Forum médiéval-fantasy inspiré de l'univers de Claymore
 
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 À la recherche d'un passé perdu

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MessageSujet: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeSam 10 Avr - 19:21

Paburo et ses sommets, lieux immaculés où l'homme n'eut jamais posé le pieds. Au sommet seul les neiges éternelles y régnait en maître faisant face aux puissants vent du nord qui tentaient en vain de vaincre ces haut piques qui semblaient vouloir transpercer les cieux. Cette montagne était chargée d'histoire qui étaient contées dans le village en contre-bas. Selon les habitants un lieu maudit où les disparitions et le sang était monnaie courante. Un sombre passé qui avait le mérite d'attirer l'attention d'un homme, un inconnu qui passait pour la première fois dans cette région. Des rumeurs le concernant allaient bon train en raison des armes que ce dernier portait, une lame similaire ou presque à celle des fameuses combattantes nommées claymore et un katana attaché à sa ceinture. Le vent glacial soufflait avec rage dans les rues et ruelles qui se trouvaient désertées en cette période où la neige et le gèle rendait les déplacement plus compliqué pour les marchands. En ces temps hivernaux la taverne était le lieux de rassemblement par excellence. Cependant l'inconnu ne désirait point demeurer entre ces murs. Son objectif était on ne peut plus clair: la montagne de Paburo. À chaque fois que l'on croisait son regard ce dernier était dirigé vers les sommets enneigés. Ce fut le patron du bar qui réussit à obtenir en premier lieu des informations sur cet inconnu. Le temps se corsa au fur-et-à-mesure que les heures passaient. Tantôt un vent capable de faire mourir un homme soufflait à tout rompre, tantôt de la neige qui, poussée par ce début de tempête, venait transformer le décor. Nul doute que l'aspect du village serai on ne peu plus agréable dès que les premières lueurs de l'aube illumineraient les toits enneigés. L'inconnu était sans doute originaire d'une contrée lointaine au vu de son nom: Kojiro. Aux yeux de tous c'était un homme quoi de plus banal et sans histoire particulière. Mais la réalité était toute autre... Certes il ne faisait plus partie de ce groupe que l'on nommait simplement l'organisation mais il n'en demeurait pas moins l'un de leur meilleur assassins. Son désir de revenir à une vie plus normal l'avait conduit à déserter ce groupe pour enfin réaliser ses rêves. Les contraintes étant maintenant réduites à l'état de souvenirs il se leva avant d'être rattrapé par un client curieux de connaître sa destination. Kojiro répondit simplement qu'il désirait se rendre dans la montagne mais cela paru inquiété son interlocuteur.

« Que dites-vous mon brave? Partir dans la montagne par ce temps est de la folie d'autant plus que les histoires liées à ce lieux sont particulièrement effrayantes. Vous devriez vous reposer et attendre des jours plus cléments pour entreprendre un tel voyage. »

Par respect pour l'homme qui lui donnait ces conseils il ne rigola point. Cependant voyager par de telles conditions ne le gênait pas le moindre du monde. Bien au contraire, plus la difficulté était présente au mieux il se sentait.

« Merci pour cet avertissement mais j'ai pris mes dispositions avant même de planifier ce voyage. D'autre part j'ai un travail à accomplir dans les montagnes et il ne peut souffrir d'aucun retard, il faut dire que la paie en vaut la peine. »

Alors qu'une présence se fit sentir aux alentour il tourna les talons et se dirigea vers la porte. À peine l'eut il un peu entrouverte que la chaleur ambiante fut balayée en un instant. Il se hâta donc de la franchir, remis sa cape et son capuchon avant de disparaître dans le blizzard. Il ne rencontra que peu de monde à l'extérieur même si quelques enfants se livraient à une bataille de boule de neige sous le regard attentif de leur parents qui les surveillaient depuis le premier étage de leur maison. Pour un homme normal partir dans cette tempête était synonyme de voyage sans retour, un aller simple vers les ténèbres sans fin. Mais dans son cas les chances de retour étaient tout de même plus grande de par son statut de claymore. Chacun de ses pas laissaient des traces dans la neige pendant une très courte période avant que celles-ci soient recouvertes. La visibilité laissant à désirer il allait être pour toute personne l'apercevant encore une ombre qui disparaissait au loin.
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeMar 13 Avr - 1:30

Wotan ne trouvait pas la paix depuis des générations. Il en avait conclus que c’était la culpabilité d’avoir survécu au massacre dans ces mêmes montagnes. Au cours des années, il avait développé un talent certain pour le graphisme, le dessin et la calligraphie.
Cela faisait cinquante ans qu’il recherchait deux talentueux humains et les meilleurs matières premières. Cette quête s’achevait enfin ici loin de tout, il les regarda tout les deux. Ils étaient si jeune et pourtant si doué.
Wotan : Les gars je vous ai proposé un salaire plus que mirobolant en échange du travail que vous aller devoir fournir. Sur les montagnes de l’Ouest, il y a des siècles de cela sont mort des claymores qui ont tout fait pour protéger les humains. [silence] La grande majorité d’entre eux sont mort pour vous et ne voulait pas se transformer en démon mais pour vous protéger ils ont laissé leur cœur s’assombrirent l’espace d’un instant. On peut dire que c’était en quelque sorte l’amour au cœur du mal.
Aujourd’hui, vos deux mains et vos deux cœurs vont les remercier dans un ultime acte d’hommage et de réalisation.
A défaut d’enterrer les corps dans de vrais tombes, je te demanderais à toi Romain, maître ébéniste de ton état, de réaliser un mini cercueil pour chaque épée. Chacune d’entre elle devra être comme dans un écrin et ce avec le meilleur bois que tu trouveras. Ce ne devrais pas être trop difficile vu la qualité de ce lieu.
Toi Hugh, maître tailleur de pierre, je te demanderais de créer avec le calcaire qui environne ces montagnes, de créer une tombe pour chaque épée soit douze plus une stèle au centre de ce cimetière militaire.

Hugh : On ne peut pas remettre à plus tard notre travail Sire Ravage ?
(pour information, le calcaire des montagnes sert à faire de l’ardoise)

Wotan : Non, il y avait une ancienne forge autrefois, elle tient encore debout j’ai vérifié, nous n’aurons donc qu’a rallumer le feu pour que vous ne souffriez point du froid. Les deux jeunes gens s’activaient déjà à la tâche alors qu’il était à l’intérieur. Pendant ce temps, Wotan colmatait les brèches rendaient le lieu habitable et chassait le gibier pour la survie de ces employés.

Trois jours passèrent. Le temps devenait exécrable mais la tâche ne devait pas s’arrêter en si bon chemin.

Hugh : Sire Ravage, nous avons fini.
Wotan : Pas encore. Hugh, il te reste un dernier travail bien plus pointilleux. Wotan sorti alors une liasse de douze feuilles. Douze visages qu’il n’avait jamais oublié et qui était resté encré pendant des siècles dans sa tête.
Tu vas graver ces visages sur les tombes. Ensuite tu auras fini. Quand à toi Romain aide Hugh afin qu’il reste éveiller et en pleine forme.
Romain : Bien monsieur.

Wotan sentait une aura depuis quelque temps mais la drogue qui cachait ces yeux l’empêchait de dire ou exactement. Il sorti sa claymore et la cacha dans un fourreau puis il s’équipa de ces deux glaives jumeaux.

Ses yeux étaient redevenus argenté, et dans la nuit, il ressemblait à un prédateur. Agile, sur de sa force, puissant.
Enfin il repérait d’où venait cette puissance, elle venait d’une silhouette. Il tenta de masquer du mieux qu’il pouvait son propre flux puis gravit la montagne de sorte qu’il surplombait l’arrivant. Si celui était hostile, il ne resterait alors plus qu’a combattre.

Wotan : Salut à toi étranger, puis je connaître le pourquoi de ta venue ? Le ton était dit de façon articulé fort, et sans émotion; poli mais sans plus. Comment allait réagir cet homme ? Il se le demandait.
Peu à peu le faciès de cet homme apparaissait. Cicatrice sur le visage, katana, épée de claymore. Il ne faisait aucun doute que chacune de ces armes était synonyme de mort…Comme celle de sire Ravage en quelque sorte.
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeMar 13 Avr - 22:25

Avant d'atteindre le lieu indiqué par le commanditaire Sasaki progressa à travers la forêt où la neige s'accumulait sur les branches qui pliaient sous cette charge supplémentaire. Outre ces branches qui semblaient baisser les bras face à une force qu'elles ne pouvaient contenir le vent produisait un son strident à chaque fois qu'une rafale s'insinuait entre les tronc de ce sombre chemin qui n'offrait absolument aucun repère. De plus des auras menaçantes se rapprochaient, sans doute des démons en quête d'un peu de nourriture pour subsister parmi ce froid polaire dont les morsures étaient on ne peut plus douloureuse que les coups d'épée. L'ombre qu'était Kojiro n'y prêta pas la moindre attention jusqu'à ce qu'il se retrouve pris entre deux feux. Derrière se trouvait une créature massive affamée et devant deux de plus. Être plus nombreux assurait la victoire en cas de chasse visant les cibles facile mais il pu remarquer que tout trois agissaient indépendamment ce qui réduisait leur effort à néant. Sous sa cape, l'ex-claymore continua sa route comme si de rien n'était ce qui eut pour conséquence d'énerver les démons qui se jetèrent à corps perdu sur lui. Plusieurs cris et jurons fusèrent dans la tempête avant de disparaître la seconde suivante. Au couvert des arbres Il pris enfin la direction de la montagne laissant trois corps sans vie dont la tête avait été séparée du corps en une fraction de seconde.

La forêt, endormie pour quelques temps encore sous ces neiges laissaient place à un tout autre panorama grandiose ce qui ne laissa pas Kojiro indifférent. Certes le vent ne subissait plus de contraintes et ce dernier soufflait à tout rompre contre les roches acérées de Paburo qui semblait déchirer chacune des bourrasques qui frappaient cet épais mur. On pouvait dès lors distinguer une route s'étirait comme un serpent entre les sommets menaçants vers une destination que seul les marchands connaissaient en raison du grand nombre de fois qu'ils l'empruntaient. Marchand prudemment ce voyageur fantôme qu'était désormais Sasaki progressait à une allure réduite en raison du sol instable et glissant. Le claymore se souvint alors des récits concernant les nombreux claymore tombés au combat défendant une cause qui n'était pas la leur. L'obscurité fini par s'installer révélant la lune entre deux nuages. Ce bref moment de clarté permis à Kojiro de contempler un individu qui l'observait depuis une position élevée. Il put remarquer également une paire de glaive ainsi qu'une gigantesque lame. Au moins il n'était pas face à un démon n'obéissant qu'à son estomac. Une simple phrase lui fut adressée mais elle avait le mérite d'être clair et il le serai aussi pour éviter de faire couler le sang inutilement.


« Ce que je fais içi? Et bien n'est ce pas évident, je profite du panorama mais la raison première est la recherche d'un objet perdu par mon mandataire. Si mes souvenirs sont bons l'abbaye en question trône dans cette zone. »

Il fixa son regard dans celui de son interlocuteur alors qu'il répondait d'une voix claire et limpide afin d'être bien compris. Répéter sans cesse les mêmes dire l'exaspérait au plus haut point. L'inconnu était confiant et cela se percevait aisément. Mais quel était le motif pour qu'une personne tel que lui se trouve aussi loin de la civilisation. Au lieu de lui demander il pris appui sur les parois praticable et arriva à hauteur du claymore.

« Maintenant que j'ai énoncé la raison de ma présence pourrais-je connaître la tienne et si possible ton nom car j'aime savoir à qui je m'adresse. »

Rien de menaçant dans le ton de sa voix, juste une pointe de curiosité qui s'était manifestée sur le moment
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeDim 18 Avr - 15:53

L’homme désirait connaître son identité. Par contre il semblait évident qu’il ne disait pas entièrement la vérité. Il était évident que ces armes n’étaient pas de la pure décoration. Inutile également de donner son véritable nom à un inconnu mais il fallait malgré tout lui offrir un pain à ronger.
Wotan - Mon nom actuel est Seigneur Ravage. Et je suis là pour régler une vieille dette avec nombres d’amis.

Concernant ton abbaye, il n’y a plus rien à l’intérieur, donc inutile de rester ici bas, tu peux d’ores et déjà commencer à traquer des monstres. Aller savoir pourquoi les démons dans cette zone ont pillé les objets de valeurs de chaque maison, de chaque ruine que ce soit des l’or, de l’argent, des livres ou des armes il n’y a plus rien dans cette zone à part des matières première. Enfin, si tu veux inspecter, fait gaffe le plancher est moisie par l’humidité et les termites. Quand au plafond il risque de s’effondrer à chaque minute.

Il avait déjà trop longtemps laissé les deux jeunes gens seul dans la forge. Il se déplaça sans bruit dans la neige tel un fantôme jusqu'à l’abri agréablement chauffé. Un ennemi s’était déjà engouffrer dans l’habitation.
*Attiré comme un papillon par la lumière*
Un glaive en main, le démon s’écrasa par terre à jamais sa bouche ouverte à cause de la l’envie de gouter à des tripes mais également ouverte par la surprise. Il faut dire que ça fait très bizarre de ne plus sentir son corps et de s’affaisser sur le sol. Inerte.
Romain – Seigneur Ravage, comment se fait il que vous ayez les cheveux blond comme les blés et les yeux argenté comme les sorcières aux yeux d’argent? Êtes-vous d’une même partie qu’eux ? Car vous ne leur ressembler pas niveau caractère je veux dire.
Wotan - Ne t’inquiète pas Romain je ne suis pas un sorcier aux yeux d’argent. Par contre j’ai autant de pouvoirs qu’eux et puis les claymores ne sont que des femmes.
J’aurais par contre besoin de tes talents d’adaptation. Les tombes vont devoir être transporté et pour ce faire il nous faudrait un transport sûr, tu aurais une idée ?

Romain - La logique actuelle voudrait vous les faire déplacer sur des troncs d’arbres. Mais si on faisait cela la pierre risquerait de rayer légèrement surtout avec le froid. Non le mieux serait de faire une sorte de charrette. Mais si je la réalisais avec un tel poids, il est certain que l’on s’embourberait dans la neige. Et avec ce temps, s’embourber veux dire risque de décès pour chacun de nous notamment avec ces monstres qui voulaient nous attaquer.
Wotan - Je te garantie que vous ne risquerez rien tant qu’on restera ensemble et que vous suivrez mes instructions. Bon pour ce soir, je vous propose bouillon de porc sauvage en entrée, lapin sur lit de mure des bois et en desserts des fruits de saisons, sa vous dit ?
Avant d’avoir entendu leur acquiescement, il se mit à cuisiner rapidement et efficacement. Rien que les fumeroles donnaient l’eau à la bouche. Et puis surtout, la peur disparaissait avec les mets réalisé qui allait être engloutit. Si tous ces siècles passés lui avait donné une leçon c’était bien cela, la peur était souvent moindre que la curiosité et plus encore lorsque son corps réclame de nouvelles force.
Hugh - Ce que l’on peu faire, c’est réaliser des roues en pierre qui puissent être échangé avec deux à quatre spatules. Le tout serait maintenu par des vis et des chevilles de bois. De cette manière, suivant l’état de la route, nous pouvons utiliser un traîneau ou encore une charrette. Le seul souci, c’est qu’une grande charrette est peu maniable. Autrement dit, cela demande un chemin balisé sans trop de descente. Ou alors on en fait une de taille plus moyenne mais nous ferons alors plusieurs trajets.
Wotan - Parfait. On utilisera ce dernier moyen.


Les sens en alerte il ressentait de plus en plus l’aura de l’étranger qui était toute proche, mais pas que lui, tout autour, il ressentait la puissance d’une vingtaine peut être d’une trentaine de yomas dont certain avait une puissance anormalement puissante.
D’ailleurs, les deux jeune gens crièrent d’effroi lorsqu’ils aperçurent par la fenêtre l’étrange silhouette de Kojiro.
Hugh - HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaaa un Tengu, on va mourir. (Tengu = démon japonais spécialisé dans l’art du combat et de la guerre, on le représente souvent avec une tête de corbeau et ses ailes et un corps d’humain d’où la similitude avec les habits certainement légèrement usé de Kojiro)

* Hihi, il est évident que ces deux là ne soit pas des guerriers, mais leur vie vaut mille fois mieux que celle d’un ancien claymore comme moi. Amuse toi bien étranger avec ces yomas, moi, ils se sont tenu tranquille jusqu'à présent.*

Déjà on commençait à entendre le vent rageur au dehors jouer avec le feuillage des arbres et un enfant aurait vu en eux des monstres imaginaires. Mais pas si irréel que ça, en effet, en tendant bien l’œil on voyait ça et là des yomas courir, grimper ou encore sauter afin de voir ou serait sa prochaine cible.
En quelque sorte, un combat pour se réchauffer et si les yomas gagnaient, chose peu probable, et bien ce serait un repas savoureux en plus. Quoi qu’il en soit, le sang allait couler. Sang bleu ? Sang rouge ? Larmes de douleur, de tristesse, de remord ? Impuissance, ou rage de vaincre.
Telle était les pensées de chacun en ce monde froid, hostile et humide : le formidable combat pour la vie se faisait ressentir de partout. Prédateur et proies jouaient au jeu du chat et de la souris parfois sans même le savoir.
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeJeu 22 Avr - 10:42

Une troupe de dix cavaliers, en armure cuivrée, traverse lentement le paysage vallonné de la montagne de Paburo. Les chutes de neige ne ralentit que modérément cette troupe, ils ne sont pas pressé, et suivent lentement le chemin, les menant vers leur but, une vielle forge et une mine encore plus vielle, cachant une grande fonderie des temps oubliés. Ces cavaliers portaient tous une armure légère en bronze, sous une tunique jaune, frappé du blason d’Egon. Pas ce temps, ils ont sortis une chaude cape en peau de renne, les protégeant efficacement contre le froid. Il n’y avait qu’un cavalier qui ne portait pas le même uniforme. Ce chevalier avait une armure plus lourde recouvrant tout son corps de la tête au pied. La souplesse de l’armure était assurée par sa composition, faite d’une multitude de plaque d’un métal gris aux reflets blanchâtres. Elle portait une cape jaune, frappée d’un blason ressemblant à celui d’Egon, mais représentant la famille régnante de cette cité. Elle ne si emmitouflait pas comme les autres hommes. Le froid ne semblait pas variablement la gênée. Son destrier semblait d’un autre avis. Malgré qu’il porté lui aussi une armure, et possédait un pelage d’hiver. Il semblait de temps en temps espérait trouvait un brin d'herbe dépassant de la neige, mais continuait d'avancé contre le vent, ne regrettant seulement l’humidité de l’air. La troupe avançait lentement mais sûrement leur salut résidait dans la réussite de leur mission, trouver la forge et la mine, pour s’abriter de la tempête. Soudain, un des cavaliers avec une armure cuivrée rompit la formation, pour se plaçait à coté du paladin, qui venait brusquement de s'arrêter. Il demanda après un bref instant d'hésitation :

"Mon adjudante, qu'y a-t-il ?"

Le paladin regarda son soldat, puis lui désignant le col en haut de leur chemin, elle lui répondit :

"Garek, je sens une vingtaine de Yoki, par là, et peut-être deux autres, les premiers appartient à des Yoma, sans aucun doute. Mais pour les deux autres, peut-être à des concurrentes. Ces Yoki, son masqué, je ne sens que leur action, sur les Yoma… Garek, que nos hommes pendent leurs arcs, et se rappel leurs cours pour visé dans une tempête pareille."

Le dénommé Garek, s'inclina difficilement, sur sa monture, emmitouflé dans sa cape. Il répondit avec respect:

"Oui, mon adjudante, ils ferons de leur mieux, et plus s'ils ne veulent pas finir dans le ventre de ses Yoma."

Il retourna dans la formation de cavalier, enleva sa cape en peau de renne, la rangea dans une sacoche sur la croupe de son cheval, saisit son arc comme tout les autres cavaliers, et dirigea sa monture avec les jambes pour former une ligne derrière leur Adjudante. Celle-ci, fit charger son cheval, un long sabre dans une main, les rênes de l'autre. Les cavaliers la suivirent quelques secondes plus tard, engageant plusieurs flèches sur la corde de leurs arcs. Le paladin en débouchant sur le col, regarda la scène, une vingtaine de Yoma, un homme avec un katana et une longue et large épée, et un vieux bâtiment, la vielle forge que la troupe cherchait depuis Egon. L'adjudante en voyant de la lumière et de la fumée sortir de plusieurs cheminée de la forge, en déduisit, qu'elle était peut-être vielle, mais pas inhabité. Cela contraria, peut-être les plans de l’état-major. Elle chargea sur le premier Yoma devant elle, les autres démons, se dirigeait déjà vers l'inconnu au katana. La guerrière d'Egon le décapita promptement, ne le laissant pas l'honneur de savoir qui venait de mettre fin à ses jours. Puis tout, en chargeant sur une autre cible, elle se baissa une volée de flèches la survola avec des trajectoires assez aléatoire, mais se dirigeant tous vers un Yoma en particulier. Une deuxième volé suivit rapidement la première, quand les hurlements de rage et de douleur atteignirent les oreilles du paladin, qui décapita un deuxième Yoma. Son destrier hennit, et se cambra, un yoma blessée venait de s’écrouler au sol devant lui, tenant dans ses mains une flèche qui lui traversée le torse. Le fière équidé abattit ses sabots promptement sur le crane du démon, qui se brisa. La bande de Yoma était en déroute n'ayant pas l'habitude de combattre les humains… En plus, d’un puissant guerrier. Elle observa le guerrier au Katana, il la surpassé largement, et ne fessait qu'une bouché des quelques Yoma encore indemne. Sa troupe arriva et se plaça derrière elle. Elle descendit de son cheval, et s'inclina devant lui, un poing sur le torse. Elle releva les yeux, et vit une flèche plantée dans son kimono. Elle rougit sous son casque, mais se reprit et se présenta :

"Bonjours guerrier, Tu ne ressemble pas à la description que l'on ma fait des Claymores. J'espère que tu ne travail pas pour l'Organisation. J'ai des consignes strictes concernant ces sorcières aux yeux d'argents. Mais, si tu n'es pas l'une de leurs esclaves, je suis heureuse de me présenter. Adjudante Margareth, Paladin d'Argent, sous les ordres de Dame Lenneä d'Egon héritière du trône de Stravie. Je suis ici, pour retrouver une ville mine..."

Elle observa l'homme, et à la dérober la vielle forge. Elle fit signe à deux de ses cavaliers, d'allait y jeter un coup d'œil. Puis elle revient devant le beau guerrier qui se tenait devant elle, elle dit impulsivement :

"Puis-je me permettre de vous demandez votre nom ? … Et de vous renseigné, la dame d'Egon offre de gracieuse recommence aux les personnes qui aide la mairie d'Egon à prospéré."

Elle observa ses deux cavaliers descendre de leur monture et toqué à la porte. Elle jeta un nouveau coup d'œil sur le trou que la flèche avait crée sur le kimono du belle inconnu. Elle leva les yeux et voyant qui la fixé, elle rougit une nouvelle fois. Elle remercia son casque de cacher ses émacions, pas facile de rester un soldat devant un homme si bien bâti…

[hrp= Voir, le Blason de la villa Duce : Lien]
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeJeu 22 Avr - 20:16

Depuis qu'il eut gravit la pente qui le séparait de son interlocuteur Kojiro dû faire face à un courant d'air bien plus puissant que ceux qui tentaient en vain de tailler les roches dans ce passage enneigé qui n'offrait actuellement aucune issue. Apparemment Sir Ravage n'était pas seul et une ancienne forge avait vu son foyer rallumé afin de permettre aux occupants de pouvoir y résider. De plus le combattant avait mentionné une vieille dette relative à de anciens amis sans doute tombés au combat dans ces impitoyables rocheuses témoins malgré elle de bain de sang innommable pour le compte de l'organisation désireuse de supprimer les éléments gênant, envoyant ces derniers affronter une mort certaine.

« Sir Ravage hein? Un nom un peu présomptueux pour un ex-claymore. Enfin soit si porter un pseudonyme tel que celui-la lui plaît tant mieux. J'espère au moins qu'il n'a pas oublié que son existence et ses buts eux, ne peuvent être dissimulé sans quoi son existence même serai un mensonge. »

Il fut surpris par la précision donnée dans la réponse vu que son interlocuteur ignorait tout de Sasaki qui n'avait pas donné son identité. Comment était il possible de faire confiance à un parfait inconnu dès les premiers mots échangés. Cependant il dû laisser de côté ses réflexions car des démons en grand nombre approchaient de leur position. À l'intérieur se trouvait deux hommes qui paniquaient pour une raison qui échappait à Kojiro. Les humains ne pouvant sentir l'aura des yomas il en conclu que ce devait être son apparence ou ses habits, usés par le voyage qui devaient lui donner un aspect fantomatique. Alors que sa cape claquait furieusement à chaque bourrasques il senti une autre présence dont il ignorait absolument tout et les vibrations au sol laissait supposer d'autres soldats suivant la combattante. Au coeur de cette tempête seul une ombre apparaissant à une fréquence irrégulière laissait percevoir les contours de l'assassin. Pas un mouvement et encore moins de réaction face aux colère de la nature qui faisait de son mieux pour faire plier cet étranger venu contester une souveraineté immémoriale qui prenait racine dans les origines même de la naissance du monde. Une pointe d'amusement se fit sentir dans une variation d'énergie lorsque les démons firent leur apparition derrière Kojiro qui émit un soupir presque inaudible. Déjà qu'il avait dû se mesurer à des petites frappes sur le chemins allez en ramasser ici était pénible au plus haut point.
Il n'eut pas le temps de se retourner que déjà les premiers tentèrent en vain de lui ôter la vie dans des attaques plus suicidaires qu'efficace. Il ne pris pas la peine de dégainer ses armes et se contenta de les faire voltiger utilisant les failles afin des les renvoyer au loin et si possible dans un gouffre où des roches acérées prêtes à recevoir les corps des malchanceux qui avaient le malheur de tomber dans ces pièges mortels.

Il marqua une pause lorsqu'il senti les vibrations s'arrêter net avant de reprendre. Au loin des sifflements aigus se firent entendre amenant une pluie de flèches qui décimèrent un bon nombre de démon apparemment surpris de cette manoeuvre. Une cavalière fit également son apparition en décapitant les démons sur son passage. Ce n'est qu'une fois le calme revenu qu'il la vis s'approcher de lui. Sa curiosité fut tel qu'une flèches avait réussi à l'atteindre. Il la regarda d'un air interrogateur, l'organisation était pour lui le seul apte à créer les claymores mais dans le cas présent l'armure qu'arborait les soldats et la guerrière en question était frappée d'un sceau typique des familles de nobles, des armoiries dont il ignorait tout et qui étaient sans doute la réponse à ses questions. D'un geste sec il extirpa la flèche avant de répondre à la question qui lui était posée.


« Mon nom? Et bien je me nomme Kojiro Sasaki et suis un ex-membre de l'organisation en charge de la traque et de l'élimination des traîtres. Mais cela appartiens au passé désormais... ravi de faire ta, excusez-moi, votre connaissance. »

Il s'inclina légèrement en avant afin de conclure cette courte présentation. Comment allait réagir son interlocutrice face à cette sombre révélation? Dur de pouvoir le prédire car le don de divination n'était pas inné chez le combattant qui préférai encore la méditation et les longues balades aux foules qui rendaient impraticable les rues et ruelles lors des marchés ou autre fête populaire.

« Et serai-til possible d'avoir de plus ample informations sur cette Dame D'Egon ainsi que sur ce que son les Paladins d'Argent. Je n'ai pas eu écho de tel personne. Il faut dire que les sorciers et sorcières aux yeux d'argent sont bien plus implantés dans les esprits. Et malheureusement pour ces dernières pas dans le bon sens du terme. »

Il garda son esprit ouvert afin de vérifier que rien de fâcheux ne se produise dans la forge même car en l'abscence d'informations précise sur Sir Ravage garder un oeil sur lui serai nécessaire. D'un autre côté il faisait face à Margareth tentant de discerner une quelconque expression ce qui n'était pas aisé en raison du casque qu'elle portait.
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeDim 25 Avr - 14:28

Wotan avait regardé Kojiro par la fenêtre se battre ou plutôt faire une boucherie avec les yomas, il avait l’air assez fort, un combattant assez puissant ma fois. De nouveaux venus firent leur apparition voulant jouer les héros. Leur force semblait résider dans le fait qu’il gardait une cohésion martiale. Lorsqu’un rang chargeais son arc de la flèche l’autre tirais et inversement. Le tir était donc nourrit et ne s’arrêtait pas.
Parmi ces soldats, l’officier seul pouvait attirer l’attention car il émettait une aura particulière très proche de celle des sorcières aux yeux d’argents.
Deux soldats vinrent jusqu'à la forge mais prirent à peine la décence de toquer la porte avant de s’engouffrer dedans en grands vainqueurs comme s’il rentrait dans une taverne sans attendre d'invitation à pénétré dans l'ancienne forge.
Soldat 1 - OUUUUuuuuuuuuuuh il fait meilleur ici. T’a vu comment je t’en es défoncé quatre. Hahahahaha du pure jus de mure mon pote.
Wotan - On vous a jamais appris la politesse les gars? Je connais des roturiers de bas milieux qui savent mieux se tenir que vous.
Soldat 1 - T’es qui pour nous parler de la sorte toi.
Wotan - Ton pire cauchemar si tu ne ressors pas à nouveau pour toquer à la porte et attendre mon accord pour t’inviter ici.
Soldat 2 - Tu peux crever, je ne ressors pas d’ici, au contraire je vais inviter mes potes et on va bouffer votre bouffe sous vos yeux.
Wotan - Sois vous sortez gentiment de votre plein gré et y’a pas de soucis, sois c’est moi, et je le fais avec pertes et fracas. Suite à cela, les deux hommes se regardèrent en souriant d’un commun accort et sortir leur épée.
[color=orange]Soldat 1 - Sa tombe bien je n’ai pas eu assez d’action pour aujourd’hui[/color]
dit l’un d’entre eux.
Avant que les deux soldats n’aient bougé, Wotan avait lancé tel des javelots ces deux glaives transperçant les deux extrémités de la clavicule du premier soldat et le clouant au mur. Celui-ci tomba dans les pommes suite à la grande douleur que cela lui avait engendrée. Quand au second il tenta une frappe horizontale sur le guerrier aux cheveux doré. A ce moment là Wotan se laissa chuter vers l’arrière, laissant passer la lame au dessus de lui, il se retint alors avec ces deux mains posés à plat au sol, et frappa de ses pieds avec puissance les deux rotules de l’homme.
C’est avec un bruit écœurant que le soldat s’explosa le dos contre la bonne vieille pierre. Oh il aurait pus le faire passer a travers, mais trouer le mur auraient été inconfortable pour les deux ouvriers. Le premier cloué revint peu à peu à lui
Soldat 2 -Je croyais que vous n’aviez pas le droit de tuer des hommes.
Wotan - Qui te dit que je suis un claymore de l’organisation? Dernières questions, vous venez d’où et pourquoi vous nous ennuyez.
Soldat 2 - Nous sommes des soldats d’élite de la ville d’Egon. On devait se rendre ici même dans la forge, enfin non on devait trouver cette ville.

*D’élites ces deux là ? ils savent même pas être courtois avec les inconnus dans n’importe qu’elle situation un peu stressante.*
Il arracha les armes du corps du soldat qui émit une plainte étouffé et les rangeât dans leurs fourreaux respectifs. Pendant le temps que celui-ci se remettait de sa souffrance, Wotan pris par le col le soldat aux rotules pétés et ayant des douleurs dans le dos bien que celui-ci ne soit pas fracturé. Il le tint également par le pantalon, ouvrit la porte, et l’envoya faire un vol plané droit dans la neige boueuse, à vrai dire l’ancien parc à cochons lorsque la ville vivait encore. C’est donc, torse nu qu’il sorti avec le soldat tel un vulgaire sac de transport. Le corps bien dessiner sans être développer à l’excès, les cheveux détaché cascadant librement ses épaules, les yeux perçant comme ceux d’un loup sauvage, tout en lui dissuadait les hommes d’Egon de l’attaquer. Il avait cette beauté sauvage et libre qui laisse un sentiments de crainte ou de grand remerciement lorsqu’il aidait certaine personne.
Concernant le soldat, de une il aurait mal physiquement, de deux son pseudo honneur serait traîné dans la boue, et de trois, ce type d’armure rouillait en général si l’humidité rentrait un peu trop. Sa lui ferait du bien, cette leçon d’humanité… il y a toujours quelqu’un de plus fort que soit.
Quand à l’autre, il ne pourrait pas se battre avant longtemps mais il pouvait encore se déplacer, Wotan décida donc de le laisser retrouver de lui-même sa compagnie.

Ces gugusses ne faisaient même pas un bonne échauffement. Qu’importe tant qu’on le laissait faire ses affaires tranquillement.

Une fois tous les intrus sorti, Hugh et Romain demandèrent à Wotan de leur apprendre l’art de l’épée.
Wotan - C’est hors de question, pour la simple et bonne raison que tu es un bâtisseur, pas un combattant, ton devoir est de créer un monde meilleurs.
Romain - Mais si on veut protéger nos familles, il me faut votre aide pour savoir me défendre.
Wotan - Une fois le travail terminé je vous enseignerais juste les bases. Ce sera suffisant. Et puis contre les yomas, tu n’as aucune chance, ils sont bien plus rapides que vous.
Hugh et Romain - Bien, merci Sire Ravage.


Sire Ravage, il avait choisit ce nom, et il lui ressemblait à merveille. Il ravageait les cœurs de ceux qui le croisaient, bien souvent ces combats faisaient des ravages et question amour il lui arrivait de faire tomber plusieurs cœurs et de faire des émois.

Mais la situation actuelle et le bruit au dehors le fit revenir au moment présent.
Déjà les forces armées au dehors commençais à s'activer, qu'allait il se passer...

[hors rpg: orange pour pnj, rouge pour paroles de Wotan, bleu pour les pensées]
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeLun 26 Avr - 11:42

Quand Marareth vit l'homme enlevé la flèche comme on enlève une brindille dans ses cheveux. Elle en fut rassurée, il n'était pas vraiment blessé. Il répondit à sa première question. Elle sourit, à son nom, il semblait venir, d'un territoire lointain, ou d'un passé révolu. Il lui va très bien… Mais elle ne fut pas très surprit qu'il lui dit qu'il était un ex-membre de l'Organisation. Et qu'il était avant chargé d'éliminé les traites. Étrange qu'il en soit devenue un lui-même. Quand il s'inclina devant elle, et lui dit qu'il était ravi de faire sa connaissance, elle sentait rougir de nouveau. Puis il lui demanda des informations sur Dame Lenneä et sur les Paladins d'Argents. Il précisa que les Claymores étaient plus connues, mais pas dans le bon sens du terme. Elle lui répondit simplement :

"Les Claymores ne sont pas entièrement responsable de leur réputation, leur employeur ne fait pas n'ont plus beaucoup d'effort pour améliorée leur image. Dame Lenneä d'Egon est une ancienne Claymore, et l'héritière de la famille régnante de la cité d'Egon et une descendante de la famille impériale de Stravie, l'empire qui régné, il y a bien longtemps sur tout l'île. Mais elle ne dirige pas elle-même Egon, elle laisse cela au conseil de la mairie d'Egon. Des membres élue par le peuple d'Egon et de la région au alentour. Ce n'est pas un tyran de ces temps ancien. Elle n'a qu'un but, éradiqué les démons, et redonné la souveraineté au peuple sur cette île et bouté l'Organisation hors de chez nous. C'est elle qui ma greffé, et permit de devenir une Paladin d'argent. Les Paladins d'argents portent tousse une armure avec un alliage spécial, et ce long sabre. Nous avons comme but de protégé l'armée d'Egon et combattre l'Organisation."

Margareth s'arrêta, elle venait de voire l'un de ses hommes s'écrasa dans la boue gelée d'une ancienne porcherie. Elle jeta un coup d'œil à l'homme qui venait de jeter comme un fétu de paille, l'un des soldats d'Egon. Il possédé un Yoki impressionnant, et sa maitrise de son Yoki ne fessait aucun doute, quand elle vit le deuxième soldat venir vers elle. Il ne les avait pas tuées. Un preuve qu'il ne semblait pas être un éveillé. Elle regarda un moment, l'un des deux soldats se déplaça vers elle en clopinant. L'autre resta allongé au sol, plus ou moins dans les vapes. Elle cria :

"Juliette, jette un coup d'œil sur ses deux idiots, et soigne les. Garek, inspecte la zone et trouve une bâtisse dans le meilleur état possible. On monte le camp, ici. Alexei, inspecte les cadavres de Yoma et récupère se que tu peux, et brule le reste."

Elle regarda ses soldats obéir, et vit la dénommé Juliette, la guérisseuse attitré de son détachement se dirigeait vers Boris et Marov. Garek lui envoyait trois groupes de deux hommes partir en éclaireur dans les ruines de la ville. Alexi, avec trois autres soldats se mit à déambulé entre les cadavres de Yoma. Il prenait certain morceau sur les cadavres, et les quelques pièces métalliques que les monstres possédé, qui n'était pas trop rouillé. Puis ils se mirent à entassé les cadavres en tas. Elle se retourna vers l'ancien claymore Kojiro Sasaki. Et lui dit, en glosant légèrement :

"Je sais pas qui c'est mais il ne doit pas être lui aussi un claymore de l'organisation, pourtant il as un Yoki, et n'as pas bouffé mes deux hommes. Vous le connaissez ? S'il veut rester dans son coin, je ne vais pas le dérangée. Mais, j'y pense, Acceptez-vous que je vous invite à partagé mon repas… Je sais d'habitude, ce sont les hommes qui m'invite, mais j'aime bousculer les habitudes…"

Puis elle vit une moue sous son casque et jeta un regard à la forge. Elle dit, sur un ton taquin :

"Cette "ermite" a agressé deux soldats d'Egon, pas les plus intelligent j'en est peur. Mais selon mes ordres, je devrais le conduire devant la Maire d'Egon, ou un de ses représentants. pour qui s'explique de ses actes. Mais, là c'est un peu loin. Et je ne pense pas qui vas me suivre gentiment. Ensuite, ne pas invitées une lady telle que moi, à partagé son feu, me met en colère…"

Elle regarda Kojiro, puis la forge, laissait un lieu inconnue avec un guerrier si puissant dans le coin sans connaitre ces intentions était contraire à son éducation de sous-officier. Mais la première approche n'avait pas était concluante. Peut-être que Kojiro pourrait l'aidé. Elle demanda d'une voix charmeuse :

"Aidez moi, je ne sais quoi faire, avec des ex-claymores aussi rustre."

Elle porta la main à un pendentif qui tombé au milieu de sa poitrine, moulé par son armure. Elle hésité, le lieu devrait être inhabité, et elle se retrouve avec deux ex-Claymores mâles, des recrues de choix pour la Villa Duce. Mais elle n'était pas la Dame d'Egon, elle aurait su quoi faire, mais elle qui était une paladin d'argent depuis peu. Ensuite l'un des ex-claymores fessait battre son cœur plus vite. Elle était troublé, pas vraiment sur d'elle. Elle voulait de tous son cœur qu'il accepte son invitation. Mais son esprit, lui ne voyer qu'une raison de le séduire, son potentiel de combattant pour l'Organisation. La raison et le cœur, ne se mette pas toujours d'accord tout suite, mais on n'y arrive toujours un jour.


Dernière édition par Lenneä le Mar 27 Avr - 12:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeLun 26 Avr - 21:55

À peine eut il d'extraire la flèche et de décliner son identité auprès de Margareth qu'une dizaine d'homme portant une armure aux armoiries de la Villa Duce faisait leur entrée sur la scène enneigée où jonchaient les corps disloqués des démons qui avaient servi de cible mouvante pour les archers qui accompagnait la guerrière en armure. Pas l'ombre d'un doute ne vint effleurer son esprit. Ces hommes étaient formés pour lutter contre les démons depuis leur plus jeune âge. Ainsi donc la Dame d'Egon était bien déterminée à faire face à l'organisation et ses claymores. Travailler en accord sur l'extermination des yomas aurait été sans doute plus bénéfique mais il ignorait encore beaucoup trop de chose que pour avancer de tel argument. Tôt ou tard il serait amené à rencontrer cette fameuse ex-claymore et peut-être travailler pour cette dernière même si cela ne serai que temporaire. Sa liberté étant, à ses yeux, plus importante que de se battre pour la cause d'une tierce personne. Les choix, voilà ce qui déterminait le destin de chaque être vivant. Oublier cela revenait à avancer dans les ténèbres tout en poursuivant une lumière qui ne vous réchauffe point mais qui au contraire vous consume si elle vous conduit à agir à l'encontre de vos principes. La réaction qu'avait adopté Margareth à l'annonce de l'ancienne fonction qu'occupait Sasaki en disait long sur le caractère de la jeune femme. La plupart des personnes à qui il donnait ces informations feintaient d'avoir un rendez-vous urgent, une réponse typique d'une peur naissante. Cette crainte n'était pas présente chez la paladin d'argent qui était plus gênée et perturbée en face de l'ex-claymore qui ne se considérait pas comme un homme extraordinaire. Loin de là, il était avant tout un solitaire fidèle à ses amis et alliés. Que pouvait elle éprouver à son égard? Le coeur et les sentiments sont si nombreux que tous les recenser n'était pas toujours possible. Entre deux rafales il rabattit la capuche de sa cape, plus besoin de dissimuler son visage qui était en partie masqué par le capuchon qui descendait un peu plus bas que ses yeux. Certes il était désormais reconnu comme un claymore mais tout dans son apparence et ses manières laissait penser le contraire. Si un inconnu venait à le croiser il le prendrait pour un humain des plus banal. L'agitation provoquée par Sir Ravage attira son attention, il n'était pas allez de main morte pour faire sortir les deux soldats. Dehors les autres suivaient à la lettre les injonctions de leur chef. La discipline était de rigueur ce qui du point de vue du claymore était bien plus bénéfique que contraignant.

« Je te prie de l'excuser mais il semblerait que Sir Ravage ne soit pas disposé à répondre à ta demande pour le moment. Disons que ses vieux fantômes le hante encore et pour une raison qui m'échappe. C'est d'ailleurs pourquoi il est ici. »

Puis une requête, non pour être plus exacte une demande émana de Margareth. Partager son repas. La jeune femme aimait bousculer les habitudes et ce fit légèrement rire Kojiro qui accepta volontiers l'offre qui lui était faite. Manger seul par ce temps n'aurait de toute manière pas été plaisant et la présence de la combattante ainsi que de la troupe de soldat ne le dérangeait point. Loin de là voir un peu de vie dans ces lieux désolés était plutôt agréable pour tout voyageur. De plus son aide était requise afin de permettre à son interlocutrice de mener à bien les ordres donnés. Outre sa mission principale, les actes de ravage n'étaient pas sans conséquence vu qu'il s'en était pris à des représentants de la ville d'Egon en service.

« Très bien, j'accepte volontiers ton offre mais en contre-partie je mettrai mes talents à dispositions de la Dame d'Egon. Il est naturel de rendre un service en échange d'un autre. Concernant le combattant qui occupe la forge il te faudra lui parler face à face mais je pense savoir ce qui pourrait faire pencher la balance en ta faveur. Si tu veux m'excuser un moment, je vais m'entretenir avec le principal concerné puis j'aiderai à monter le camp. »

Il tourna les talons et se dirigea vers la porte d'entrée, frappa à deux reprises puis entra sous le regard inquiet des deux artisans présents qui le prenait encore pour un démon issu de temps immémoriaux.

« Je m'excuse pour cette brève intrusion mais si possible j'aurai voulu en savoir plus sur cette fameuse dette citée un peu plus tôt. Serai t'il possible de discuter avec toi dans les plus brefs délais. Si tu me cherches je serai avec les représentants de la Villa Duce. Ils vont établir leur campement non loin d'ici. Peut-être y aura t'il moyen de trouver un terrain d'entente autre que la voie des armes. Sur ce je vous souhaite un bon appétit. »

D'un bref geste de la tête il salua les trois hommes présents autour de l'âtre du feu et sorti. Son regard balaya la salle et s'attarda alors sur des réalisations macabres, des tombes au nombre de douze mais aussi sur de vieux meubles où des manifestes et autres documents de commerces devait traîner. Cette fois il ne fallut pas une seconde de plus pour comprendre l'objectif de l'ex-claymore. Douze sépultures pour des compagnons tombés au combat. Il ne s'attarda point et parti rejoindre Margareth et la troupe d'Egon pour leur prêter main forte. Il aurait enfin l'occasion de pouvoir parler à visage découvert avec cette magnifique jeune femme qui attisait sa curiosité. Il espérait également que ravage accepte sa requête sans quoi il devrait en arriver à croiser le fer pour lui faire entendre raison et cela il ne le voulait point.
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeMar 27 Avr - 12:23

Cette fois, ce fut l’autre claymore qui était venu, ce Kojiro. Peut être faisait il équipe avec eux après tout et qu’il n’était qu’un éclaireur. Cependant, contrairement aux deux autres soldats, celui-ci eut la décence d’attendre l’invitation à rentrer.
Sur le coup, Wotan n’avait rien dit. Il n’était pas belliqueux mais lui imposer des contraintes l’agaçait au plus haut point. On l’invitait à venir parler. Fort bien, peut être était il important pour les étrangers de le rencontrer.
Après tout, sans être extraordinairement fort, il se défendait honorablement. Il sortit chaque arme et les nettoya méticuleusement, puis les graissa afin qu’elle ne rouille pas et qu’elles sortent facilement de leur fourreaux.
Les deux jeunes gens n’arrivaient pas à dormir avec toutes ces émotions passées et pourtant ils en avaient vécu des scènes traumatisantes. Aussi discutaient-ils tranquillement dans un coin calme et peu éclairé.
Après avoir vérifié les alentours et mémorisé le trajet des rondes de chaque soldat, Sire Ravage décida de faire un tour auprès des chevaux. Ils étaient tous majestueux mais les intempéries et les dégâts des routes avaient dut les épuiser.
Dans une autre génération, il avait été maréchal ferrant, il aimait bien ce métier, on bougeait, donnait de bon contact avec les animaux. Mais l’une des causes qu’il l’avait fait arrêter ce métier, c’était les clients. Beaucoup ne respectait pas leur monture, et s’en était insupportable pour notre claymore. A l’époque il leur faisait la morale mais ceci n’acceptait pas qu’on leur donne des leçons.
Wotan cassa donc pas mal d’os et tordit pas mal de muscles à cette période. A l’inverse, les bons cavaliers ne faisaient que vanter ces qualités car leurs bêtes s’en portaient à merveille. On lui proposa même une fois de devenir maître d’écurie chez un petit seigneur aimant fort bien les bêtes.
Mais revenons à nos moutons. Notre claymore fort particulier prit plaisir à inspecter les chevaux jusqu'à ce qu’il découvrit une jument et un autre cheval ma fois fort abîmé. Sabots mal voir pas du tout entretenu, trace de coups sur le ventre, robe non brossé. Les bêtes furent donc heureuse de se voir être aux petits soins avec quelqu’un d’expérimenté. La terre fut enlevée de dessous les sabots, un onguent fut posé sur les blessures en dessous des pattes et enfin leur crinière se retrouva peigné et retrouva un aspect agréable. Mais les sabots blesseraient à nouveau ces deux nobles bêtes.
S’était impossible à accepté pour notre homme. Il retourna dans la forge et demanda au jeunes gens s‘il pouvait utiliser leur outils. Certain était fort proche de ceux qu’utilisait un maréchal ferrant. Aussitôt dit, aussitôt fait, les mauvais sabots furent enlevés. S’en demandé la permission, il les modifia, à grand coups de marteau et tels des chaussons de vers de Cendrillon, les chevaux furent à l’aise.
C’est alors qu’il remarqua que la jument ou plutôt la pouliche était enceinte, l’agacement contre ces incompétents monta d’un cran. Une sorte de mini carrière d’une vingtaine de mètres était à côté. Il emmena les deux chevaux et les examina de plus près.
Cette fois ci la coupe était pleine : non seulement ils étaient négligés, mais en plus, des coups leur était porté régulièrement. Il vint voir la patrouille de soldat et demanda à qui appartenait les deux chevaux. Ne vous étonnez pas, il s’agissait des deux hommes de tout à l’heure. Il rentra donc prendre par la peau des fesses le blessé des rotules et dit à l’autre de le suivre sans faire d’histoire.
Intimidé, et ne sachant ou il allait l’autre le suivit mais demanda à ces amis de venir également ainsi que cette Juliette qui était guérisseuse.
Il posa le premier par terre, l’autre capable de marcher le suivait avec une distance apeuré d’environ trois mètres.
Wotan - Montre-moi comment tu trotte tout de suite. Je vais être gentil, vu tes blessures je te tiens le cheval.
Soldat 1-Mais il fait nuit, c’est de la folie.

Devant le regard de Wotan, il s’exécuta.
Wotan - Ah bah voilà le problème. Qui est ce qui t’a appris à monté à cheval. A frapper comme ça l’animal, normal qu’il n’apprécie pas. Exerce juste une pression, sa sert à rien de talonner le cheval comme s’il s’agissait d’un coussin d’air.
Wotan - Bon j’ai compris, descend de là. Là, tu vois, je le frappe pas l’animal. Je peux même le guider sans les mains.

Il redescendit, fit une démonstration et laissa l’homme s’essayer.
Wotan - Quand à toi, franchement, je te le dis droit dans les yeux, maltraite encore une fois cette jument et je te fracasse les deux bras en plus de tes jambes. Je suis sur, t’a même pas remarqué qu’elle portait un poulain.
Tssss. Et maintenant il est énervé.

Soldat 2 - Quoiiiii ? Quand s’est elle fait engrosser ?
Wotan - A la palpation, je dirais qu'il à dix mois

Il prit un fouet et claqua le sol.
Wotan - Il s’appelle comme ce magnifique cheval? Magnifique il l’était : robe bai brun (brun très foncé avec une crinière noire). Le port fière, assez énervé des coups que lui donnait le soldat.
Soldat 1 - Keko.
Wotan - Kekoooooooooo, au trot
, le fouet claqué toujours le sol jamais le cheval. Celui-ci répondait exactement à l’ex claymore. Galopeeeeeeeee, dix seconde passèrent mais l’agacement du cheval était toujours présent et celui-ci faisait à présent des ruades un peu partout. Au trot, au galop. (Petites ruade à nouveau, après l’exercice). Aller mon tout beau viens vers moi. Le cheval docile vint vers lui. Il le regarda, monta dessus et fit un petit galop simple, efficace, élégant à la moindre pression de son cavalier.
Pour récompenser l’animal, il prit dans sa poche du pain dur et lui donna à manger tout en le caressant.

Un peu de discussion intéressante lui ferais peut être du bien, après avoir rangé les outils des ouvriers il pénétra le camp militaire. Lorsqu’il rejoignit Kojiro et la paladin d’argent, il n’avait pas fait un bruit, il avait été si discret, qu’il se confondait avec les ruines qui les environnait.

Il s’assit en face d’eux dans l’ombre pour ne pas les déranger, puis regarda les étoiles, il devait être deux à trois heures du matin. Les nuages commençaient à se disperser enfin.
Parler de son passé était hors de question. Il parla bas, il ne dirait les choses qu’une fois, si Kojiro entendait, alors sa sera tant mieux pour sa curiosité sinon tant pis. De toute manière demain tout sera fini si les temps étaient cléments.
Wotan - Je suis ici pour rendre immortelles des amis, des frères d’armes malgré le temps qui passe et malgré la folie des éléments.
Je ne t’es pas connu lors de la première génération, pourtant vous avez les attributs d’un claymore comme moi. Êtes-vous une exception des dernières générations ? Ou alors un homme qui n’a pas apprécier l’organisation avant même d’avoir son numéro.

Kojiro avait tenté de savoir son passé, il en faisait de même, mais voulait éviter de parler au maximum de son histoire. Une question partout, le match était il terminé ?
Il se demandait malgré tout qui était cette femme aux yeux argenté. Une ex claymore, il en doutait mais en même temps, comment pouvait elle avoir eut ces pouvoirs. Vu les blessures qu’avait eut ces hommes, elle devait être assez en rogne contre Wotan. Mais celui-ci se refusait à s’excuser d’une chose qu’il pensait juste. Aussi ne se voyait pas prendre la parole à ce sujet comme si de rien n’était.
Wotan - Joli médaillon et jolie armure. Vous devez en prendre soin dit-il malgré tout. Y’avait pire comme entrée en matière mais bon, c’était déjà un effort de sa part pour engager une conversation.[list][*]

[paroles de Wotan en rouge, Pnj en orange]


Dernière édition par Wotan le Ven 30 Juil - 19:25, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeMer 28 Avr - 10:37

Margareth enregistra l’information. L’homme qui venait de jeter ses deux soldats dans la boue, dans un sale état se nommée Sir Ravage. Se nom lui disait quelque chose, un Chevalier au service d’un riche marchant du nom de Gaki, habitant la ville d’Hanel. Que savait-elle sur ce chevalier, son efficacité dans le combat contre les Yoma était surprenante. Le Marchant en question semblait vouloir redoré son vieux blason de Baron d’Hanel. De récentes sources indiquées la disparition de fanatiques religieux de la ville, anti-claymores. Sûrement le fait de Sire Ravage… Pourtant ce marchant d’Hanel, ne semblait lui aussi ne pas portait dans son cœur les Claymores. Elle sut rapidement que cet homme, devrait être considérait avec respect. Et que dame Lenneä devrait être intéressé de savoir que le Gaki Hanel employait un ancien claymore. Mais en outre les relations avec la ville d’Hanel pourraient se montrer profitables à l’économie d’Egon.

Kojiro répondit à son invitation. Il semblait prés à l’aider pour un temps la Dame d’Egon. Il lui donna un conseil, et lui offrit une possibilité de parler face à face avec sire Ravage. Il lui proposé même d’aidé à monter le camp…. Quel homme serviable, et galant. Elle lui répondit :


« Merci. La Dame d’Egon vous remerciera de votre bonté. Mais, j’apprécie aussi votre offre. »

Puis elle le regarda partir vers la forge, et y entrée. Elle revient à ses moutons. Elle partit rapidement installer son cheval, qui était partit brouter de l’herbe. Elle ne savait comment cet étalon fessait, mais il trouver de quoi brouté n’importe où. Enfin, il n’était pas le chef de la petite harde que constitué les quelques chevaux de cette troupe pour rien. Bon, être un magnifique destrier Alezan à la crinière grise, assez exceptionnelle n’y était pas étranger non plus. Il ne manqué de rien, et semblait que la volonté de Margareth de vouloir l’amené prés des autres montures était un peu inutile. Quand il la vit approché et remarqua que sa harde se trouver regroupé en un endroit. Il y partie en demandant en passant des caresses à Margareth. Celle-ci avait l’impression de ne servir qu’à ça avec lui. Et qu’il l’autorisé à monter sur son dos, et le diriger juste par envie.

Elle suivit un de ses hommes qui avait trouvé une bâtisse, une ancienne auberge, qui avait encore ces quatre murs debout. Elle donna l’ordre de conduire les montures à l’abri dans l’ancienne écurie de l’auberge. Elle jeta un cou d'œil à l'étage où se trouver les chambres. Mais l'absence de charpente et de toit, lui recommanda de ne pas utiliser cet étage. Elle et ses hommes dormiront dans leur sac de couchage à même le sol, dans le hall. Ils auront au moins quatre murs et un plafond pour les protégés du vent soufflant dehors. Margareth était heureuse d'avoir trouvé au moins cet abri dans des ruines datant d'un peu prés un millénaire. Elle donna le signal pour préparer le repas du soir. Puis jeta un coup d'œil aux chevaux, ils étaient couché les un à coté des autres, pour se tenir chaud. Elle ne vit donc pas qu'il en manqué un, ou plutôt qu’il manqué une jument. Elle constat par contre que l'étable construit en pierre, bien que manquant de toit offrait une protection non négligeable contre la tempête soufflant sur la ville en ruine.
Margareth retourna vers le hall, et donnât des tours de garde aux prés des chevaux, pour y maintenir un feu. Une précaution inutile pour ces puissants destriers adaptés au froid relatif de cette montagne. Mais éprouvant pour des habitant du Sud. Mais par le temps qui court la protection d’un feu contre les prédateurs, pouvant roder dans la région, était non négligeable. Ayant enfin donné tout les ordres nécessaires à l’installation du campement, elle s’assit sur le sol pour se reposer un peu. Elle regretta que les tables et les chaises fussent pourries depuis bien longtemps. On lui apporta un bol de potage et une pomme rapidement, lui permettant de calmer sa faim et de se détendre.
Margareth jeta un coup d’œil à l’encadrement de la porte de l’auberge où elle vit revenir Kojiro, après sa discutions avec sir Ravage, il n'était pas revenu directement. Il était surement partit avec Alexi brulé le reste des cadavres de Yoma, et congelé les membres intactes des Yomas. (Il lui posera surement des questions là-dessus.) Elle connaissait Alexi, celui-ci n’hésitait jamais à demander de l'aide. Et il avait une façon très particulière… très franche… personne ne pouvait y résisté, sans passé pour un fainéant ou à un grincheux. Elle enleva son heaume, révélant une chevelure blonde taillée court, encadrant sa tête. Elle possédé deux yeux argentés surmontant un nez fin. Elle avait une bouche aux lèvres pulpeuses, rendant son visage harmonieux. S’il n’était pas défiguré par une cicatrise lui barrant la joue droite. Elle ne semblait pas s'en plaindre, et la portait même avec une certaine fierté. Elle lui valait le grade quelle possédé actuellement. Margareth offrit sa pomme à Kojiro, et commanda de nouveau un potage pour lui et une pomme pour elle. Elle ne le regarda pas en face, de crainte de rougir à nouveau. Elle joua encore avec son pendentif, un peu nerveuse, et assez surprit d’éprouver encore ces sentiments, après si longtemps…

Perdu dans ses pensé Margareth surprit sire Ravage s'installé en face d'eux, mais n’y réagit pas. Il resta dans l'ombre, elle leva la tête vers lui. Elle le vit bougeait les lèvres, mais n'entendit ce qu'il dit à Kojiro. Elle sortit de ses pensés pour se concentrée sur la conversation. Quand finalement, il prit la parole, ce fut pour dire deux simples compliments. Elle répondit d'une voix neutre, mais se voulant aimable :


"Mon armure ne rouille pas, donc je ne fait que de la dépoussiérer et la laver de temps en temps… Merci pour le médaillon, c'est un cadeau d'un vieil ami... Vous avez déjà mangé ? Je peux vous fournir une pomme avec un peu de potage. C'est un bouillon de lard avec plusieurs légumes… très énergisant…"

Elle lui montra son propre bouillon et sa pomme. Puis regardant le reste de sa compagnie rentrée et venir se restauré. Elle remarqua Boris arrivait par l'écurie, elle fut surprit. Depuis quand il s'occupait lui-même de sa jument, il ‘y avait toujours quelqu’un pour le faire à sa place. Elle se demanda, si ce ne cacher pas quelque chose, elle fut tenté d'aller voir s'il n'avait pas passé sa frustration sur cette pauvre bête. Puis elle regretta ses pensées, il était un cavalier, il savait très bien, que sa monture valait plus que lui-même pour Egon. Marov lui était porté par Juliette. Elle pouvait surprendre plus d'un, mais cette petite femme, était très forte. Et pas si petite que ça. Juste un peu par rapport à elle, qui était très grande pour une femme d'Egon. Elle reprit en souriant, pour sire Ravage :

"Je m'interroge sire Ravage, sur votre agissement sur deux de mes soldats. Je suis en droit de vous demander des réparations pour leurs incapacités à combattre. La justice d'Egon envisage que vous pouvez contester cette dette. Mais pour cela, il vous faudrait allez à Egon, ou dans une base de l'armée d'Egon. Je pense même dans ce cas que vous devrez allez à la Villa Duce rencontrée Dame Lenneä d'Egon. C'est l'unique chef des Paladins d'Argents. Je suis désolée, mais moi-même je ne peux seulement que vous demandez ses réparations, n'étant qu'un sous-officier…"

Elle va justement lui demander ses réparations, la loi étant applicable pour tous les membres d'Egon, des villages et bourgs sous sa souveraineté. Bien sur, il n’y était pas soumit mais s’il est diplomate, il acceptera de s’y plier pour faire plaisir à son employeur. Dans un autre coté, c'était un moyen de l'amené rencontrée Lenneä d'Egon. Elle demanda au deux ex-claymores:

"Je pense que c'est mieux que votre organisation. En tout cas, où je passe les gens m'applaudit, au lieu de courir se cacher et de me regardé avec peur et haine. Vous comprendrez mieux, si vous avez vu Dame Lenneä d'Egon traversant Rabona, pour placer symboliquement une nouvelle pierre, montrant le début de la reconstruction de la sainte cathédrale de cette ville. Les acclamations de la foule étaient des plus joyeuse, même le saint père à fait une éloge sur la générosité et la piété de la dame d'Egon. Seul le maire de Rabona applaudissait un peu mollement…"

Marageth, sourit au souvenir de cette journée, elle était encore une simple humaine et s'entrainer chez les novices des Paladins d'Argents pour obtenir la greffe un jour et combattre pour la liberté de son île et la nettoyer des Yomas.
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeMer 28 Avr - 22:54

À peine eut il quitté l'ancienne forge qu'un homme l'interpella demandant un peu d'aide pour empiler puis incinérer les cadavres des démons. Sur certain d'entre eux des parties avaient été prélevées puis conservées tant bien que mal avec des blocs de glace. Sans doute ces dernier serviraient ils à d'autres greffe pour de futur paladin d'argent destiné à renforcer les effectifs de la dame d'Egon dans sa lutte contre l'organisation et les démons qui déciment les hommes depuis beaucoup trop de temps selon les principaux concerner. Tandis qu'il transportait les cadavres par lot de quatre sans trop de peine le temps se calmait peu à peu découvrant un ciel étoilé entre les sombres nuages. Contrairement aux soldats présent la fatigue ne se faisait pas sentir mais un tout autre problème de taille fit son apparition,son énergie commençait à se manifester dans une bien trop grande mesure comme si le sceau placé plus tôt dans la semaine cédait face à une force implacable. Une fois la tâche terminée il pris la direction des ruines pour y retrouver Margareth qui continuait à diriger ses subordonnés d'une main de fer sans pour autant se comporter comme un tyran. Un tel comportement était admirable. Depuis une fenêtre il l'observa quelques instant puis fini par pénétrer dans le bâtiment. Des tables, chaises et autre élément dans un état de dégradation plus qu'avancé ornait la pièce principale. L'étage n'était plus accessible il leur faudrait donc se reposer au rez de chaussée. Sasaki resterai dehors afin de confiner ses pouvoirs une fois de plus. Les condenser de la sorte les amplifiaientt de manière phénoménale. C'est d'ailleurs cette méthode qui le propulsa à un rang aussi élevé.

Il pris une chaise et alla s'installer près de la jeune femme. Certes le repas ne serai pas des plus copieux mais était-ce vraiment nécessaire d'avoir un tel niveau de confort alors que se contenter des chose simple facilitait grandement la vie. Il fut heureux de pouvoir enfin contempler le visage de la paladin d'argent. Elle était réellement belle et possédait un charme particulier. Il se demanda même pourquoi elle n'avait trouver chaussure à son pied avant même la greffe. Les belles femmes étant courtisées à longueur de journée, trouver leur moitié ne devait pas être un problème pour ce dernières. Même après toutes ces années à observer le monde autour de lui les femmes restaient le plus grand des mystères avec bien évidemment le coeur qui était en perpétuelle contradiction avec la raison. Il remercia Margareth pour le repas et la regarda avec curiosité et intérêt. Elle semblait fuir le regard de Kojiro comme par peur d'être percée à jour. À l'extérieur il y avait pas mal de mouvement mais un attira particulièrement l'attention de l'ex-claymore en la personne de Ravage s'était mis en route tout en essayant de rester le plus discret possible après ses diverses interventions. Il entama son repas tout en écoutant la paladin d'argent parler. Elle était apparemment dévouée corps et âme à la dame d'Egon répondant nom de Lennea. Puis il écouta Ravage attentivement bien que son comportement donnait le sentiment contraire.


« Rendre tes amis immortels en dépit de la fureur des éléments qui se déchaîne ici? Je ne voudrai pas t'offenser mais ils le sont déjà. Il est dit que les êtres qui nous sont chère vivent éternellement tant que leur souvenir est présent dans le coeur d'au moins un proche. C'est ainsi qu'il faut le concevoir. Quant aux sépultures elles sont, pour un claymore, leur épée plantée à proximité du lieu de leur mort. »

Il marqua une pause tout en portant sa main droite sur son visage. La pigmentation des ses yeux était en train de reprendre cette couleur argentée typique des claymores de l'organisation. Il s'estimait heureux que Ravage reste dans une zone où il ne pouvait distinguer son visage.

« Outre ça tu n'as pas entendu mon nom malgré que nous soyons issus de la même génération. Et bien estime toi heureux que se soit le cas car nulle n'aime être pris en chasse par un assassin ayant pour objectif l'extermination des traîtres. Enfin, cela appartient au passé car ces missions allaient à l'encontre de mon souhait réel: être libre. »

Il s'adressa alors à Margareth sur un ton calme et posé tout en jouant avec la pomme comme s'il s'agissait d'une balle. Il se souvint alors des différents signes qui étaient perceptible chez la jeune femme alors qu'il s'adressait à cette dernière lorsqu'elle portait encore son casque.

« J'irai à la rencontre de Lennea. De cela soit en sûre mais je voudrai avant tout m'assurer que ma liberté ne soit pas compromise. À l'inverse de mon coeur qui lui peut être conquis. D'ailleurs je me demande ce qui caractérise ce sentiment que l'on nomme amour. Est-ce qu'il peut naître de l'intérêt que l'on porte à un être bien précis. Pour y répondre seul une femme en as les capacités vu qu'elles sont tout de même plus sensible que nous concernant ce genre d'émotion. Si vous voulez bien m'excuser un instant, j'ai une petite chose à faire. Et merci pour le repas , comme promis je suis prêt à vous rendre service pour vous remercier comme il se doit. Si l'un de vous me cherche je serai sur la place principale au centre des ruines. »

C'est sur ces bonnes paroles qu'il sorti en direction de la place, déserte comme l'on pouvait s'y attendre. Une fois sur place il posa sa claymore à même le sol et s'assit en tailleur avec son katana posé sur la paume de ses mains. Ses yeux étaient clos mais au fond de lui une lutte terrible opposait sa volonté et son pouvoir grandissant. De légère vagues d'énergie parcouraient son corps tel un monstre voulant s'exprimer mais faisant face à une volonté de fer. La lutte intestine entre sa part démoniaque et sa part humaine se manifestait cependant il parvint à sceller à nouveau son pouvoir avant de reporter son attention sur Margareth et Ravage. Son regard sous ses paupières reprenait enfin sa couleur d'origine. Il n'était pas membre de la caste des assassins de l'organisation pour rien d'autant plus que son rang dans le top dix. Malgré la distance qui le séparait de la paladin d'argent et de l'ex-claymore il veillait sur eux sans que ceux-ci ne le remarque. Un solitaire au grand coeur, voilà comment il fallait le définir.
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeSam 1 Mai - 1:33

Wotan écoutait attentivement ce que disait la paladin aux yeux d’argents. Elle insinuait qu’il était responsable des blessures de deux de ces hommes. C’était en parti vrai.
Wotan - Ton raisonnement pourrait tenir la route, mais tes hommes ont une sorte d’assurance dans les combats car un yomas laisse rarement un humain vivant si celui-ci le menace et il serait idiot de ne pas les couvrir en cas de blessures. Donc ce n’est pas sous les menaces que j’irais dans ta ville d’Egon. J’irais peut être un jour faire du tourisme mais ce n’est pas encore prévus pour l’heure.
Tu te méprends sur mes relations avec Gaki Hanel, je ne suis pas sous ces ordres. Nous avons juste des intérêts qui vont dans le même sens. Aussi, si celui-ci désire faire un déplacement et une alliance avec vous, libre à vous de le motiver en ce sens.
Pour ma part, si vous désirez parlementez avec moi ce sera ici, tant que j’aurais la liberté de vous répondre, c'est-à-dire au moins jusqu'à la fin de ma mission.
Votre bouillon est fort appétissant et j’y aurais gouté avec joie mais j’ai mangé un gros repas avant-hier soir et une bouché de lapin avec quelques mures avant votre arrivée.


Il comprenait ce que voulait dire Kojiro, beaucoup si ce n’est la grande majorité des claymores pensaient ainsi. Mais dans la tête de notre héros, il n’était pas normal que ceux qui avait donné leur vie pour une organisation si inhumaine n’avait pas le droit à une tombe décente.
Une épée en guise de croix, cela se volait régulièrement. Et se replantait à d’autre endroit ou encore pouvait être refondu pour des utilités des autochtones de la région. Quand on sait que l’épée d’un combattant vaut autant que la vi elle-même, autant protéger le bien qui vous est le plus précieux.

De plus, afin d’immortaliser les visages de ces compagnons, tous avait été dessiné sur des parchemins. A présent le tailleur avait réalisé des tombes décentes, ils avaient également sculpté les visages représenté sur les papiers de telle sorte que l’on avait l’impression qu’il dormait et que la pierre allaient laisser place à une peau légèrement rosie qui caractérisait tant les humains. Cela avait pris du temps mais sa en valait la peine.
Ces plaques de pierres aurait pu être réservé à un roi décédé tant les décorations avaient étaient fait avec élégance et dextérité.
En dessous de chaque visage serait noté l’insigne de chacun.
Il ne pouvait répondre à Kojiro car il n’aurait certainement pas pus comprendre.

Wotan - Madame, puis ce que vous vous montrez plus respectueux, agréable et même serviable que vos deux hommes. Pas sympathie pour vous, je tenterais de ne pas abîmer vos soldats. Sur ce, vous m’excuserez mais je ne peux plus tenir en place, je vais continuer mon jobs.
Hum, si vous désirez un conseil, inspectez vos chevaux, il y a une jolie pouliche qui risque de vous donner un gros cadeau. Moi à votre place j’adorerais mais bon, sa sera aussi pour vous des contraintes.
Et si je puis me permettre les sabots de la majorité des chevaux devrait être retravaillé vous risquez de blesser les chevaux et faire des chutes mortelles à leurs cavalier.
La dessus, souffrez que je me retire.

Ces sur ces mots qu’il fit machine arrière sorti une hache de la remise de la forge et alla chercher du bon bois.

A quatre heure du matin, une silhouette menaçante faisait tomber de gros branches voir des troncs les empilait, jusqu'à ce qu’un yoma face son apparition.
Yoma - J’ai toujours eu l’envie d’arracher le cœur d’un claymore.
Wotan - Dégage si tu veux pas te retrouver sans, tête, je n’hésiterais pas à te sabrer comme du champagne.
Yoma - Et avec quoi ? Tu n’a pas d’épée, juste une vieille hache à moitié couvert de rouille.
Wotan - T’a l’air d’avoir un sacré appétit dit donc ? Bon je suppose que tu me lâchera pas avant d’avoir eu une raclée.
Yoma - Exact.

Le démon et l’homme chargèrent. L’un projetta ces griffes droit sur la hache mais il ne rencontra devant lui que du vent. Un coup de pieds bien placé dans le bassin envoya le démon valsé loin dans les arbres. Furieux et aggressif, le yoma voulant gagner un avantage, allongea ces griffes comme s’il s’agissait de fouets et attaqua sans relâche notre homme.

On aurait put penser que Wotan, était en position désavantageuse, car aucune brèche n’apparaissait dans l’attaque de l’adversaire. La seule possibilité paraissait être l’esquive.
Wotan - Bon, jouer ne me satisfait plus. Il trancha le premier bras ce qui provoqua un hurlement de colère, et bloqua le second poignet sa poigne de fer.
Wotan - Repose en paix.
La tête tomba au sol sans avoir prononcé un mot, muet de stupeur et d’inquiétude face à la force qui venait de le terrassé.
De tout le bois coupé, une petite partie fut ramassée pour faire du feu. Le reste servirait pour le traineau, car les routes risquaient d’être impraticables pour de simple humain. Revenant, au village, il grimpa à l’endroit le plus élevé, et c’est en sentinelle qu’il s’endormit, caché du vent dans la plus haute tour de l’église. Ce ne fut pas aisé même pour quelqu’un d’aussi expérimenter qu’un claymore, trouver de vrai prise qui ne soit pas mangé par les termites dans le noir relevait presque de l’exploit si ce n’est de la folie.

L’endroit était en ruine, d’un côté une araignée tissais tranquillement sa toiles, de l’autre d’étranges signes était gravé dans la pierre mais très curieux. Ce n’était vraiment pas simple avec la nuit noir de lire ces signes. Aussi, alluma t’il un léger feu dans un endroit sans risque d’incendie et pratiquement invisible d’en bas. Par contre toutes, le panorama s’offrait à lui, ne laissant aucun endroit loin de ces yeux. C’était magnifique, magique. Il s’attela alors avec plus d’attention à ces signes. On aurait dit des dessins inventé par un enfant, mais en même temps formidablement complexe. En haut une sorte de flèche, devait représenter une épée, en dessous, se trouvait une lune à même niveau, un soleil, un homme, une femme, et enfin se trouvait tout en dessous des dizaines de petites flèches toute à la fin.

Maintenant qu’il y réfléchissait, il était vrai, qu’a proximité de l’endroit ou se trouvaient les épées, se dressait un dolmen, avec autour quatre pierres gigantesques. Peu de personnes comprenaient le pourquoi et comment ces pierres étaient venues. Certain disait que les démons s’en servait comme table à manger, car du sang séché y étaient régulièrement. D’autre pensait qu’au contraire, c’était le sang des fantômes qui avaient posé ces pierres et qu’elles étaient peut être maudite.

Bref, la curiosité prit le pas sur la précipitation, après sa mission, il irait voir ce truc particulier.
Maintenant qu’il y pensait, le lendemain serait la date exacte du solstice d’hiver. Peut être que cette donnée avait son importance après tout. Il ferma les yeux, l’esprit resta en éveil, à tel point qu’on avait l’impression qu’il méditait. C’était ainsi qu’il dormait, se reposant plus longtemps que ces confrères, mais n’étant jamais surpris par personne dans son sommeil jusqu'à présent.
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeSam 8 Mai - 19:55

Margareth regarda Kojiro jouer avec sa pomme et discuté de chose et d'autre avec sire Ravage. Elle enregistra se qu'elle pouvait, mais ne s'intéressa pas vraiment à leur discutions, cela ne la concerné pas. Elle ne retenait seulement se qui pourrais lui être utile. Il lui parla enfin, elle l'écouta jusqu'au bout :

« J'irai à la rencontre de Lennea. De cela soit en sûre mais je voudrai avant tout m'assurer que ma liberté ne soit pas compromise. À l'inverse de mon cœur qui lui peut être conquis. D'ailleurs je me demande ce qui caractérise ce sentiment que l'on nomme amour. Est-ce qu'il peut naître de l'intérêt que l'on porte à un être bien précis. Pour y répondre seul une femme en as les capacités vu qu'elles sont tout de même plus sensible que nous concernant ce genre d'émotion. Si vous voulez bien m'excuser un instant, j'ai une petite chose à faire. Et merci pour le repas, comme promis je suis prêt à vous rendre service pour vous remercier comme il se doit. Si l'un de vous me cherche je serai sur la place principale au centre des ruines. »

Elle sourit quand il lui dit qu'il était prés à rencontrée la Dame d'Egon. Mais il voudrait être sur que sa liberté, ne soit pas compromise. Elle fronça les sourcilles, se demandant si Lenneä d'Egon la laissera. Il y avait des chances pour que ce soit le cas, mais ce n'était pas sur, tout dépendrait des plans de son capitaine. Quand il parla de son cœur, elle oublia de respirait, et sentit ses joues s'empourprer. Mais elle ne put s'empêcher de sourire à sa remarque sur la sensibilité féminine. Quand il annonça qui avait une chose à faire, elle s'inquiéta pour une raison inconnue. Mais quand il renouvela son offre de lui rendre service, elle se rassura, quoi que ce soit qu'il avait à faire, se n'était pas très grave. Elle enregistra qu'elle pouvait le retrouver sur la place principale.

Puis elle écouta sir Ravage, il semblait pas prés à payer, pour les blessures qu'il avait faite à ses deux soldats. Ils avaient bien une assurance, mais se n'était pas vraiment, une consolation pour la perte de deux soldats, qui serons incapable de combattre, pour ça il n'y avait aucune assurance. C'était son problème, l'assurance ne payera que le prix des soins et leur mois de salaire où ils étaient incapables de travail. Elle ne lui avait fait aucune menace, alors il craignait quoi, qu'elle l'attaque car il défier la loi d'Egon. Il ne fessait pas partit des citoyens de la cité d'Egon et ils n'étaient pas sur le territoire d'Egon. Il semblait qu'il n'irait à Egon que pour le touriste. Elle imaginait mal la scène, la Dame d'Egon ne le laissera pas tranquille s'il se montre chez elle. Mais elle fut intéressée par son explication de ses relations avec Gaki Hanel. Il a des intérêts communs avec l'homme, une sorte d'associer. Certes si porte le titre de sire Ravage, il ne peut qu'être un associer du candidat le plus probable au poste de baron d'Hanel. Il ne s'opposa pas à ce qu'Egon motive Gaki Hanel pour conclure une alliance avec eux. Mais il ne l'aidera pas et verra se que décide Gaki. Il lui informa qui restera dans ces ruines le temps de finir sa mission. Margareth trouva étrange qu'il construit des tombes dans un coin si désertique. Un monument et fait pour être vu, enfin sauf s'il cacher quelques trésors. Et voilà, elle sait qu'elle ne résistera pas à l'envie de jeter un coup d'œil aux tombes qu'il va faire… La curiosité est un vilain défaut, mais elle est un peu payer pour ça. Il reprit la parole :

- Madame, puis ce que vous vous montrez plus respectueux, agréable et même serviable que vos deux hommes. Pas sympathie pour vous, je tenterais de ne pas abîmer vos soldats. Sur ce, vous m’excuserez mais je ne peux plus tenir en place, je vais continuer mon jobs.
Hum, si vous désirez un conseil, inspectez vos chevaux, il y a une jolie pouliche qui risque de vous donner un gros cadeau. Moi à votre place j’adorerais mais bon, sa sera aussi pour vous des contraintes.
Et si je puis me permettre les sabots de la majorité des chevaux devrait être retravaillé vous risquez de blesser les chevaux et faire des chutes mortelles à leurs cavalier.
La dessus, souffrez que je me retire.


Margareth sourit que c'était aimable de sa part de promettre de ne pas "abimer" ses soldats. Puis elle fut qu'à demi-surprise s'entendre qu'une de ses juments était sur le point de mettre bas un pouline. Décidément ce Sire Ravage avait toujours le moyen de remarqué la moindre petit bête. Soudain elle se dit que Dame Lenneä trouverait cela des plus amusants. Il lui recommanda de retravaillé les sabots des ses chevaux. Margareth soupira, ils avaient menée un train d'enfer pour arrivé jusque là. La vitesse et la discrétion de leur voyage avait éprouvé aussi bien les hommes que les bêtes. Elle aurait pourtant juré que son étalon n'avait pas de problème, et les sabots en bonne états. Mais c'était un cadeau de la Dame d'Egon, qui c'est si la race de ce chevale n'est pas plus noble et résistante que ceux de ses soldats. Elle laissa sire Ravage reprendre ses activités.

Après quelques minutes à discutée avec ses hommes, elle apprit qu'ils avaient trouvés une des entrées de l'ancienne mine de titane de la région. Une de ces mines légendaire qui avait fait la puissance de l'île dans le commerce du continent. Elle apprit aussi qu'ils avaient pus trouver une quantité suffisante de chaire intact de Yoma pour leur capitaine. Elle vit que tout se passé très bien, que les hommes s'endormaient et que les tours de gardes s'enchainait sans probléme. Elle remit son casque et sortit. Elle sourit intérieurement, en se dirigeant vers la place centrale de cette ville en ruine. Elle s'installa dans l'ombre et observa Kojiro un moment puis elle s'avança. Elle le regarda, la neige avait fini de tomber depuis longtemps et recouvert le sol d'un tapis blanc reflétant la lumière d'un dernier croissant de lune. Cette lumière sélène se reflétait aussi dans l'armure de la belle paladin d'argent. Elle s'arrêta à un mètre de Kojiro immobile. Elle enleva son casque, le laissa roulé au sol. Elle posa sa main sur le menton de Kojiro et approcha son visage du sien. Elle entrouvrir ses lèvres et l'embrassa…

Elle s'arrêta rapidement, et s'écarta du guerrier, elle baissa les yeux soudain gênée. Elle murmura :

"Désolée…Je ne sais pas ce qui ma pris… J'aurais due vous demandé… si…"
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeDim 9 Mai - 16:31

Au loin Ravage était en prise avec un démon affamé un peu trop sur de lui que pour pouvoir prétendre à une quelconque victoire. Ce dernier s'était donné au maximum afin d'arriver à ses fins mais au final il fut réduit au silence par le déserteur qui ne montrait aucune pitié face à ses adversaires. Une réaction un temps soit peu normal vu que nul combattant ne devrait implorer le pardon de son ennemi. Une fois sa besogne terminée il s'attarda sur une zone bien précise avant de se diriger vers le clocher d'une église où il s'assoupit l'esprit prenant le relais sur ses sens afin d'éviter tout événement malencontreux. En opposition sur la place du village en ruine où se trouvait Sasaki, un silence d'une valeur inestimable résonnait avec la paix intérieure retrouvée par l'ex-claymore qui suivait les mouvements de Ravage autant que ceux de Margareth. Elle était non loin de lui et l'observait depuis un coin obscur. Un sentiment d'inquiétude s'était fait sentir durant une courte période lorsqu'il eut annoncé qu'une tâche restait à accomplir. Mais qu'il confirme sa volonté de rendre la pareille rassura la paladin d'argent. De plus il avait vu les joues de cette dernière rougir légèrement lorsqu'il avait annoncé que son cœur pouvait être conquis à l'inverse de sa liberté. Intérieurement il ne comprenait pas ce qu'il se passait. Des émotions totalement nouvelles voyaient le jour, une nouvelle force s’emparait de tout son être tel une brise légère l’enveloppant avec une douceur infinie.

Le manteau de neige qui recouvrait le sol reflétait la lumière qui émanait de la lune donnant à la place une image plus proche du rêve que de la réalité. Pendant ce laps de temps sa claymore reposait sur le sol dissimulée sous une fine pellicule blanche et nulle envie de la brandir pour quelques raisons que ce soit n'effleurait son esprit. Sa seule envie était pour le moment de recouvrer les manifestes de commerce puis de comprendre les changements qui s'effectuaient dans son cœur si froid depuis tant d'années. Les bruits de pas de Margareth sortant de l'obscurité accentuait le rythme cardiaque de Kojiro au fur et à mesure qu'elle se rapprochait. Il entendit alors le casque de cette dernière rouler sur le sol tandis qu'elle rapprocha son visage du sien. Ce bref moment vit la respiration des deux intervenants s'accorder avant que ne vienne le baiser. Court et pourtant si agréable, il aurait volontiers adressé la parole à la paladin d'argent avant que celle-ci ne l'embrasse mais il garda le silence pour une raison qui lui échappait complètement. Elle eut alors un mouvement de recul et baissa son regard comme si un sentiment de culpabilité l'envahissait. Kojiro posa alors son katana à même le sol et sa main droite effleura ses lèvres avant de se porter sur son cœur qui battait à une allure infernale. Il ne trouvait pas les mots pour exprimer ce qu'il ressentait au fond de lui. Son regard parlait pour lui. Malgré tout il retrouva l'usage de la parole en dépit de grands efforts.


« Ce.. ce n'est rien. À vrai dire je ne sais dire pourquoi je n'ai pas réagit lorsque j'ai senti ta présence. C'est comme si mon corps tout entier refusait obstinément de se mouvoir. »

Intérieurement il espérait que Ravage n'aie pas pu percevoir les variations de son énergie. Qui trahissait ses émotions les plus profondes. Une autre voie que celle choisie par Sasaki s'ouvrait se jetant dans un océan encore inconnu. Lorsque le moment sera venu de lever le camps avec pour destination Egon il resterai aux côtés de Margareth mais pour l'heure de nombreuses tâches restaient encore à réaliser autant pour les Soldats d'Egon, Ravage ou lui-même. Si tout se passait pour le mieux dans un délai de trois jours ils pourraient tous lever le camps profitant d'un temps plus clément pour la descente. La fatigue des hommes et chevaux étaient à prendre en compte pour le chemin de retour. Si l'on tenait compte du chemin à parcourir, de la remise en état de quelques bâtiments pour les futurs mineurs ainsi que de sécuriser la mine de titane qui intéressait la dame d'Egon. Il y avait également ravage qui allait avoir besoin d'aide pour déplacer les sépultures destinées à conserver les lames de ses camarades. Avec un peu de chance il pourrait requérir l'aide des hommes de Margareth pour en transporter une partie sans épuiser les deux artisans qu'il avait mandaté pour la réalisation des tombes qui s'apparentaient plus à des chefs-d'oeuvre au vu du raffinement et des détails présents.

[Désolé pour le retard ainsi que la fin de ce texte qui me donne l'impression de l'avoir écrit entre deux travaux de dernière minute. Ce genre d'erreur ne se reproduira pas à l'avenir. Du moins je l'espère.]
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeLun 10 Mai - 16:25

Au petit matin, avant même que les premières lueurs de l’aube ne se levèrent, Wotan se réveillait et sauta de la tour jusqu’en bas. La hauteur fut bien de quatre-vingt mètres, mais pourtant il se réceptionna avec agilité sur le sol.

Les deux ouvriers avaient déjà commencé à monter le traineau ou la charrette qui servirait. Pendant que les deux jeunes gens déjeunaient, lui porta seul les tombes avec délicatesse. Un homme seul n’aurait pus porter une seule de ces plaque mortuaire sans l’aide d’un second porteur. La charrette pouvait transporter la moitié des plaques.
Grâce à des couvertures et à de la mousse ramassé en forêt, les plaques ne se choqueraient pas pendant le voyage ni les coffret en bois d’ailleurs. Lorsque les artisans eurent fini de manger, ils sanglèrent leur œuvres.

Romain: Sire, nous sommes prêt, mais ne pensez vous pas que l’on pourrait réclamer de l’aide pour tracter le véhicule, car je vois mal comment on va s’en sortir, étant donné que nous n’avons pas pris de bête.
Wotan : Moins on demandera d’aide, mieux je me porterais. Intérieurement les deux hommes eurent l’impression que Wotan aurait préféré mourir que de demander de l’aide à quelqu’un.
Wotan, tel un magicien sorti un harnais, se l’enfila et la fixa aux structures en bois. Mettez vous sur la remorque et faite bien attention au plaque, il ne faudrait pas qu’elle tombe.
Hugh: Je préfère tirer avec vous.
Wotan:Tu reste là haut ou je me fâche.


Là-dessus, il plissa le front sous l’effet de la concentration et de l’effort et tracta le lourd traineau. Il s’était mit torse nu afin de ne pas être bloquer dans ces mouvements. Certain aurait penser qu’il aurait eut froid mais l’effort était si intense que de grosses gouttes perlaient sur l’ensemble de son corps. Ces muscles saillants et musclés travaillaient sans relâche. Il se savait surveillé par Kojiro mais s’en moquait. Il continuait sans éprouver le besoin de connaître le sentiment de chacun. Cent mètres, deux cent mètres, cinq cent mètres. Il fallut s’arrêter car malgré la puissance dégagé, il fallait reprend son souffle afin de ne pas perdre de temps sur le long terme.
Après deux minutes de pause, il continua, sur plus de deux kilomètres, refit des pauses régulièrement, du moins le strict nécessaire puis repartait jusqu'à arriver à l’endroit ou reposait les lames de ces compagnons tombé au combat.

*C’en est bientôt fini mes amis, bientôt vous serez immortelle et le monde ne pourra plus vous ignorer.* Le visage de Wotan n’était plus impassible à présent, ces traits gagnèrent en dureté, à cause de la tristesse qui revenait à la charge après tant d’années. Le plus terrible est qu’il n’avait rien oublier et le passé lui revenait à la figure tel un mauvais film lui passant devant les yeux.
Les bois étaient alors calciner, la neige immaculé s’étaient teinte de sang, la désolation se faisait sentir de partout. Les claymores mâles frappaient, tuaient se blesser mouraient…ou se faisaient éveiller. A la fin il n’en restait plus personne.

Chaque épée fut ramassée puis rangé dans un des coffrets de bois, une boîte par épée. Une fois cela réalisé, leur signe fut gravé sur la boîte puis sous les visages de pierre se dressant sur les murs de pierres. De nombreux trous furent créés. Les squelettes des hommes étaient devenus poussière sauf quelques crânes. Ils furent rangés dans les boîtes après avoir été épousseté. Il faut dire que de la mousse était sorti des orbites ou que des araignées faisaient leur toiles dedans.
Le temps de revenir, il était déjà plus de onze heures. Mais Wotan continuait avec frénésie ne pouvant s’arrêter avant d’avoir fini sa tâche. Le second voyage se passa sans encombre. Exténué, (les transports faisait bien deux tonnes chacun). Il tomba de fatigue dans la neige comme si elle était alors un canapé n’attendant que ceci alors que les plaques n’étaient pas posées.

* De quoi te rends-tu coupable ? D’avoir survécu là ou les autres ont échoué? C’est stupide, s’ils sont morts c’est qu’ils ont voulut te protégé ou au que leurs destinés étaient de mourir sur le champs de bataille. Toi ton histoire n’est pas encore finie, relève toi pour toutes ces âmes qui t’ont accompagné.
Je ne peux pas, faisait une autre partie de sa conscience, la fatigue et le froid m’engourdisse les sens.
Vraiment, ce que tu peux être pataud.*


Lorsqu’il se réveilla, Wotan était dans la charrette entouré de couverture. Quand aux plaques, elles avaient toutes été posées. Les deux ouvriers se gardèrent bien de dire si une aide leur étaient venu ou si ils avaient fait le travail seul. Il devait être au environ de quatre heure.
Mais un détail n’échappa point aux yeux de l’ancien claymore, une épée similaire à la sienne tout en pierre avait également été dressé entre temps. Elle faisait bien six mètres de long pour deux mètres de large. Dessus était noté en lettres française : « En l’honneur des défenseurs des humains, mort ou vivant ».

Pour la première depuis des siècles, Wotan laissa couler ces larmes. Son cœur meurtri, fut un peu apaisé et son visage si dur presque taillé à la serpe perdit de sa rigidité. Mais il fallait garder les apparences.
Wotan - Saleté de soleil. Il s’essuya les yeux avec un fin mouchoir de soie et ramena les deux ouvriers aux campements.

Il allait pouvoir leur apprendre à se défendre aux noms de leurs familles. Et qui s’est peut être deviendrait il des héros par la suite.
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeLun 17 Mai - 19:53

Margareth observa Kojiro, elle était perdue dans ces propres sentiments. La palatine d'argent reconnu le sentiment qui l'avait envahit. Elle aimait ce guerrier, ce sorcier aux yeux d'agents, mais elle ne le connaissait pas vraiment. Et elle avait déjà un liée à quelqu'un d'autre… Elle devait fidélité à la Dame d'Egon. Elle avait reculée, par doute, plus que tout elle ne lui avait pas demandé la permission. Elle lui avait volé un baisé, rein que d'y pensé, elle avait envie de rire, mais elle ne fit rien. Mais elle voyant son regard, ses yeux d'argents étaient illuminé par une flamme quelle reconnue, car elle brillait aussi dans ses propres yeux. Elle vit les lèvres de Sasaki Kojiro bougeait, elle entendit ses paroles après :

« Ce.. ce n'est rien. À vrai dire je ne sais dire pourquoi je n'ai pas réagit lorsque j'ai senti ta présence. C'est comme si mon corps tout entier refusait obstinément de se mouvoir. »

Elle ne sut quoi lui répondre, puis elle réfléchit rapidement, à la suite des événements. Une réponse se forma dans sa tête. Elle lui dit :

"Vous pouvez dormir avec mes hommes cette nuit. Demain matin, vous pourrez me retrouver au Nord-Est de cette ville, à l'entrée principal de la mine. J'irais seul, mais je pense que j'apprécierais votre aide…"

Elle le regarda quelques instant, elle ramassa son casque. Si elle était à Egon, que cela ne tiendrait qu'à elle, Margareth l'aurais invité dans son lit. Mais là dans cette contrée isolé, avec des hommes à sa charge, sans autre garantie que la bonne volonté de ce guerrier. Non, une histoire d'amour avec lui n'était pas encore envisageable. Elle replaça son casque sur sa tête, et lui dit :

"D'après mes sources un éveillé, ou une éveillé sommeille au fond de cette mine. Et un nombre important de Yoma…"

Elle se retourna pour repartir dans la ruine où elle et ses hommes avaient monté le camp. Elle arriva salua l'homme qui était de garde à l'entrée principale de l'ancienne auberge. Elle se dirigea vers ses couvertures. Et après s'y être enroulé dedans, s'endormit lentement un secret la hanta plusieurs minutes. Quelque chose que la révélation à Kojiro, de la présence d'un éveillé au fond de cette mine. La Dame d'Egon ne voulait pas le titane, encore que ce ne serait pas négligeable, non elle voulait l'éveillé. Et elle lui avait confié, une arme pour tuez l'éveillé, mais avec un peu de chance Kojiro suffirait pour tuez l'éveillé. Enfin elle le souhaité, car elle avait peur d'utilité…

L'aurore sortit la palatine d'argent de son sommeil légers. Elle manga un morceau d'une de ses rations de survies. Puis partit directement vers l'entrée de la mine de titane. Elle tua deux yoma sur ce chemin, sans s'arrêtait. Elle avait dépassé le niveau ou de simple Yoma pouvait la gêné. Ils ne la gêne que s'ils étaient plus que dix. Et encore s'ils étaient bien unis et travail bien en équipe. En plus son armure la protégé des attaques de ces démons. Elle regarda l'entrée, un vieux corps de garde écroulé semblait toujours monter la garde devant ce vestige de l'exploitation de la source de richesse de l'île. Elle dépassa le corps de garde, pour arriver devant l’entrée proprement dit de la mine, un grand gouffre sombre, soutenue par plusieurs colone de marbre noir, une fresque maintenant disparue devait orné le fronton en marbre de cette arche monumantale. Un telle luxe de décort et de matériau pour une mine avait de quoi suprendre. Mais en réfléchissant à la richesse du matériaux qui était exploité ici, ce luxe n’était qu’un simple relfet de l’argent que cette mine de titane fournissait à la région.

Margareth s’avança devant une des deux colones, la taille de la collone la surprit, plus de 4 métres de large, et la hauteur au moins 20 métres. Elle savait que pourtant les galeries de la mines ne seront pas aussi grande plus en avant dans la montagne. Elles seront même très petit pour certaine. Elle s’adossa à la colone de gauche, et attendit Kojiro…



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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeMar 18 Mai - 20:56

Il tenta en vain d'expliquer les changements qui s'étaient produits. Son esprit de déduction était dans un état de confusion dont l'ampleur se trouvait être égale à ce qu'il éprouvait en ce moment, un vide qui venait d'être en partie comblé par un désir longtemps enfoui sous une masse de secrets et douleurs dont il était le gardien, du moins jusqu'à ce que son heure arrive. Cette blessure qui résidait au plus profond de son âme le consumait un plus à chaque journée qui se terminait avec à chaque fois les mêmes questions qui le tourmentait sans lui laisser le moindre répit. Il suivi du regard Margareth lorsqu'elle récupéra son casque avant de se retirer. Il senti un pointe de regret naître en lui, il aurait volontiers passé la nuit avec celle qui venait de ramener à la vie son cœur, si froid. Au delà des désires charnels imputés à la plupart des hommes il voulait en apprendre plus, un soif de connaissances qui lui permettrait d'élucider ce mystère et peut-être concevoir le bonheur sous un angle tout autre qu'un duel à mort. Il s'empressa de dissimuler tant bien que mal ses pensées de peur d'être mis à nu suite à toutes ces réflexions. Lorsque la paladin d'argent fut hors de vue il pris son katana, sorti la lame du fourreau et il planta ses yeux dans le plat de la lame. La lune s'y reflétait tout comme ses yeux argentés pour l'occasion donnant l'impression que trois lunes trônaient dans le ciel. L'instant d'après seul cette dernière était visible tandis que ses iris reprenaient leurs couleur d'origine à son plus grand soulagement.

Il rangea son katana dans son étui, récupéra sa claymore puis pris la direction des baraquements réservés aux soldats. Il n'éprouvait pas vraiment le besoin de se reposer, l'appel de ce ciel en passe de dévoiler son drap étoilé attirait bien plus l'ex-assassin. Le froid et le silence entouraient Kojiro qui fini par trouver son poste d'observation. La place ayant vu l'ensemble des toitures environnates réduites à néant tantôt par les intempéries, tantôt par les démons peu soucieux d'emprunter les portes comme la plupart des gens le faisaient. Mais à quoi bon se prendre la tête dans une région aussi isolée que les sommets de Paburo. Il s'était allongé sur un pan de toiture soutenu par de lourdes poutres incorporées au bâtiment même avant de contempler le spectacle qui s'offrait à lui. Selon Margareth la mine était loin d'être sécurisée comme il l'avait supposé après une analyse rapide des énergies de la zone. Elle lui avait donné confirmation de ses hypothèses ajoutant même la présence d'un ou d'une possible éveillé(e) rôdant dans les environs. Se dissimuler parmi un grand nombre d'être faible s'avérait remarquable pour un fugitif voulant se faire oublier ne serait-ce que l'espace d'un instant avant de reprendre ses méfaits avec plus d'ardeur. Restait Ravage qui en avait terminé avec sa besogne. Ce dernier était enfin libre comme si les chaînes qui le retenait avaient été brisées en une seconde. Un fin sourire s'étira sur le visage de l'ex-claymore qui pouvait comprendre avec aisance ce qu'éprouvait Ravage en cet instant. Pendant ce temps une infime partie du ciel offrait une ambiance féerique à la scène en cours contrastant avec le chaos des habitations en ruine. Un ciel étoilé entrecoupé par les nuages grisâtres similaires aux griffes d'un fauve ayant déchiqueté sa proie. Doucement le calme environnent l'engloba totalement le plongeant dans les limbes de l'inconscience.

À son réveil le soleil émergeait entre les pics acérés de Paburo, illuminant les versants dans l'obscurité et plongeant les autres dans l'ombre. Par chance ce repos, aussi bref soit-il, ne fut pas perturber par des démons de seconde zone avide de chair fraîche. Il se redressa avec peine, le dos complètement endolorit en raison du manque de confort qu'offrait le support sur lequel il s'était assoupi. Margareth l'attendait à l'entrée de la mine située, selon les indications de cette dernière, au nord-est des ruines du village abandonné. Pour ne pas réveiller les soldats qui se reposaient encore il s'écarta un peu des baraquements temporaires pour atterrir avec souplesse sur le manteau neigeux après avoir récupéré les documents susceptible de le mener à sa prochaine destination une fois ses obligations envers la dame d'Egon terminés. Errant quelques minutes dans les ruelles désertes il atteignit la sortie nord et rejoignit la paladin d'argent. Il 'aperçu adossée à l'une des colonnes ornant l'entrée et dont la taille était non négligeable. Sasaki se serait volontiers montré plus chaleureux mais son regard fuyait celui de Margareth comme par crainte de croiser celui de cette dernière et de rougir. Il tentait encore de sauver les apparences, se contrôler, ne jamais laisser paraître la moindre émotion. Tant d'enseignements qu'il ne parvenait pas ou plus à contrôler face à une jeune femme aussi belle d'autant plus que son coeur cédait peu à peu face à tant de beauté. Il s'inclina afin de la saluer puis jeta un bref coup d'œil à la mine en question. Les coins d'ombres ne poserai pas le moindre problème, de plus l'emploi de torches pourrait provoquer la combustion de gaz les enfermant dans ces couloirs pour pas mal de temps.


« Désolé pour l'attente, j'aurai dû être présent plus tôt mais le sommeil m'a pris de court. Attendons-nous encore quelqu'un? Dans le cas contraire mieux vaut se mettre en route car d'après les informations que tu possèdes le nettoyage prendra un peu plus de temps que prévu. »

Alors qu'il lui parlait le sentiment d'être observé se fit sentir. Au fond des ténèbres une créature massive attendait impatiemment la venue de ses invités. Son empressement était tel qu'il amorça une première frappe qui frôla de peu le visage de Kojiro qui demeura impassible. Il n'avait pas pris la peine d'esquiver complètement l'assaut ce qui laissa une fine coupure sur son visage d'où s'échappait un fin filet de sang. Le combat contre l'éveillé ne se passerai certainement pas dans les couloirs mais bien une sorte de caverne où se trouvait le métal qui fit la fortune de la ville fantôme. En temps normal parcourir ces galleries seul ne lui aurait posé aucun problème mais cette fois il ne pouvait ignorer la jeune femme qui faisait battre son coeur. Il sera là pour elle en cas de besoin craignant de perdre cette présence apaisante et par la même occasion le contrôle de ses pouvoirs.

« Laisse-moi deviner... ce que désire ta capitaine c'est cette créature mais j'ignore encore pourquoi. Enfin soit, la galanterie m'impose de te laisser passer la première mais pour cette fois je souhaiterai prendre la tête. »
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeVen 21 Mai - 16:50

Wotan avait besoin de satisfaire sa curiosité. Harnaché en tenue guerrière après s’être lavé avec de la neige fondu et du savon acheté préalablement. Il parti seul à la recherche du fameux dolmen. Celui-ci était monumental, on aurait dit que des géants avaient placé ces pierres ainsi. Tout autour un cercle de pierre avait été érigé, tel des mini menhirs entourant la grande pseudo tombe. La fin de l’après midi arrivait laissant déjà apparaître la lune. Dés ces premiers rayons. une flèche de lumière transperça le dolmen central, au milieu exacte de la pierre plate et horizontal. Sous cette aspect, on voyait de vielles tâche de sangs retrouvé leur éclats, et entre les quatre pieds se dessinait à présent une croix lumineuse aux teintes bleuté.
Wotan s’arma d’une pelle et creuse l’endroit désigné, un petit coffre en bois apparaissait et lorsque notre homme voulu s’en saisir, une trappe s’ouvrit sous lui et il chuta sur plusieurs mètres.


Rien de cassé, juste quelques bleus se dit ils. Le hic c’est qu’il fait noir. Une torche fut allumée, et des cendres crépitèrent après que le silex créa la petite étincelle désirée.

Quelques minutes plus tard il arrivait devant un couloir au forme totalement anarchique et inévitablement, il se cogna à la paroi situé au dessus de sa tête. C’était peu important si ce n’es que pendant ce moment la torche tomba, mais ne s’éteignit pas. A vrai dire une énorme liane disparaissait au fond du couloir et le feu gourmant fusa tel un serpent sur l’ensemble du curieux végétal.
Au bout d’un moment, un hurlement de rage et de haine retentissait dans le couloir : long, puissant, provoquant le défis.
Par soucis de sécurité Wotan ralluma une torche et suivit le feu dévastateur puis vint à la rencontre de ce bruit désagréable, le petit coffret de bois sous le bras.


Wotan - "Ha, heu mince un éveillé. Bon ben tant pis. Salut à toi. Je me suis perdu sur le chemin, tu peux m’indiquer l’endroit?"

Eveillé - "Voyez-vous ça, Alice est retombée dans le trou de l’arbre. Voilà la sortie, tu apprendras que ce monde est moins merveilleux qu’il y parait. Sur ce, les étranges lianes se rétractèrent et claquèrent sur le sol tel des fouets mais en bien plus solide et perforants.
Wotan-"Vous êtes bien aimable monsieur "dit il en se fendant d’un sourire ironique, tout en esquivant l’attaque. Après cela, il aperçut la silhouette puis plus nettement l’apparence de Kojiro.
Tout en faisant attention à l’ennemi, il réalisa une série de geste précis, et presque discret. Il s’agissait de l’ancienne langue des signes. Personne ne la connaissait si ce n’est ceux de la première génération.
Un initié pouvait fort bien parler de l’anniversaire de son meilleur ami pendant des heures, et expliqué par signes les caractéristiques d’un ennemi.
Ce savoir avait été abandonné par la suite car jugé inutile pour le combat direct, frontal et rapide.


Si Kojiro les voyaient alors il agirait en conséquence et serait un parfait bînome. En claire le message à répétition de Wotan disait ceci, il le répéta à trois reprises puis posa sa torche dans le l’applique et le coffret un peu plus loin.

*Attends le bon moment, j’attire son attention. Je vais tenter de le mettre hors de lui afin de le pousser à faire des fautes.*

Alors il s’élança claymore à la main, cependant au dernier moment, plutôt que de tenter une attaque direct sur le monstre, il frappa d’une claque puis de son revers la joue bien cuisante de l’éveillé. Puis battit légèrement en retraire, cependant une des lianes le propulsa contre un mur puis le lança loin dans la salle presque négligemment.

*Héhé, sa à l’air de marcher. *

Wotan recommença l’opération juste sur la joue encore blanche de l’éveillé. Les joues en feu, celui-ci ne regardait à présent plus que l’objet de sa rage.
Se faire claqué une fois est humiliant mais quatre fois, c’est trop celui-ci risquait de mourir le premier.
Déjà, Wotan apercevait des failles dans la garde du démon, mais était-ce une ruse, ou était il vraiment hors de lui. Une chose était sur, il donnait vraiment l’impression d’être énervé.
Puis il aperçut une chose curieuse, des plaques brillantes sur le torse de la bête.
Cet adversaire s’était fait poser des plaques de métal sur le torse. En avait il dans le dos ? en tout cas elle n’avait pas l’air soudé ou du moins de façon très grossière. Le combat risquait de se corser.


[hrp: parole de Wotan en rouge, Pnj en orange, Pensé et langage de signes en bleu]
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeVen 28 Mai - 9:35

Margareth aperçu enfin la silhouette de celui qui fessait battre son cœur plus vite. Elle fut surprit par son comportement. Elle le laissa s'incliner devant elle pour la saluer. La palatine d'argent répondit de la même manière. Elle chercha une raison à la froideur de ce salut de la part de Sasaki. Il parla enfin, après avoir regardé l'entrée de la mine pendant un petit moment :

« Désolé pour l'attente, j'aurai dû être présent plus tôt dans la matinée mais le sommeil m'a pris de court. Attendons-nous encore quelqu'un? Dans le cas contraire mieux vaut se mettre en route car d'après les informations que tu possèdes le nettoyage prendra un peu plus de temps que prévu. »

Margareth se demanda si l'homme en face d'elle était déçu qu'elle ne l'ait pas invité dans son lit hier soir. Elle soupira à cette pensée, mais quand elle remarqua qu'il fuyait son regard, elle comprit qu'il était juste gêné et essayer de rester de marbre face à elle. Elle se demanda l'aimait-il, ou ne la désirait-il seulement ? Elle n'eu pas le temps pour chercher à répondre à ces questions. L'éveillé présent dans la mine attaqua, il semblait que son corps soit très rapide. Il fit couler le sang de Kojiro. Margareth, recula précipitamment, un appendice mi-végétal, mi-minérale ripa sur son armure, ne lui causant aucun dégât. Margareth sortit lentement le long sabre qu'elle portait dans le dos. Elle le fit glissait devant elle, puis le sortit de son fourreau et éjectant celui-ci au pied du corps de garde en ruine. Le sabre avoisinant les deux mètres était une arme impressionnante, mais surtout mortelle et précise, pour qui a la force de la manier et le savoir. Margareth para deux autres lianes du l'éveillé avec son long sabre. Quand Sasaki commenta la situation :

« Laisse-moi deviner... ce que désire ta capitaine c'est cette créature mais j'ignore encore pourquoi. Enfin soit, la galanterie m'impose de te laisser passer la première mais pour cette fois je souhaiterai prendre la tête. »

Elle en fut surprit, il avait vu juste, même si elle n'apprécia pas qu'il veut diriger l'attaque. Mais elle soupira, elle ne lui répondit :


"Je te couvre, et j'aimerais qu'elle soit juste affaiblit pour l'instant."

Margareth sentit des auras de Yoma sortir de la mine et d'autre des bois, ils se dirigeaient tous vers eux. Aucun ne semblait s'arrêter pour attaquer ses hommes. Elle sourcilla, mais en était rassuré. Ils ne succomberont pas sous leur nombre et elle leur avait donnés des ordres claires défendre leur position et ne pas y bougé avant son retour ou de l'arrivait de la relève. Le combat pour elle et Kojiro risquerait d'être plus difficile. Elle allait de nouveau subir une attaque de l'éveillé. Quand sire Ravage apparue derrière celui-ci. Il fit plusieurs signe à Kojiro qu'elle ne comprit pas, certain lui rappelait ceux qu'elle avait apprit à l'armée, mais ça ne formé par des phrases concrètes. Par contre en le voyant baffait l'éveillé deux fois, elle comprit qu'il sera l'appât qui énervera l'éveillé pour le forçait à commettre des erreurs.

Elle mit les quelques minutes à analyser la bête, des plaques de titane était greffé sur le corps du monstre et certaines lianes étaient saturées de poussière du minerai de ce métal. Seul Margareth n'aurais jamais put battre l'éveillé ainsi cuirassé, surtout avec sa cour de Yoma. Par ailleurs Margareth, du en tuer un qui venait de l'attaquer. Elle se campât derrière Kojiro au niveau du corps de garde passage obligé pour les yomas. Elle lança :


"Je m'occupe de nos hôtes, messieurs. Vous laissant la maîtresse des lieux."

Elle sourit et abatis un deuxième Yoma, qui lui avait lançais son bars transformé en lance de chaire croyant pouvoir traversé son armure en titane. Elle regarda trois autres Yoma arrivait suivit par deux groupes d'une dixième de démon. La bataille sera rude, mais étrangement les démons n'arrivaient pas aussi vite qu'elle l'aurait pensé, et surtout en ordre dispersait. Il semblait fuirent quelque chose. Margareth imagina bien c'était quoi, elle pouvait sentir le Yoki de la chose, qui disparaissait pour réapparaitre soudain et redisparaitre aussitôt avec une fréquence constante, peut-être légèrement de plus en plus lente. Maragreth abattit un des trois Yoma qui venait, puis évitait les attaques des deux autres. Soudain, elle se jeta à terre un des Yoma fut traversait de part en part par une des lianes de l'éveillée. En se relevant, elle profita se son mouvement pour tuez le Yoma qui se jetait sur elle.

Elle se retrouva projetait sur une des colonnades, au milieu de l'affrontement contre l'éveillé. Elle ne se releva pour apercevoir trois lianes en titanes se dirigeait vers elle. Elle n'évita le choc qu'en roulant au sol. Les trois projectiles se retrouvèrent plantés dans le sol, sur une bonne profondeur. Margareth se jeta prés de Kojiro. Attendant une ouverture pour regagner son poste ou attaquer l'éveillé. Elle observa aussi l'éveillée pour remarquer les blessures que Kojiro et Wotan lui avait infligé. Les Yoma était à quelques secondes du corps de garde.


Dernière édition par Lenneä le Mer 23 Juin - 19:07, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeVen 28 Mai - 18:37

Sasaki ne savait plus que faire, certes il était perdu mais à ce point ce ne fut jamais le cas. Ignorant comment exprimer ses sentiments vis-à-vis de Margareth il laissait le travail prendre le dessus sur ses émotions. À cet instant précis Kojiro se détestait comme jamais, un dégout de lui-même qui lui donnait la nausée. Il voudrait tant pouvoir répondre aux doutes de la paladin d'argent par un tendre baiser mais n'eut le cran de le faire de peur de se noyer dans cet océan méconnu jusqu'à présent. Dans le passé il se limitait à aider les autres délaissant sa personne, sa seule récompense étant le soulagement des familles. La solitude avait scellé une grande partie de son être mais les évènements de la nuit précédente en avait brisé une grande partie en un instant ce qui expliquait en partie son comportement. La jeune femme, en la présence de Margareth dont la place dans le cœur du guerrier gagnait en ampleur au plus il passait de temps avec, avait été le déclic. Le bonheur, la joie et surtout pouvoir le partager avec un être cher.
Mais le temps n'était plus aux réflexions en tout genre ou encore à discuter. Une lutte les opposants à une éveillée ainsi qu'une horde de démons se déroulait en ce moment même. Ravage avait attiré l'attention du monstre dans le but de crée une ouverture, un succès mais serai t'il à même de tenir face à la colère de cette créature. Pendant ce laps de temps la jeune guerrière se trouvait déjà dans le feu de l'action, épée au clair. Kojiro ferma les yeux et affichât un sourire amère avant de se lancer à l'assaut de cette chose. Au lieu de courir vers la cible comme la plupart des guerriers le ferait, lui marchait main gauche au niveau de la garde de son katana tel un enfant avec un jouet dans les mains. Des galeries adjacentes arrivait des démons, chance pour nos trois comparses la taille dans les tunnels n'autorisait pas des légions à passer d'un bloc. De sa gauche une vaine tentative visant Sasaki se soldat par un échec sans nom. Alors qu'ils tentèrent le frapper il ne touchèrent que le mur d'où s'échappa une liane qui les démembrât. Kojiro se déplaçait tel une ombre, puis accéléra le pas arrivé à une dizaine de mètres, la vitesse acquise fut suffisante que pour amorcer une frappe avec la claymore directement sur les plaques de titanes. À son plus grand regret la claymore n'arriva pas à passer outre, cependant un cri de douleur se fit entendre. L'armure de fortune de la maitresse des lieux l'avait protégé mais en contre partie chaque déformation faite par les coups d'épée rendait ses mouvements plus compliqué. L'ex-claymore ne s'arrêta pas en si bon chemin et martela sans relâche la protection au niveau de l'échine de l'éveille. Son regard s'attarda alors sur les parties non protégées. Certes la claymore ne pourrai pas être enfoncée assez profondément mais son autre sabre quant à lui pourrait atteindre les terminaisons nerveuses. Profitant d'un bref moment de répit il se plaça près de la tête de l'éveillé, puis plaça sa claymore sous la gorge de ce dernier comme pour le provoquer, Il s'adressa alors à ses compagnons d'une voix forte.


« Ravage, Maragareth, il faut se concentrer sur les soudures, une fois l'armure tombée il sera possible d'attaquer les points clef, tendons, muscles, ligaments. Une fois ces éléments de son anatomie détruits neutraliser la source de son énergie sera un jeu d'enf... »

Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase qu'un des membres de l'éveillé vint le frapper de front. D'un geste rapide il fit passe sa claymore dans sa main gauche, pointe dirigée vers le sol, et de l'autre se saisi de cette lance. Il ne put l'arrêter directement et du attendre d'avoir à nouveau un contact avec le sol. Le corps légèrement incliné vers l'avant il fit de son mieux pour contrer la frappe mais la dévia à la place sur quelques démons. Il se retrouva alors dos-à-dos avec Margareth ce qui accéléra son rythme cardiaque. Un des démons fonça alors sur eux mais termina avec la claymore de Sasaki plantée dans le cœur le tuant sur le coup. Son corps avait réagit d'instinct comme pour la protégé d'une menace qui en soit n'en n'était pas une pour la paladin d'argent. Il se sentait un peu honteux d'avoir agit de la sorte mais n'avait rien pu faire contre cela. Il parla alors à voix basse pour que seul la jeune femme puisse l'entendre.

« Désolé de ne pouvoir te promettre plus pour le moment qu'une épée de plus dans cette lutte. Puisse-tu me donner l'occasion d'être plus qu'un compagnon d'arme à l'avenir. »

Des mots semblable au cri d'un cœur auparavant à l'agonie, des gestes avec pour but de défendre, une envie de demeurer auprès de la jeune femme. Mais malgré cela il agissait encore en total contradiction par rapport à cela. Les enseignements issus de sa jeunesse ainsi que la formation suivie auprès de l'organisation n'avait pas arrangé son caractère. Sasaki demeurait froid et distant avec une comme particularité de ne ne rien laisser paraître si ce n'est sa souffrance qui se traduisait par un attachement particulier pour les décors et panoramas où l'absence de vie et le froid dominaient. Cependant, et dans cette obscurité totale, une lueur d'espoir venait de voir le jour. Chaleureuse et rassurante tout comme les bras d'une mère apaisant les souffrances d'un enfant. À son grand mécontentement un démon surgit du sol visant la gorge de l'assassin. D'un geste vif il saisi le crâne pour envoyer la créature dans les airs. Elle percuta le plafond puis retomba lourdement dans un bruit sourd. Sa claymore fini le travail sectionnant la colonne vertébrale au niveau du coup laissant le yoma dans un état de faiblesse tel que même le plus faible être vivant puisse l'achever sans peine. Au delà de la mort la honte et le déshonneur étaient les pires choses pouvant arriver après la perte d'un être chère.
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeDim 6 Juin - 22:48

[désolé pour le retard, j'essaierais d'éviter ce genre d'imprévu à l'avance]

Ça faisait mal à Wotan, mais une solution germait dans son esprit. Il ne l’appréciait pas trop car sa allait encore détruire une joli cape mais bon. Les lianes le harcelait constamment aussi devait il esquiver sans cesse sans pouvoir mettre à exécution le plan. Finalement trois petits yomas passèrent au mauvais endroit au mauvais moment et furent embroché. C’était suffisant comme temps et Wotan enleva sa cape.
Il laissa les lianes la lacérée puis envoya une à Kojiro et une à Maragareth.
Il prit alors la torche et commença à allumer les chandelles. La tâche était périlleuse, car une esquive trop rapide éteindrait le feu. Pas d’esquive le condamnait à de nombreux coups pouvant être fatal.
Il avait peu de torches improvisées. En fait il y avait cinq bouts de tissus formant des luminaires en plus de la torche. C’était mieux que rien. Cependant il se fit épinglé contre le mur par une branche l’ayant prit en traître.
Quand l’éveillé se rendit compte qu’il avait contracté ces muscles, elle hurla de haine car elle était dans l’impossibilité de mouvoir cette branche. Frustré, elle le perfora avec deux autres de ces bras au niveau de la
hanche, et au niveau de la cuisse.
-"Mauditttttttttttttttttttt." Le résultat ne se fit pas attendre, l’homme esquissa une moue comme si un insecte l’avait piqué mais ne hurla pas. Cependant la douleur était grande.
Pendant qu’elle criait, Wotan en profita pour bruler la liane. Celle-ci eut un crépitement puis fut dévoré par les flammes.
Wotan retomba sur le sol, haletant légèrement, puis sous une contraction, de grandes veines apparurent sur son visage.
Résister à l’envie de meurtre, je dois … Résister. Pendant ce temps, ces muscles guérissaient, chaque parti de son corps se refermait


Il parvint avec peine à retrouver son calme prit son épée et marcha lentement vers la cible. Dans l’autre main, il avait une chandelle, chaque matière organique qu’il croisait disparaissait calciné, en fumée.

Sur quatre vingt dix degrés, la chose brulait en dessous de son armure en métal, elle tentait désespérément d’éteindre les plaques rouges. Elle paniquait à vrai dire et c’était la chance du trio.
La bête eut un instinct de survit et s’arrachait les lianes qu’elle mourrait.

Tout seul, Wotan aurait eut du mal mais si ces compagnons avait comprit l’astuce, il s’en sortirait plus facilement. Mais le monstre était perfide et enchaina bras et jambes afin de l’écarteler. Cette fois ci Wotan ne pouvait plus faire grand-chose d’autre à part faire confiance aux deux autres et il n’avait presque plus de prise. Sa main n’avait quitté l’épée mais elle était inutile dans cette situation.
A présent, malgré le fait de contracter ces muscles il hurlait de douleurs. Après une estimation rapide il ne devait rester que quatre voir cinq lianes en dehors de celle qui le torturait. Déjà ces muscles s’allongeaient, forcés par la grande puissance.
Avec un peu de chance, son calvaire ne devrait pas durer trop longtemps.

*Aller, c’est le moment de voir si Maragareth est une vraie soldate ou juste bon à parader. C’est dans ces moments là qu’on voit le vrai courage. Quand à Kojiro, on verra au moins une partie de sa force car on ne voie généralement rien sur de simple yomas.*
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeDim 25 Juil - 12:12

L’obscurité naissante dans le tunnel, le silence tantôt brisé par le bruit de pas des intervenants, une température à vous geler votre être en quelques heures, et par-dessus tout une absence de vie qui pouvait plaire aux solitaires endurcis. L’ensemble donnait à l’endroit une ambiance macabre idéale pour les évènements à venir. Les murs avaient déjà subit un grand nombre de coup les affaiblissants légèrement, rien de bien menaçant pour l’instant mais s’ils continuaient à ce rythme les probabilités que le tout vienne à s’effondrer serai de 100%. Un vent lugubre vint faire siffler les oreilles de tous les intervenants. Même les démons, encore à l’extérieur, furent atteints tandis que l’assassin ferma les yeux un instant pour libérer le démon en lui. L’aura meurtrière qui se répandit n’était qu’un prélude aux chaos qui allait suivre. Ses iris viraient sur une teinte tout autre: un regard doré passementé de quelques lueurs rougeâtres. Dans le même temps son énergie, quasi inexistante, venait de faire un bond phénoménal. Le véritable visage de Sasaki était enfin visible, celui d’un guerrier formé pour prendre des vies.

Avec un calme et une froideur sans pareille il dégaina sa seconde lame qui laissa s’échapper une odeur âcre. Son katana, bien qu’en apparence basique, se trouvait être couvert sur l’ensemble de la lame d’une toxine ayant pour particularité de rendre le passage de l’énergie et des influx nerveux impossible. Si les coups portés par cette arme touchaient les points clefs du corps l’opposant devenait alors, dans un laps de temps relativement court, incapable de se mouvoir. Pendant ce temps Ravage était dans une situation peu avantageuse, il avait réussi à neutraliser la plupart des lianes les consumant avec une torche. La chaleur dégagée fut brève les épargnants d’une explosion général des niveaux inférieurs. L’ex-membre de l’organisation se mit alors en position d’attaque, il ne tenait plus compte de rien. Son objectif était on ne peut plus clair: neutraliser cette créature, la rendre aussi faible qu’un insecte pour ensuite fauché une bonne fois pour toute l’existence même de ce monstre. En cet instant Margareth n’existait plus tout comme le reste à vrai dire. Il laissa la jeune femme se débrouiller par elle-même contre cette horde affamée.


* Procédure d'assassinat, phase numéro deux en cours...*

Ses mouvements n’avaient plus rien à voir par rapport à ceux des minutes précédentes. Depuis la levée des sceaux ils étaient plus fluides, plus rapide et une force accrue permettait au combattant de faire face à son adversaire dans des conditions optimales. Une fraction de seconde lui suffit pour sectionner, à l’aide de sa claymore, les lianes qui menaçaient la vie de son frère d’arme puis il se tourna pour faire face à l’éveillée qui demeura incrédule. Sans doute pensait-elle avoir le dessus alors qu’elle tenait Ravage en otage mais c’était avant que les trois guerriers se mettent à combattre sérieusement. Des cinq lianes restantes deux fusèrent vers le déserteur qui plaça sa claymore sur la trajectoire des projectiles. Son bras ne trembla point arrivant même à induire une direction autre à ce qui était sensé le percer de part en part. Il s’adressa alors l’ex-otage lui parlant sans détour.

« Ton nom. Je voudrai connaître ton nom ainsi que le rang que tu occupais et ne tente pas de revenir à la charge avec ‘Ravage’. Je ne tolérerai point de mensonge. »

Dans l’attente d’une réponse clair de son interlocuteur il se mit à avancer vers l’éveillée ses mains ne tenant qu’avec plus de vigueur ses deux épées. Le monstre, un peu à court d’idée voulu frapper l’assassin au visage. Malgré que cette dernière ait été lancée avec une force peu commune seul un bruit sourd se fit entendre. S’en suivit un rire sans joie, la frappe fut arrêtée net et les protections en titanes située au niveau du poing venaient de céder. Un liquide visqueux s’échappa de la plaie pour ensuite recouvrir le sol. Il observa de bas en haut la chose pour ensuite se dérober au regard de cette dernière et asséner le premier des cinq coups requis pour soumettre une bonne fois pour toute l’éveillée. Un cri perçant se fit entendre alors que le combattant venait de percer le genou droit de la créature. Il prit un malin plaisir pour faire pénétrer et ensuite extirper son sabre sectionnant dans le même temps les ligaments. Si les tissus avaient absorbés assez de poison l’effet qui devait en résulter serai immédiat.

Hrpg: je présente mes excuses au staff pour ne pas respecter l'ordre des post cependant suite à la longue absence de Lennea nous continuerons à deux le temps qu'elle revienne.
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Wotan

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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeVen 30 Juil - 19:37

[hors rpg: parole de Wotan en rouge, pensées en bleu, désolé pour le petit retard]

La fin du combat était un vaste carnage. Wotan libéré de ces liens grimpa avec aisance sauta, contracta ces muscles et dans un salto avant percuta la cible. Le cou fut tranché net et la tête roula sur le sol. Les yeux écarquillé et stupéfait de la puissance du coup

Wotan retrouva son aspect humain regarda son compagnon d’arme et repensa à sa question.

-"Je ne mens pas lorsque je dis que Sire Ravage est mon nom, même si c’en est un d’emprunt. D’habitude je ne réponds pas aux ordres. Je ne suis plus un claymore cependant, tu m’as libéré des lianes et a combattu à mes côtés, la moindre des choses est donc de te donner satisfaction. Je me nomme Wotan, ex claymore portant le numéro treize.
J’aimerais connaître le tiens également ainsi que ton matricule.
Il alla chercher le petit coffre de bois, le mit sous le bras. Il rangea tout ces lames, après les avoir soigneusement nettoyé. Après avoir entendu la réponse de son interlocuteur il sorti n’aimant pas les menaces. Il n’était sous aucune hierarchie, pourquoi se devrait il de répondre en subordonné à ce type. Aussi puissant soit il soit dit en passant.
En duel, il n’aurait aucune chance contre Kojiro, ça il en était certain. Mais une chose était certaine à présent que les deux autres connaissait sa vrai identité il se devait de disparaître afin que nul ne le retrouve à nouveau. Peut être devrait il changer également d’identité. Il appartenait aux légendes du passé, et se devait de rester parmi eux. On ne causait que peu de problème à un mort. Il faudrait donc qu’il simule sa propre mort sous peu.
Il lui faudrait un cadavre fraîchement tué par un yoma ou un éveillé, tout un attirail pour de la chirurgie esthétique et l’affaire devrait être réglé.

Marchant dans la neige, il avança tranquillement et reparti comme il était venu, dans la tempête en direction du village.

-"Prêt à partir les enfants? "
Wotan se changea, après s’être nettoyer. Il alla vérifié les chevaux des humains, regarda leur harnachement, fit sécher les couvertures humide qui n’avait pas retourné auprès d’un feu. Leurs dents n’avaient pas l’air d’aller trop mal. Mais il fallut faire des bandes pour protéger les tendons des animaux.
Il n’y avait qu’un seul animal qui lui faisait du soucis, la pouliche qui allait mettre à bas était dans un sale état. Si on ne se dépêchait pas, la monture et le poulain allait mourir.

*Hey zut, il va me falloir faire des manipulations si je veux réussir à sauver au moins la mère.*
-"Hey toi la bas, ramène ta fraise et celle d’un de tes copains. "
N’osant pas refuser l’ordre donné par Wotan la guérisseuse du groupe ainsi qu’un soldat arrivant en courant.
-"Soutenez moi voir la jument, le temps que je retourne le nouveau né. "
La tâche était ardue pour les soldats, mais la manipulation si complexe qu’il ne pouvait la déléguer, chacun était rouge sous le poids de l’effort et de la concentration. L’ hennissement se faisait de plus en plus faiblement et, l’animal crachait du sang.
*Là, sa va être vraiment coton.* Ces mains réussir à faire sortir une partie du poulain, mais l’opération était encore plus dangereuse car le cordon reliant la mère au bébé s’était enroulé autour de celui-ci. Le sang coulant en continu, les hommes étaient à la base intéressé, mais voir un accouchement enlève pas mal de courage à certain. Aussi, il y avait place vide autour des trois humains.
Au bout d’une demi heure, le poulain fut sortit. Au début, Wotan le crut mort, et son cœur s’était arrêter un instant de battre. Puis peut à peu le petit cheval respira de grande bouffé d’air
Finalement il tenta alors de se mettre debout, et l’ex claymore fut soulagé. Mais il n’avait plus de force. Il se laissa tomber à genoux, de grande trainée de larmes lui barrant le visage. Malgré son effort à rester impassible, sa joie d’avoir sauver le poulain était trop forte.

-"Vu le temps, je regrette mais il est hors de question que vous gardiez ce poulain, il ne survivrait pas à ce froid. Par contre, ce que je peux vous proposer, c’est de m’en occuper ainsi que sa mère et de vous les ramenez d’ici quelques mois quand le petit aura gagné quelque force. Je vous le débourrerais aussi par la même occasion. "Le guerrier aux yeux d’argents plaça une couverture sur le poulain transi de froid, en train de tété sa mère.
*Je ne me lasse décidément jamais de ce spectacle.* Il s’essuya maladroitement le visage et resta devant les deux chevaux en protecteur garant de leur sécurité.
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MessageSujet: Re: À la recherche d'un passé perdu   À la recherche d'un passé perdu Icon_minitimeVen 17 Sep - 12:04

Dans les galeries, et en dépit que la lutte s’était soldée par la victoire de nos trois comparses. Mais à l’extérieur un vent glacial soufflait à tout rompre dispersant les hordes de démons encore présent. La tempête faisait rage, ce qui en soit ne posait pas vraiment de problèmes à l’assassin qui affectionnait ce genre d’environnement encore vierge de cette présence nocive de l’homme toujours près à détruire ce qui pouvait être une source d’opposition. Ce blizzard forçait tout les êtres vivants à se trouver un abri pour ne pas finir en un bloc de glace qui serait, dans les siècles à venir, partie intégrante du manteau neigeux et des diverses couches qui composent les sommets des montagnes environnantes. Ces ‘neiges éternelles’ avait quelque chose de mystique, un peu comme si les hommes enviaient cette longévité et cette force face à des conditions extrêmes sans jamais fléchir. Leur fantasme les plus extrêmes les amenaient parfois à vouloir gravir, au péril de leur vie, ces pentes abruptes qui était un peu une incarnation de la grande dame fauchant les âmes afin qu’elles soient libérées de ce corps et puisse entamer leur ultime voyage vers des cieux plus cléments.

La mine de platine était sécurisée et l’extraction allait pouvoir commencer dans les semaines à venir. La Villa Duci n’aurait plus à souffrir du manque de matière première si une guerre venait à menacer la stabilité et l’existence de ce groupe à l’allure d’havre de paix pour les déserteurs désireux de se trouver un nouveau foyé. Une maison, un point d’attache qui pouvait parfois leur faire défaut. Le déserteur se sentait un peu perdu, il était tombé sous le charme de Margareth mais ne pouvait la suivre à moins de s’impliquer d’avantage dans les actes de la maison d’Egon. Les choix à effectuer étaient à faire avec précaution. Il était un indépendant qui travaillait autant pour un camp que pour l’autre quitte à joindre ses forces à celle d’un ou d’une éveillée afin que justice soit rendue. Ses contacts, disséminés aux quatre coins de l’île n’avait aucune crainte vis-à-vis des démons supérieur qu’ils hébergeaient parfois pour de modique sommes d’argent.

Le temps que la tempête se calme et le corps de ce qui fut autrefois un adversaire de valeur serait réduit en petit morceau puis transportés vers la ville d’Egon. Il sorti en compagnie de la paladin d’argent et tous deux prirent la direction du village afin de s’y reposer.

Le lendemain l’assassin était déjà parti, tout comme Wotan qui avait emporté avec lui le poulain et sa mère. En voilà un qu’il retrouverait avec plaisir dans les jours ou semaines à venir si ce dernier lui pardonnait le manque de respect dont Kojiro avait fait preuve. D’autre part son voyage le mènerait sans nul doute à Egon afin de payer sa dette pour les quelques services dont il avait pu être le bénéficiaire. La suite ne serait qu’un enchainement logique d’évènement dont il serait un acteur suivant le scénario du film.


The end
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