~¤*Présentation: Sophitia*¤~

Nom :Inconnu

Prénom :Sophitia

Age :19 ans

Rang :Claymore

Numéro du Claymore : Aucune idée

Classe : Aucune idée

Type :Offensive

Surnom :La Danseuse

Symbole :

Pouvoirs :
Chaque homme possède son propre rythme pour se mouvoir. En "battant" le rythme des mouvements de son adversaire avec sa bouche et en se mettant au diapason avec lui, Sophitia peut lire ses mouvements actuels et ceux qui vont suivre. Le surnom de "danseuse" est bien choisi, elle lit avec aisance la partition des mouvements de son adversaire sur une scène nommée la guerre.

Description générale :
Physique (3 lignes minimum) :

Sophitia est habillée comme les Claymore de sa division : une cape et une armure pectorale. Ses cheveux blonds contrastes avec ses yeux argents, deux ovales claires qui attirent le regard par leur profondeur. Sa posture est droite mais affiche une certaine crânerie quand elle marche. Elle porte toujours des gants et des chaussures noirs, une manche de son haut est plus grande que l'autre et lui tombe jusqu'au poignet. Une petite épée de défense est accroché à sa ceinture et son symbole y est dessiné à plusieurs reprises.

Mentale (3 lignes minimum) :

Cela grouillait de vie dans son esprit, il ne s'agissait pas de formes organiques comme celles que l'on rencontre sur le plan matériel, mais de constructions de pensée pure et de concentrées bruts d'émotions enragées, liquéfiées par l'Organisation. Elle était la seule à avoir la volonté suffisante pour pouvoir se tenir ainsi en équilibre au bord de la folie pure sans y être aussitôt précipité, personne d'autre que Sophitia ne possède une telle force mentale. Elle lui tenait la tête hors de l'eau comme elle permettait à d'autres de résister à l'appel des sirènes...

Histoire :

Enfermées au plus profond de la bibliothèque de l'Organisation, certaines pages en lettres de sang relatent le destin de ceux qui ont choisi la voie de la damnation. Le seul fait de mentionner ce livre constitue une menace pour la santé mentale des malheureux qui en entendent le nom. Les faits de nombreux blasphémateurs, hérétiques et yoma souillent cet ouvrage, et parmi toutes ces âmes damnées se distingue pour ses horreurs commises le nom de Sophitia, Claymore.


Origines :

L'histoire de Sophitia est incomplète car elle contient de nombreuses zones d'ombres et beaucoup d'évènements la concernant sont devenus des légendes, de telle sorte qu'il est impossible d'en démêler la vrai du faux. On ne connait pas le nom du village dans lequel elle a grandi, il n'est même pas certain que celui-ci existe encore. En ce temps là, Kudo était avec des principales rivales l'une des plus grandes puissances militaires du monde et était dirigé par une caste constituée d'une élite vivant dans l'opulence et la décadence tandis que la populace se vautrait dans la pauvreté la plus abjecte. Les gangs des bas-fonds organisaient régulièrement des combats ou se battaient régulièrement des humains. On sait cependant que Sophitia fut découverte par hasard par un marchand d'esclaves qui parcourait la forêt du Nord. L'enfant était à l'article de la mort et entouré par un bon nombre de cadavres. L'histoire ne dit pas à quel genre appartenait ces corps, mais de nombreux érudits s'accordent à penser qu'il s'agissait de Yoma ayant sans doute attaqué Sophitia afin de tenter d'éviter ce que le futur leur avait révélé la concernant. Bien qu'elle eut été grièvement blessé, elle était encore vivante. Le marchand réalisa sans doute quelle formidable combattante elle devait être et la ramena chez lui parmi ses esclaves. Dans le village de Kudo, le potentiel de Sophitia fut rapidement décelé et on la fit combattre avec les combattants les plus réputées de la cité. Les cellules qui se situaient au-dessous des lieux de combats étaient remplis de centaines de déchets humains parmi-lesquels la jeune fille trouva bientôt sa place. Après seulement quelques mois, elle s'était taillée une solide réputation de guerrière talentueuse et fière, possédant un sens aigu de l'honneur martial. Elle tua d'innombrables combattants, bien qu'elle épargnât toujours ceux qui s'étaient bien battus, ce qui lui valut bientôt les faveurs des foules. Sophitia cherchait constamment à s'échapper plusieurs fois des prisons ou ils étaient entassés, mais les systèmes de surveillance étaient très nombreux, renforcés par la présence de gardes armés jusqu'aux dents et constamment sur le qui-vive, de sorte que toute tentative d'évasion tournait invariablement à l'échec. Au bout de quelques années, sa réputation de tueuses sans peur avait fait plusieurs fois le tour des environs. Les foules se ruaient pour assister à ses combats, et sous sa tutelle, ses frères devinrent toujours plus forts, de telle sorte que les guerriers d'aucun autre gang ne pouvait tenir face à eux. Un nouvel échec lors d'une tentative d'évasion fit comprendre à Sophitia qu'elle ne pouvait y arriver seule. Son code de l'honneur inflexible et ses méthodes d'entrainements lui avaient acquis le respect et la confiance des autres, et à l'approche des grands jeux de la fin de l'année, elle mit sur pied sa tentative d'évasion la plus audacieuse.

Il avait été prévu pour ces jeux un affrontement général impliquant tous les combattants et disait-on, des Yoma. C'est au plus fort des combats, tandis que la foule éructait de joie, que Sophitia et les siens se retournèrent contre les gardes et les massacrèrent afin de se frayer un chemin jusqu'à la sortie. Contre des hommes entrainés, les pertes furent importantes, mais deux cents d'entre eux parvinrent à s'échapper de la ville, volant toutes les armes et les vivres sur lesquelles ils purent mettre la main avant de s'enfuir dans la forêt. La nouvelle armée de Sophitia trouva refuge dans l'orée verdoyante du Nord, tout près de l'endroit ou elle avait été trouvée quelques années plus tôt. Le chef du village envoya immédiatement des gardes afin de les anéantir, mais ils avaient sous-estimé les capacités de commandement de Sophitia. En quelques jours, il ne resta plus que quelques survivants de la fière force d'intervention qui avait été dépêché. Tous les autres avaient été massacrés et leurs armes volées. Dans les années qui suivirent, on envoya contre les évadés beaucoup d'autres contingents qui furent à chaque fois taillés en pièces par les ganjeurs psychotiques. Ces derniers souffraient cependant de la faim et des privations et ils furent bientôt réduits à moins d'une centaine. Sophitia et les siens furent finalement encerclés par cinq armées bien supérieures en nombre et il sembla que la rébellion allait enfin être écrasée. Pendant la nuit, ses hommes et elle creusèrent leurs tombes afin de montrer à leurs ennemies qu'ils étaient déterminés à se battre jusqu'à la mort.
Mais il semblait que ce n'était pas encore pour elle, le moment de mourir.

Répandant le sang, les combattants repoussèrent les attaques les unes après les autres, mais tandis que la bataille faisait rage, la nuit commença à tomber menaçant de geler sur place quiconque ne se mettrait pas à l'abri. Ils redoublèrent de rage et se battirent jusqu'à ce que la nuit les forces à cesser leurs assauts, et ce n'est qu'avec regret qu'ils le firent. Tandis que le gel commençait à envahir la forêt déserte, les guerriers se mettaient à l'abri du froid mortel. Mais Sophitia hurla au ciel sa frustration devant l'obligation de cesser les combats. Furieuse de voir ses camarades s'enterrer alors qu'il restait des ennemis à tuer, elle incendia les arbres autour d'elle, tuant tout ceux qu'elle croisait. Elle erra alors dans les sentiers massacrant ami ou ennemi, les flammes illuminant son armure tâchée de sang tandis que le feu se propageait, poussé par les vents tournoyant. Une anarchie totale se répandit alors que les hommes luttaient entre eux et contre le brasier pour les derniers abris. Tel un démon vengeur, Sophitia traça un chemin écarlate à travers les arbres en feu de la forêt pour revenir seule, se cacher au village.

La sombre Reine

Son instinct de survie et sa constitution de fer lui permirent de résister sans peine aux rigueurs de la cité. Elle erra en silence dans les rues, se nourrissant d'animaux qui survivaient en meutes dans les bas quartiers. L'adolescence de Sophitia se transforma peu à peu en un cycle destructeur de persécution et de meurtre, tandis que son attention se focalisait sur le crime agitant la société. Cette croisade personnelle ne commença d'abord que par quelques interventions lorsqu'elle était témoin de quelque chose qu'elle n'approuvait pas, mais elle traqua bientôt délibérément certains habitants corrompus. Plusieurs figures proéminentes de la société corrompue furent d'abord portées disparues, et d'autres ne tardèrent pas à prendre leur place. Plus tard, la même année, au cours d'un été in habituellement long et étouffant, les habitants qui osèrent protester contre leur sort peu enviable commencèrent aussi à disparaitre et les citoyens n'émirent bientôt plus aucune objection. On retrouva les cadavres de criminels réputés vidés comme des poissons et ceux de plusieurs officiels pendus par les pieds aux fenêtres de leur domicile. Des corps sans tête étaient atrocement mutilés et éventrés comme pour exposer leur corruption à l'air humide du village. Plusieurs ce ceux qui furent retrouvés cet été là étaient méconnaissables après le traitement qui leur avait été infligé et les gouttières étaient parfois bouchées par des membres humains que les mendiants ne mettaient pas longtemps à soulager de leurs bijoux. Il était évident que Sophitia n'avait pas le moindre scrupule à mettre à mort avec une rare brutalité ceux qui défiaient sa loi. En moins d'un an, le taux de criminalité chuta vertigineusement et les conséquences s'en ressentirent sur les villages voisins. Un couvre-feu s'instaura de lui-même dans la cité car plus personne n'osait sortir de chez lui après le coucher du soleil et les rues qui grouillaient ordinairement d'activité sombraient dans un silence de mort. Les mères menaçaient leurs enfants désobéissants que "l'ombre" ne vienne les prendre. Ce nom se répandit rapidement parmi la population en même temps que les rumeurs selon lesquelles une créature hideuse rôdait dans les rues et les tunnels, ses griffes prêtes à égorger les égarés.

Le village était mûre pour qu'advienne le règne de Sophitia.

Assez tôt, elle entrevit l'espoir du salut pour son village : plus aucun crime n'était perpétré, plus aucun Yoma n'arpentait les rues, hormis elle même. Elle était devenu l'unique objet de peur et de haine. Son peuple d'adoption ne vivait plus dans l'angoisse d'être tué ou bien dépossédé pendant son sommeil, et ne craignait plus que celle qui portait le fardeau de tout le mal sur ses épaules et qui avait découvert qu'elle le supportait. Sophitia puisait sa force dans ce dévouement étrange et elle adopta bientôt le surnom de "l'ombre" que ses concitoyens lui avaient donné. Mais au sommet de sa gloire, par la demande d'assistance du chef du village croyant qu'elle était un Yoma, l'Organisation intervint pour mettre un terme à la nouvelle hiérarchie imposé par Sophitia. Certains diront que l'Organisation voulait renforcer ses liens avec les hommes pendant cette époque tragique, d'autres diront que c'était pour éviter une prise totale du pouvoir par Sophitia faisant enfin de Kudo, un village à la hauteur de son nom. C'est avec l'apparition d'une Claymore que Sophitia fût ramené brutalement à l'ordre et ramené de force à l'Organisation afin d'accomplir les sombres dessins de ce qu'on nommait tout bas. D'ordinaire les Claymores sont endoctriner des leur plus jeune âge, pendant que les esprits sont encore malléables, mais Sophitia avait dix-huit ans et il lui était impossible de se soumettre devant quiconque. Ainsi, l'absorption du sang et de la chair d'un Yoma devenait prioritaire pour soumettre l'esprit de Katsuki, les lignes qui vont suivre sont extraites du journal du capitaine de la division et relate le déroulement de l'opération:



A présent que l'esprit est sous mon contrôle, nos recherches peuvent commencer. Dès demain, j'invoquerai les souvenirs que je soupçonne habiter le cœur de la recrue. En vérité, j'appréhende ce moment, mais mon travail ne doit pas être entravé par mes doutes, car j'œuvre pour le plus grand bien de l'Organisation.

Sur Sophitia, j'ai appliqué les Sept Sceaux composés de la chair et du sang de Yoma, qu'il va maintenant me falloir ouvrir un par un. Ma foi doit être aussi forte que mes intentions sont pures. Je pressens que l'esprit a percé à jour mes projets. Seul une (PASSAGE MANQUANT) illusion de l'esclave des abîmes pourrait (PASSAGE MANQUANT).

Le premier sceau est ouvert. Alors que nous entamions le rituel de libération j'ai senti les remparts de son esprit se renforcer. Heureusement, nous ne sommes pas encore au cœur de ses souvenirs : il serait suicidaire de poursuivre ma tâche hors des frontières matérielles. Je sais pourtant que des forces ont connaissances de mon but et m'observent de loin. Je m'occuperai de second sceau en redoublant de prudence.

Au bout se sept heures d'efforts, nous sommes finalement parvenus à ouvrir le second et le troisième sceau. La malice de son esprit est toutefois si grande que nous avons perdu (PASSAGE MANQUANT) Je sais que sa mort me hantera (PASSAGE MANQUANT) perdu à jamais.

Alors que nous ouvrions le (PASSAGE MANQUANT) je tremble pour son âme car il aurait sûrement (PASSAGE MANQUANT). Nous devons pourtant œuvrer avec célérité, car à chaque jour qui passe, l'esprit nous évalue, apprend à mieux nous connaître et jauge nos défenses. Il faudra que je lui impose ma volonté dès l'ouverture du septième sceau, ou nous sommes perdus.
Les évènements ont pris mauvaise tournure et je prie pour qu'on nous délivre de cette situation fâcheuse. D'une façon ou d'une autre, son esprit a pu s'emparer de (PASSAGE MANQUANT) entrions dans le cœur de ses souvenirs. Qu'un rituel tel que celui que nous avons accompli aujourd'hui soit entrepris alors que (PASSAGE MANQUANT) puissances que je n'ose imaginer, et encore moins nommer dans ces lignes.

J'ai la solution! En utilisant une technique interdite,je peux lié les pouvoirs yomas à son corps, il me faudra pour cela un sacrifice, mais n'est-ce pas là le lot des serviteurs de l'Organisation ?
(PASSAGE MANQUANT) sont morts, mais leurs sacrifices n'auront pas été vains. Je lui ai imposé ma volonté, et je suis désormais sûr de la tenir. Je sens (PASSAGE MANQUANT) et j'entends ses pensées : des images répugnantes et maléfiques émanent d'elle, mais ma foi est mon armure! Je dois procéder seul à l'ouverture du septième sceau, car mes collaborateurs sont tous (PASSAGE MANQUANT) et les autres ne sont pas suffisamment purs pour (PASSAGE MANQUANT) les punir.

(PASSAGE MANQUANT) j'ai pu entrer mais rien ne m'avait préparé à ce spectacle. J'ai été soumis, immobilisé, emporté même si (PASSAGE MANQUANT) de la souillure de ses souvenirs. Une âme glaciale criait, mais je (PASSAGE MANQUANT) éclairé mes pensées. Rien n'est plus comme avant maintenant que la vérité lui est apparu. A présent (PASSAGE MANQUANT) l'égarement dont elle a fait preuve et la sagesse qui est la nôtre. Comme un seul homme, nous (PASSAGE MANQUANT) ceux qui par ignorance essaieront de saboter notre œuvre. Lève toi Sophitia et (PASSAGE MANQUANT) à l'Organisation.

Merci pour l'accueil, je changerai l'avatar des que j'en aurai trouvé un qui me correspond. Les passages manquants représentent l'usure du temps ou peut être la tentative de destruction du document, à votre imagination de décider^^

D'après moi la danse de l'eau (Remettons son titre original), a été crée pour calquer, habituer ses mouvements à celui de son adversaire. Donc si celui-ci ne change pas radicalement de méthode de combat, je pourrais prévoir indéfiniment ses mouvements.Contre des éveillés à plusieurs jambes, la même chose se produit car même en ayant un rythme saccadé, ce rythme leur est propre et donc reste prévisible.

Je comprend tout à fait^^*

Pour saisir un rythme de combat il faut obligatoirement un temps d'adaptation ou les deux protagonistes échangent des coups, cela peut varier selon le niveau de l'adversaire. Je ne vais pas te dire un temps précis mais disons que plus l'adversaire est fort plus ce "temps d'adaptation" est long.
Contre un adversaire immobile je suppose que celui-ci attaquera à distance et donc la question ne se pose plus, seule la capacité d'esquive entrera en jeu.

Je dirai que comme mon histoire se passe avant celle de Claymore, je peux ajouter certains détails qui reste flou dans cet univers tout en restant dans une époque médiévale ( j'allais pas parler de sabre laser ). Pour l'histoire des sceaux il n'est pas question de magie mais de yoki, comme je n'en ai pas parlé dans mon histoire c'est vraie que c'est obscur : La conscience de Sophitia a été scellé grâce à un yoki extérieur.

Donc ? Je change mon histoire ou je continue les explications ?^^

Comme je n'ai vu que l'anime et non le manga, (oui je sais honte sur moi) je n'étais pas très au courant de sa..(T_T).

c'est édité.