit a sa place, reprit sa tasse en main et regarda dehors, par la fenêtre de la cuisine qui était ouverte. Le soleil brillait, les oiseaux chantaient, et on pouvait entendre au loin, le bruit du marché de la ville, Feers dit :

-On dirait que cette journée va être splendide et agréable.

On pouvait entendre les coups de huit heures de la cathédrale.

Invité

Lenneä vit Feers, la regardait fixement, et mettre sa main à son cœur.

*Se remettait-il mal de ses blessures d’hier soir ?* se demandât-elle.

Puis il partit lui servir son petit déjeuné. En le voyant s’affairait autour d’elle, elle sourit intérieurement. Depuis quand elle n’avait plus dormit dans une maison, et prit un petit déjeuné sur une table...Lenneä refusa de répondre à cette question. Elle venait de se rendre compte qu’elle ne c’était jamais aussi bien sentie que dans ce rôle, d’une simple lieutenante et diplomate d’Egon. L’organisation l’avait entraînée à beaucoup de chose, mais pour la plupart elle le savait déjà. Ce qui mettait en rogne ses entraîneurs, mais qui ne disait rien. Les autres Claymores la jalousées, mais se réjouissaient de ses faibles pouvoirs.... L’enseignement de ses deux parents était plus encrait en elle, que sa nature de Claymore, qui n’était qu’une façade de Lenneä, comme Michelle d’Egon. Elle était restait Lenneä, la championne du tournoi des guerriers, la fille du Capitaine d’Egon. Là prés d’Her Feers. Elle oublia ses problèmes avec ses pouvoirs, avec Lanara, et même avec l’organisation. Une seule pensée emplit sa tête, sa relation avec Neliel...

Lenneä prit une des galettes de pain, un couteau, et se mit à étalait la confiture aux fraises dessus. A sa première bouchait elle se demandait comment elle allait faire pour inspecté Rabona, à la recherche de Yoma, d’éveillées où de Claymore. En entrant dans la ville sainte elle n’avait rein ressentit. Celà, ne voulait dire qu’une chose, que soit Rabona était vide de source de Yoki, soit ceux en possession d’un Yoki, savait le masqué à la perfection, aux niveau que même à quelque mètres on ne pouvait pas percevoir sa présence. Lenneä elle-même ne sentait sont propre Yoki, ni avec suppresseur, ni sans suppresseur. Enfin, si un peu, mais Très légèrement et en se consacrant sur elle même, et tous récemment...

Lenneä fut interrompus dans la dégustation de sa quatrième tartine à la confiture, par le son des cloches de la cathédrale, qui sonnait de huit heures. Elle se tournât vers lui en observant le ciel, qui avait conclure qu’une bonne journée. Lenneâ lui répondit :

“ Feers, cette journée est déjà agréable en votre compagnie, et je pense que mon rendez-vous avec le saint père, ne va pas gâchait cette journée. La vérité sera dure, mais j’espère quelle vous éclaira aussi sur la situation de Rabona....”

Lenneä avait fini sa tartine en prononçant ses monts, mangeant lentement petit bouts par petit bouts, en passant lentement sa langue sur se lèvres pulpeuses, à chaque fois pour récupérait un peu de confiture rouge, qui se déposé sur sa lèvre inférieur. Elle ne se rendait même pas compte de se geste, propre à Lanara...
Elle se leva aillant fini son déjeuné, et proposa à Feers :

“Capitaine, je pense que c’est l’heur de partir voire le saint père...”

Elle allait continuer sa phrase quand elle sentit des choses étranges, comme des sources de Yoki, mais elle était sûr que ce n’en n’était pas, trop nombreux, et Her Feers et elle en fessait partie...
Sur le choc de cette vision, elle retombât sur sa chaise en proie à un vertige, ses yeux brillaient d’une faible lueurs cendrée…

L’image de Nel éveillée, et d’Aëlin et elle de son rêve lui revient à l’esprit, en tournant sa tête vers Her Feers, elle le vit comme dédoublait dans son rêve. Il était là dans son armure, plusieurs cadavres de femme étrange, dans des bandelettes s’étalaient à ses pieds, leur tête en bouillit...

Après quelle que instant de cette drôle de vision, elle reprit ses esprits, ses yeux redevient normale, d’un gris profond… Mais elle restait sur sa chaise toujours déconcertait par sa vison…

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» Débat : Traité de Rabona.