Une forme de rencontre dans le Nord [Términé]

Invité

Une forme se déplaçait lentement dans la neige, elle ne semblait pas souffrir du froid, car elle ne portait pas d’habit, ou de fourrure, visible. La forme avait portant l’apparence d’une femme. Elle était blonde, elle avait des yeux gris, elle était grande et musclée. Ces cheveux étaient très longs, mais en désordre, des aiguilles de pin étaient accrochées dans la chevelure, avec des débris végétaux divers... La neige s’accrochait sur les cheveux blonds, sans fondre. Mais cela ne semblait pas dérangé cette femme, mais préférons garder les termes de “forme ”. Car elle avait bien une silhouette humaine, mais ne l’était pas humaine, sa bouche était garnie de dents pointues qui aurait eu sa place dans la gueule n’importe quel félin, mais pas dans ce visage humain. Une langue fourchue sortait de temps en temps de cette bouche affreuse, qui pour notre bonheur restait fermée la plupart du temps.

La forme disparue dans une forêt de conifères, une seule trace qui resté encore visible, c’était un Yoki, des plus étranges. La “forme ” possédait un Yoki pulsant. Il était absent, puis une seconde après totalement visible. Dans la plaine aux alentours de cette forêt de conifères, un autre être s’y déplaçait. C’était une femme, dans une armure aux reflets de titane, emmitouflée dans une cape jaune. Pour ceux qui connaissaient les symboles en or et argent cousus sur la cape, ils vous diraient que cette femme est une capitaine d’Egon. Son visage est caché dans un casque, mais malgré tout, sa silhouette ressemblait à la “forme” qui était passée avant elle dans cette plaine.

Cette femme tenait les rênes d’une jument, qui avançait aussi surement que sa maîtresse, dans l’épaisse couche de neige. La femme semblait humaine, malgré tout un Yoki se dégagé d’elle. Mais il était actuellement des plus bas, et il avait en plus une oscillation des plus inhabituelle, ce qui le rendait difficilement détectable. La femme s’arrêta, elle semblait scrutait des yeux la plaine, elle s’arrêta à une colline, puis continua son observation de la plaine du regard. Elle s’arrêta après quelque minute sur une autre colline proche de la forêt. Elle semblait cherchait une personne, avec des sens autres que ceux des humains... ou plus développés.

La “forme” qui avait disparu dans la forêt de conifères était passée non loin de cette colline. Elle s’y était arrêtée, avait sorti plusieurs fois sa langue de sa bouche, puis était repartie avec une sorte de regret. Elle aussi avait trouvé quelque chose sur cette colline. Mais s’était finalement résigné à ne pas allez voir de plus prés sa trouvaille. La personne qui était vraisemblablement sur cette colline avait surement pu apercevoir le Yoki étrange de cette “forme” et son apparence des plus inhabituelle... ou alors qui ressemblait à une personne connue.

Quoi qu’il en fut, la personne était restée là, n’avait pas agi... pétrifié par la surprise, ou l’ incompréhension ? Mais avait elle donc senti la femme et sa jument approchait ? Car elle était arrivait déjà au pied de la colline, au même endroit que la “forme” c’était tenu, quelques flocons de neige avant. (Un bon bout de temps en réalité...) Car aucune activité ne c’était fait sentir sur le somment de la colline.

La femme dit à sa jument :

“ Gizeneige, je la sens. Livia est là-haut. On pourra bientôt revenir vers Yuuki, toutes les deux.”

La jument bien que concentrait sur sa tâche délicate que de montait une colline par temps enneigé, avec quatre sabots, répondit à sa maîtresse de hennissement au nom de Yuuki. La femme continua l’ascension, déterminé à retrouvait, Livia. Elle la suivait à la trace depuis longtemps. Des sentiments se mélangé en elle ; la haine, l’attachement, l’espoir, la crainte, la colère, la déception, l’amitié. Mais au-dessus de tous ses sentiments contradictoires, une faim latente augmentée, plus elle se reprochait du sommet de la colline. Lenneä s’arrêta non loin de l’endroit où ses sens lui disaient que celle qu’elle cherche s’y cachait. Et criant d’une voix plus forte que le vent qui secouer la neige dans les terres d’Alphonse :

“Livia, je sais que tu es là. Ne te cache plus, je dois te parler !”

En prononçant ses paroles, la femme posa sa cape sur la selle de sa jument, et sorties une claymore d’un fourreau plaçait sur le côté de la selle. Elle la fit passait de la main droite à celle de gauche , trois fois, avant de la gardé dans celle de droite. Elle observait la forêt de conifères plusieurs secondes, avant de faire plusieurs pas vers le haut de la colline, une silhouette y était apparue, ainsi qu’un bâtiment et plusieurs sapins, appartenant à la forêt toute proche. Lenneä resta immobile, fixa la silhouette sous le casque de son armure. Le gantelet de sa main gauche crissa quand Lenneä ferma son poing gauche...

[HRP : ce bâtiment peut-être la maison secrète de Rigard, si tu veux...]

Livia était venue se réfugier dans les terres du Nord, où Rigald avait élu domicile. Elle séjournait dans une halte de haute montagne, déserté en cette froide saison. Un feu crépitait dans l'âtre, dispensant une chaleur et une lumière douce. Même si Livia pouvait réguler elle même sa température et pouvait clairement y voire dans l'obscurité, elle aimait la convivialité apporté par le foyer.

Assise dans une chaise à bascule, elle observait dehors par la fenêtre du chalet. Le paysage avait ce côté si pure et reposant... d'une certaine manière, elle comprenait l'attachement de Rigald et d'Isley à ses terres froides. Son regard se posa sur la forêt de connifères en contre-bas, Livia y décelait une présence démoniaque.

_ Qu'est-ce que cette chose? fit-elle songeuse. Elle observa plus attentive. Puis nota la présence d'une autre entité démoniaque.

_ Lenneä... poursuivrait la première..?

Livia soupira légèrement agacée. Elle n'avait envie de voire personne, son nouveau statut d'éveillé était un tournant qu'elle comptait négocier au mieux. Elle avait encore besoin de réfléchir à la situation. Cet éveil changeait tellement de chose pour elle...

Elle finit par choisir d'aller à la rencontre de la créature. Elle sortit dans le froid, le vent et la neige, dans une robe longue et soyeuse sans manche. Sa tenue, légère, tranchait avec le climat et le paysage rude, tant et si bien que certains humains parlaient de la présence d'une nymphe dans les cîmes enneigées d'Alphonse. Elle marcha donc avec un calme olympien en direction de la créature. Plus elle s'en rapprochait, plus Livia comprenait que cette chose n'était plus que l'ombre d'elle-même. Arrivée au tiers du domaine boisé, non loin d'une chaumière tranquille, elles se rencontrèrent.

La créature la regarda, s'il n'y avait eut cette nudité, Livia aurait simplement conclu que cette "femme" avait atteint ses limites mais là... le doute était permi.

_ Pauvre âme égarée dans les ténèbres... tu cherche ta nourriture n'est-ce pas?

Livia ne pouvait plus condamner les éveillés de leur appétit coupable, comprenant à quel point celui-ci pouvait être ignoble à contrôler. Mais elle ne voulait pas que sa cachette soit découverte et que les humains du coin voient en elle un monstre. Elle prit donc la décision d'abattre la créature. Elle adressa un regard triste à la femme puis lui ton d'une voix douce :

_ Je ne puis te permettre d'assouvir ton besoin, ta vie va cesser ici.

Le bras droit de Livia se recouvrit d'une cuirasse armé d'une lame épaisse et aussi longue qu'une claymore.

_ Je ne te ferais pas souffrir, je te le promets.

Alors que Livia s'apprêtait à fondre sur la créature qui restait immobile et interdite. Il résonna un appel puissant dans les terres :

_ Livia, je sais que tu es là. Ne te cache plus, je dois te parler!

En contre-bas, elle vit Lenneä armée. La créature en profita pour fuire dans la direction opposée à Lenneä, soit vers les sommets. Livia la tuerait bien assez tôt de toute façon, elle ne la laisserait pas vivre. Elle décida d'attendre que Lenneä vienne à elle, faisant reprrendre à son bras droit sa forme humaine.

[HRP : le refuge n'est pas la maison de Rigald]

Invité

La silhouette se réveillât être une femme. Elle était brune, et semblait habiter, depuis quelque mois déjà, dans la cabane derrière elle. L'autre femme qui montait la colline avec sa jument, semblait portant la recherchait depuis peu. Alors que les habitants de cette région murmuraient des contes sur elle, depuis deux mois. La femme s'arrêta à quelques mètres de la brune. Elle semblait hésiter. Ce qui semblait la perturber était peut-être la couleur de ses cheveux et de ses yeux. Où la deuxième raison était probablement que cette femme brune n'était plus vraiment une humaine. Elle possédait un Yoki, il était caché actuellement, mais il était horriblement puissant. La deuxième femme, si elle l'avait sentie aurait su, plus rapidement que celle qu'elle chercher c'était éveillé, et donc qu'elle n'était plus humaine.

Mais elle le savait déjà, c'était la raison qui l'avait poussé à venir seule la voir dans les terres du Nord. Mais son esprit cherchait encore d'autres réponses. Que l'éveil. Cette femme finit par s'écarter de son cheval, elle avait toujours sa claymore à la main. Elle regardait l'autre femme, puis lança enfin des mots dans l'air froid du Nord :

"Livia, que fais-tu ici ? Je t'attends à la Villa depuis plusieurs mois... Pour quoi n'étais-tu pas revenu ? Pourquoi, j'ai dû venir dans les terres d'Isley te chercher ?"

La femme en armure semblait vouloir une seule et unique même réponse de son interlocutrice. Mais ne savait-elle pas déjà la réponse à ces questions.. Et pourquoi serait-elle aussi fortement le manche de sa Claymore... La jument, hennie, inquiète de la nervosité de sa maitresse. Mais sa maitresse était soumis à une forte tension, elle lutait contre un puissant désir... De plus, un sentiment de trahison l'avait envahie. Elle attendait que la femme brune lui avoue sa transformation, et se repente aux prés d'elle. Mais elle savait que ce ne serait pas ce qui se passerait. Car la colère était plus forte, elle lui en voulait. Et son désir sanglant était puissant, plus elle lutait contre elle-même plus elle en voulait à cette ancienne Claymore...Son gantelet gauche gémi à nouveau, de toute la tension que la femme contenait en elle...

_ Livia, je sais que tu es là. Ne te cache plus, je dois te parler!

En contre-bas, Livia vit Lenneä armée. La créature en profita pour fuire dans la direction opposée aux deux femmes. Lenneä gravit la pente enneigée à cheval. Arrivée à la même hauteur, elle s'adressa à Livia :

_ Livia, que fais-tu ici? Je t'attends à la Villa depuis plusieurs mois... Pourquoi n'es tu pas revenue? Pourquoi, ai-je due venir dans les terres d'Isley te chercher?

_ Ce sont là des questions bien inutiles, Lenneä...

Livia la regardait avec un petit sourire, cela l'amusait de voire la guerrière s'ennerver sur sa monture. Sa main se crispait sur sa claymore, de rage? de haine?

_ N'est-ce pas évident? Je suis éveillée et ne puis faire machine arrière. D'ailleurs, cet état me convient parfaitement.

Livia se mit à rire doucement, puis regarda sur le côté avec un air narquois :

_ Tu semble déçue? non... Remontée serait plus approprié. Tu aimerais que je te tienne un discours imprégné de remords, où je maudirais celui qui m'a fait cela et moi-même... Et bien non. Je suis désolée pour ta petite sensibilité mais je n'en ferais rien.

Elle s'adossa à un arbre avec son sourire provocateur, puis ses yeux prirent une expression malicieuse.

_ En fait, j'ai tellement apprécié l'éveil que j'ai massacré presque un village entier! J'ai laissé les moins appétissants, les vieillards principalement, et quelques grosses vaches! Je ne voulais pas tasser ma taille de guêpe, tu comprends n'est-ce pas..

Elle se mit à rire à gorge déployée, riant de Lenneä autant que de la situation. Puis elle s'arrêta intriguée, quelque chose retenait son attention, elle regarda par dessus son épaule, concentrée :

_ Maintenant que tu es là... j'arrive à faire un étrange rapprochement entre toi et la chose qui nous observe plus haut... Votre yoki est similaire et différent à la fois... tu ne serais pas venue pour autre chose que mon cas par hasard?

Invité

La femme brune fit taire les questions de la capitaine d’Egon, périssant leur inutilité. Elle sourit à Lenneä, avant d’affirmer qu’elle était éveillée. Puis elle se mit à rire avant d’ajouter qu’elle n’avait pas de remords sur son éveillé, et n’en voulait pas à celui qui l’avait éveillée. La femme à la cape jaune se décrispa un peu. Et lui répondit d’une voix étrange :

« Tu as raison Livia, le passé est le passé, la vie c’est le futur. Je savais que tu ne pourrais en vouloir à celui qui t’a éveillée… Tu l’aimes ? »

La Claymore exilée ne confirma pas qu’elle était remontait contre l’éveillée. Mais celle-ci n’avait pas fini. Elle s’adossa contre un arbre et provocatrice, lui révéla le carnage qu’elle avait fait. La femme à la cape jaune ne répondit rien subissant le rire de l’éveillée, qui soudainement s’arrêta, elle se semblait troubler. Elle dit intriguer :

Code:: _ Maintenant que tu es là..., j'arrive à faire un étrange rapprochement entre toi et la chose qui nous observe plus haut... Votre yoki est similaire et différent à la fois... tu ne serais pas venue pour autre chose que mon cas par hasard ?

La capitaine d’Egon ne comprit pas les paroles de la femme brune. Elle chercha un yoki qui pouvait les observer. Mais elle ne sentit rien de particulier. Il y avait une raison à cela, la « forme » se déplaçait toujours assez pour n’être pas détectable par celle avec qui elle était liée. La Claymore répondit :

« Je ne suis venue que pour toi Livia. Je ne sais pas qui nous observe, mais elle n’est plus dans là. Je sais pour Théo, et cela m’a déçu. Je ne serais pas venue te déranger ici, si tu n’avais pas massacré ce village… des paysans qui parlent de muraille de cheveux métallique, ça mon fait pensé à toi à Rabona… un aussi grand manque de retenue, c’est pitoyable… »

La femme eut un sourire forcé. Elle observa la femme face à elle. Elle était brune, avait des yeux verts. Lenneä d‘Egon nota que c’était la couleur des yeux et des cheveux de Livia avant sa greffe. Elle trouva que cette femme était plus belle, après son éveillé qu’avant. Elle éclata de rire puis lança :

« Mais, je ne vois pas pourquoi éveillé tu n’es pas revenue me faire ton rapport ? Tu aurais mangé mes hommes, c’est pourquoi tu n’es pas revenue ? »

Elle laissa un blanc fessant semblant attendre une réponse puis dit ironique :

« C’est vrai qu’avec ton manque de retenue, tu aurais mangé tout Egon… Et fini sous la lame de Claymore de l’Organisation… qui sait peut-être aurait-tu fait sortir Alicia et Beth de leurs tanières.»

La femme semblait avoir fini, elle fixait Livia. Puis s’éloigna d’elle, en grinçant des dents, pour murmuré enfin :

« Tu crois que c’est facile pour moi, tu sens l’éveiller à plein nez maintenant… »

La Claymore d’Egon posa sur le devant de son casque quelques secondes. Puis soupira et changea sa claymore de main. Elle aurait pu cacher qu’elle était ambidextre, mais l’autre femme le savait déjà, grâce à tous les combats qu’elle avait faits ensemble. Ensuite Lenneä d’Egon ne voulait pas la combattre, mais si elle doit se défendre, elle n’aura plus le choix, Livia devra mourir…

_ Maintenant que tu es là... j'arrive à faire un étrange rapprochement entre toi et la chose qui nous observe plus haut... Votre yoki est similaire et différent à la fois... tu ne serais pas venue pour autre chose que mon cas par hasard?

Lenneä sembla ne pas comprendre son allusion, était-ce possible qu'elle ne la ressente pas? Lenneä chercha pourtant, mais en vain...

_ Je ne suis venue que pour toi Livia. Je ne sais pas qui nous observe, mais elle n’est plus là.

_ Pourtant... je la ressens très nettement. Même si ce n'est pas un yoki grandiose, cette chose rôde.

_ Je sais pour Théo, et cela m’a déçu.

_ Ah? Et alors? Que veux tu que cela me fasse?

_ Je ne serais pas venue te déranger ici, si tu n’avais pas massacré ce village… des paysans qui parlent de muraille de cheveux métallique, ça mon fait pensé à toi à Rabona… un aussi grand manque de retenue, c’est pitoyable…

_ pitoyable... en effet... la populasse qui hurlent et qui courent en tous sens pour sauver sa vie... c'est bigrement primaire comme réaction, aucune âme noble dans ce chaos exquis...

Livia dit cela avec un sourire délicieux, elle ressentait encore le goût du sang... Puis, elle posa son index sur sa lèvre comme si elle réfléchissait puis ajouta en s'exclamant gaiement :

_ Oh mais! Tu parlais sans doute de mon appétit?! Et bien, non, c'est un appétit en peu plus honorable pour un éveillé, il y a eut plus frugale certes, mais également plus fourni. Je suis dans la moyenne dirais-je.

Lenneä eut un sourire forcé. Puis elle éclata de rire et lança :

_ Mais, je ne vois pas pourquoi éveillée, tu n’es pas revenue me faire ton rapport? Tu aurais mangé mes hommes, c’est pourquoi tu n’es pas revenue?

_ Quel rapport? Fit-elle l'air surprise. Quant à tes hommes, les combats ont rendu leurs chairs trop dures et peu agréables... j'ai un palai fin et raffiné, il ne se rejouit que des plats de qualité.

Lenneä continua ironique :

_ C’est vrai qu’avec ton manque de retenue, tu aurais mangé tout Egon… Et fini sous la lame de Claymore de l’Organisation… qui sait peut-être aurait-tu fait sortir Alicia et Beth de leurs tanières.

Livia regarda Lenneä avec un air attendri et doux, puis avec une voix caressante et basse elle répondit :

_ Et bien, je dirais qu'Egon n'a qu'à bien se tenir, quant aux claymores que j'ai rencontré entre temps, elles tremblaient trop pour m'opposer la moindre résistance, enfin, Alicia et Beth ne sortent pas pour quelques humains croqués en guise d'amuse-gueule... ce n'est que du bétail après tout.

Après avoir fixéé Livia intensément, Lenneä s’éloigna en murmurant entre ses dents :

_ Tu crois que c’est facile pour moi, tu sens l’éveillé à plein nez maintenant…

Décidément, Livia s'amusait beaucoup de cette situation, elle mourait d'envie de continuer à titiller son ex-collègue, elle continua donc de parler avec sa voix caressante :

_ Oh... pauvre petite créature... tu m'as l'air bien ennuyé! Enfin... autant prendre ta monture et repartir bien vite à Egon. Tu es sur les terres d'Isley, seigneur des terres d'Alphonse. Celui-ci a une sainte horreur des exilés, et comme tout le territoire est cadrillé par des éveillés à sa solde... tu risque gros je dirais.

Puis Livia eut un petit rire avant de continuer :

_ Mais je suppose qu'Isley et ses éveillés ne sont que des créatures insignifiantes... comme ce claymore tristement abattue à Egon parce que son capitaine n'est pas foutu de rembarrer deux malheureuses claymores de l'Organisation... un enfant naitra sans père... en grande partie du fait de ton incompétence... ça... c'est vraiment pitoyable... mais bon... ce n'est que l'avis d'une sinistre créature...

Livia se mit à rire à gorge déployée, tournant sur elle-même comme si elle valsait, joyeusement et librement :

_ Ne compte pas sur moi pour rejoindre ses tristes rangs où l'on ne songe qu'à se venger et à protéger une espèce que je n'apprécie qu'au déjeuner... C'est trop "étriqué" pour moi.

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Lenneä d’Egon semblait de plus en plus incrédule, quand à un éventuel observateur de leur rencontre, mais garda cette éventualité dans un coin de son esprit. Livia semblait pourtant l’avoir vu, Lenneä ne voyant pas pourquoi Livia aurait put lui dire ça, pensa que c'était peut-être vrai. Car a chaque parole de Livia, Lenneä serra les dents, pour se contenir. Elle semblait n’avoir plus aucune compassion pour sa « nourriture ». Mais dans ces discoures Lenneä put comprendre que Livia n’avait eu aucun problème avec les Claymores de l’Organisation avait envoyer contre elle après le carnage de Théo. Lenneä comprit que Livia avait surement raison, elle n’était peut-être pas assez forte pour intéressé les hommes en noirs, mais trop forte, pour être chasser avec succès par leur Claymores classiques. Finalement Lenneä comprit rapidement qu’elle ne serait utile qu’aux abyssaux... Et a elle-même évidement.

Livia semblait être amusé de l’embarra qu’elle provoqué chez Lenneä, du au mal fou qu’elle avait à se contenir. Mais elle mit en garde Lenneä sur les éveillées d’Isley. Lenneä sourit, la dernière fois qu’elle avait été dans le nord, elle avait tuée cinq éveillés. Non, quatre la dernière a fuit sans demandé son reste. Lenneä retenu surtout qu’Isley n’aimait pas les exilées.

Elle ne put apprécier cette information car Livia, semblait prendre un malin plaisir à vouloir la faire sortir de ses gonds. Lenneä serra les dents pour la énième fois, quand Liva lui parla de la mort de Kurayami. Cela aurait put marcher, c'était bien pensé. Malheureusement elle savait que Livia avait dit l’exacte inverse à Kurai. Lenneä répondit d’une voix froide :

« Kurayami est mort, car il a perdu sa seule technique pendant le combat, et il n’avait que peu d’avantage sur celle qui combattait. Il est mort car je n’étais pas en états de combattre… Il devait me protégé, il l’a fait. Je ne te dirais rien d’autre.»

Lenneä n’était pas sûr que Livia l’écouter, elle semblait rire d’elle, et cela la fessait dansé. Lenneä ne put s’empêchait de sourire. Livia semblait rire d'un rien, éveillée alors qu'elle était vraiment coincée avant. Puis quand elle entendit Livia lui dire qu’elle refusait de rejoindre ses rangs, car elle ne pensait qu’à se venger et à protéger une espèce qu’elle n’apprécier pas, sauf pour se nourrie. Lenneä éclata de rire, car c'était la raison de l'éveil de beaucoup de Claymore, la vengeance, mais pas de Livia. Une chose qui sortait enfin de son contrôle. Elle devait donc découvrir de quoi il en retournait. Elle n'aurait jamais avouer qu'elle aimé cela. mais c'était tellement imprévue... Puis demanda à Livia, curieuse :

« Donc, que va tu faire ? Restait ici ? Rejoindre Isley ? »

Lenneä sourit que pouvait-elle faire, Livia semblait vouloir rejoindre Isley, d’après l'endroit où elle s'était réfugiée. Lenneä ne pouvait se résoudre a l'abandonnée, elle avait crée le groupe de la Villa Duce grâce à elle. Que faire Livia lui avait offert un élément imprévisible pour une raison tout aussi mystérieuse. Si elle voulait reprendre la main, il n’y avait plus qu’a dévoilé ses atouts. Elle monta sur son cheval, gloussant encore, puis en se plaçant de façons avoir le vent dans le dos. Elle ne sentait plus l’odeur de Livia qui l’avait jusque là déconcentrait. Elle pu parler d’une voix calme, comme si elle ne se souvenait plus des multiples paroles ignobles de l’éveillée :

« Livia, je n’ai jamais caché que je voulais me vengé, ni que je voulais protéger les humains, mais d’après moi, les éveillés ne sont pas une espèce , car ils n’ont aucun enfants. Il dépende totalement des humains, pour leur création et leur nourriture... Je pense en outre que tu t’es méprise sur mes paroles, je suis déçu car si je me comportais comme toi... Je devrais suivre mon instinct et calmé ma faim ? »

Lenneä sourit, puis comme si elle venait d’oublier une chose essentiel se frappa la tête et dit :

« Non, j'ai oublier je devrait devrais manger que des mets délicats et gouteux… que doit-je faire… te manger là, où ne pas te manger car tu n’es pas assez raffiné pour moi. »

Lenneä passa sa langue sur ses lèvres, révélant qu’elle n’était plus arrondit au bout, mais légèrement fourchu. Lenneä reprit ne laissant pas répondre Livia :

« Mais, je sais me contrôler, moi ! J'aimerais juste savoir pourquoi tu t'évéillée ? Tu es libre de répondre. Ça m'amuse.»

Puis elle murmura :

« Kurayami est mort, c’était peut-être volontaire... car ne souhait-je pas reprendre l’île qui m’appartiendrais, si L’Organisation n’avait pas détruire nos temples ?»

Lenneä semblait ne plus confondre les souvenirs de Lanara et d'elle, mais elle pouvait aussi faire semblant...

_ Ne compte pas sur moi pour rejoindre ses tristes rangs où l'on ne songe qu'à se venger et à protéger une espèce que je n'apprécie qu'au déjeuner... C'est trop "étriqué" pour moi.

_ Livia, je n’ai jamais caché que je voulais me venger, ni que je voulais protéger les humains, mais d’après moi, les éveillés ne sont pas une espèce , car ils n’ont aucun enfant. Il dépende totalement des humains, pour leur création et leur nourriture... Je pense en outre que tu t’es méprise sur mes paroles, je suis déçue car si je me comportais comme toi... Je devrais suivre mon instinct et calmé ma faim ?

Livia trouva l'analyse sur les éveillés des plus pertinentes, et ne vit rien à y redire, trouvant quelques part que cela ne faisait qu'appuyer la supériorité des éveillés, puis que cela sous-entendait d'une certaine manière, qu'ils étaient des sur-hommes... Elle vit son interlocutrice sourir puis se frapper la tête, elle en resta perplexe et la laissa continuer, assez curieuse de la suite en fait :

_ Non, j'ai oublier je ne devrais manger que des mets délicats et gouteux… que doit-je faire… te manger là, où ne pas te manger car tu n’es pas assez raffiné pour moi.

Sans trop saisir l'étrange discours de la guerrière, Livia constata alors avec étonnement que Lenneä avait une langue fourchue.

**Décidemment... c'est une véritable magicienne... qu'est-ce qu'elle va encore me sortir...**

_ Mais, je sais me contrôler, moi! J'aimerais juste savoir pourquoi tu t'évéillée? Tu es libre de répondre. Ça m'amuse.

Livia ne répondit rien... elle réfléchissait en fait...

**la langue qui fourche... l'envie de me croquer... une créature qui se ballade indépendament avec le même yoki qu'elle... pourquoi est-ce que cela me rappele quelque chose...**

Livia se tenait le menton pensive, elle cherchait dans sa mémoire et notamment dans les derniers combats donnés, et particulièrement avec Lenneä. Ses yeux étaient mi-clos, son regard semblait vague et pourtant, les souvenirs lui revenaient... vivaces!

**Rabona... il n'y a que là qu'elle ait utiliser vraiment ses pouvoirs... elle a lancé un assault avec une forme semie-éveillée avec ses cheveux, a été stoppé par l'autre ahuri... elle est tombée inconsciente... mais.. MERDE!! POURQUOI JE NE PERCUTE QUE MAINTENANT!**

Elle tourna la tête vers l'arrière, cherchant du regard la créature, cherchant à déceler non pas un mais deux yokis précis...

**Non... il n'y a pas à sourciller... c'est bien ça... cette créature est une fusion entre lui et elle... alors son véritable pouvoir serait le parasitage des yokis... intéressant...**

Livia finit par répondre à Lenneä :

_ Après réflexion, je reste neutre. En d'autres termes, je quitte définitivement votre groupe. Sans envie particulière d'en réintégrer un d'ailleurs. Les cîmes froides sont un lieu idéal pour se retirer de ce monde. Peu importe les agissements d'Isley, tant que je maintiens mon statu quo, je ne risque rien et ne serais pas attaquée. Sur ce.. Adieu.

Livia tourna le dos à Lenneä et repartit d'où elle était venue. Sans regard derrière elle, sans un regret d'aucune sorte, tout cela ne l'avait jamais vraiment concernée et ne la concernait plus dorénavant. Elle voulait être tranquille un temps...

De toute manière, les évènements la rattraperaient bien assez tôt, elle les attendrait patiemment de son abris solitaire et paisible.

[HRP : fin du rp en ce qui me conserne, infra : absente jusqu'au 1er octobre, donc je libère ce rp]

Invité

Lenneä resta perplexe, Livia semblait réfléchir. Lenneä aurait aimé passé sa main dans ses cheveux mais elle n'osait enlevait son casque. Puis Livia semblait tourné la tête vers la forêt un peu plus loin. Lenneä jeta un bref regard pour ne voir que des conifères recouvert de neige. Mais pas de Yoki, elle sentait bien un étrange sentiment mais rien de concret. Puis elle observa Livia, la nouvelle couleur de ses cheveux lui allez mieux que son ancienne chevelure blonde. Lenneä ragea un peu que l'éveil avait embellie Livia. Lenneä avait l'impression que le corps de Livia criait que c'était une chose des plus naturel, et une bonne chose. Quand Livia reprit la parole. Lenneä fronça les sourcilles, elle voilait être neutre. Une réponse que Lenneä, n'avait pas attendu. Elle soupira, puis sourit, elle devait la laissa partir. Livia ne lui avait pas révéla la raison de son éveillé et ne le fera pas, le Claymore d'Egon n'avait plus rien à faire ici, elle partirait elle aussi. Elle cria à son attention :

"Soit, je te laissais dans ta retraite, tu à choisit la neutralité. Je respecte ton choix."

Lenneä remonta sur son cheval, puis lança un regard vers les bois tout proche, elle avait crue sentir un bref un instant un Yoki, son propre Yoki. Elle secoua la tête, fessant voler sa cape dans le vents. Puis souffla dans l'oreille de sa jument :

"Allez, Grizeneige on rentre à la maison."

Lenneä soupira une dernière fois, Livia avait choisi une voix dans la quelle Lenneä ne pouvait se décidé à intervenir, elle n'aurait était pas meilleur que l'Organisation dans ce cas. Elle talonna Grizeneige, qui s'élança sur la pente de la colline, elle semblait se rire de la couche de neige, et descendre cette colline comme une chèvre. Lenneä sera les dents, elle qui pensé que Grizeneige était à bouts de force, la voila rassurait. Elle essaya tenter bien que mal, de ralentir la jument...

[RP: terminer]

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